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Hier - Page 7

  • La langue française est menacée

    (depuis longtemps, note de la rédactrice)

    Il est à craindre qu’après avoir lu ce titre, certains lecteurs ne soupirent: " Encore cette rengaine! "
    Espérons néanmoins qu’il demeurera beaucoup de braves pour m’emboîter le pas. Car, l’heure est tragique. De fait, j’aurais dû écrire: "  Jamais la langue française n’a été autant menacée de destruction ". Passées les objurgations d’Etiemble sur le franglais, finie la loi Toubon sur la protection du français, votée mais jamais appliquée. Désormais, l’abîme nous guette.

    Pourquoi?
    D’abord, parce que les médias audiovisuels ont considérablement renforcé leur influence sur les populations. Je parle d’influence mais c’est d’emprise qu’il s’agit. Ils l’ont portée à un niveau sans précédent dans l’Histoire. Du matin au soir et même, du berceau au cimetière, un individu lambda est bombardé par une multitude d’images, d’émissions, de publicités, de vidéos, de films, de débats, de reportages qui modèlent sa façon de voir les choses, mais aussi sa façon de s’exprimer. Limitons-nous au domaine du langage; que constate-t-on?

    Un fait accablant.
    La démultiplication de ces flux audio-visuels gigantesques ne s’accompagne plus, comme ce fut longtemps le cas, d’un strict contrôle de la qualité du français utilisé. Tout au contraire, le Léviathan médiatique qui pèse sur nos vies, véhicule une langue appauvrie, rabougrie et saturée d’anglicismes.
    Quelques exemples pour fixer les idées:
    – Les mots sujet et souci sont constamment utilisés comme synonymes de problème. Qui n’a entendu dire ces temps-ci: "y a pas de souci" pour dire: "Pas de problème"? Or ces trois mots ont des sens différents. Cet usage absurde a été imposé par les médias dont la puissance tentaculaire a propulsé cette erreur au niveau national et même international en deux temps trois mouvements.
    – Les journalistes se croient trop souvent obligés d’annoncer qu’ils vont "décrypter" l’information ; il suffirait de dire qu’ils vont l’analyser. (décrypter est un synonyme de décoder.)
    – Le participe passé dédié a remplacé consacré à ou destiné à. On vous parlera donc d’un emplacement "dédi“" à l’accueil des voyageurs ou d’un personnel " dédié " à la sécurité. Les médias ne reculant devant rien ont même imposé une salle " dédiée " sans complément ce qui signifierait donc une salle particulière, et même des fonctionnaires "dédiés", comprendre: spécialisés. Le tout au mépris des dictionnaires et des notions étymologiques les plus élémentaires.

    De telles âneries sont constamment propagées et imposées par les médias. Rappelons que dédier a originellement un sens religieux et qui a évolué vers l’idée d’attribuer un lieu, un objet, un livre, en hommage à une personne, ou à une divinité.
    La cause de ces impropriétés à la limite du barbarisme est facile à éclairer: la déficience de l’enseignement du français dans nos écoles. Elles produisent des millions de jeunes gens n’ayant qu’une connaissance approximative, fort médiocre de la langue nationale.

    À ce défaut majeur s’ajoute le fléau d’un certain snobisme qui porte des locuteurs francophones à truffer leurs phrases de mots anglais. Ce phénomène est bien connu: il consiste à parsemer leurs propos d’un semis de termes empruntés à la langue de Shakespeare afin de "laisser entendre" – tout est là – que cette langue n’a pas de secret pour eux. C’est là pur enfantillage et sans doute l’explication complète est-elle plus compliquée, mais baste, que c’est irritant!

    Quelques exemples pour fixer les idées:
    – Une grande publicité pour le Ricard… born (né) à Marseille;
    – Le coronavirus faisant des ravages, les plus hautes autorités évoquèrent à la télévision des clusters. Ce mot désigne -en anglais- un massif de fleurs, un bouquet d’arbres, un régime de bananes, un pâté de maisons ou un groupe d’îles. Pourquoi diable le substituer au terme français foyer infectieux, parfaitement clair?
    – Durant cet épisode, j’entendis, toujours sur les petits écrans, un médecin s’inquiéter de la vulnérabilité des personnes âgées. Il déclara benoîtement ceci: "on peut craindre un "strike" (choc) dans les Ehpad".
    Ces sottises et ces faux sens ne datent pas d’aujourd’hui. En 1950 déjà, j’entendais des professeurs expliquer qu’en anglais to control ne signifiait pas contrôler mais dominer ou maîtriser. "Pas grave", diront certains.
    ET pourtant! La traduction de birth control est à l’origine d’un faux sens qui s’est perpétué à ce jour. En français correct, contrôle des naissances signifie stricto sensu vérification des naissances. Or, en anglais, birth control signifie maîtrise de la fécondité et l’on aurait dû le traduire ainsi. Entre ces deux expressions, on admettra qu’il y a plus qu’une nuance.

    Le problème ne se limite pas à des traductions bancales, il y a pire. L’emploi de mots anglais dans la phrase française atteint une densité frappante. Qui n’a déjà entendu des phrases du genre: " il faut booster les process pour éviter un gap"?
    En français régulier, il est pourtant plus simple de dire: " il faut renforcer l’action pour éviter un écart…" (tenu pour trop grand). L’ennui est que pour beaucoup de Français: booster, process, gap, ne sont déjà plus des mots anglais. D’aucuns vous diront, en toute bonne foi, qu’ils les ont toujours entendus. Le mal est fait. Hélas! Il ne sera pas sans conséquence. Nous verrons lesquelles.
    Et alors? Que faire?

    Nous le verrons aussi prochainement.

    Jean Monneret

    C'est ici, lisez les commentaires

     

     

  • Morte de rire: les ricains ne connaissent pas la littérature!

    USA: des manifestants vandalisent la statue de Cervantes, auteur de “Don Quichotte“, qui fut réduit en esclavage par les Barbaresques

     

        Antifa doesn't spare Cervantes. Golden Gate Park, San Francisco. pic.twitter.com/KNqCbCzGZD

        — Ian Miles Cheong (@stillgray) June 20, 2020

     

        Crowd beat up on the statue after and tagged it, plus a nearby statue of Cervantes for good measure pic.twitter.com/F7foXW1ez6

        — Joe Rivano Barros (@jrivanob) June 20, 2020

     

    Franck Ferrand nous parle aujourd’hui d’un esclavage un peu particulier… Il fut un temps où la cité d’Alger, comptait plus de 25 000 esclaves pour environ 100 000 habitants. Des esclaves blancs et chrétiens, capturés par les pirates barbaresques…

    Ce fut le cas notamment du célèbre Cervantès, l’auteur de Don Quichotte, à la fin du XVIe siècle…

    https://youtu.be/Gzlbp_9doHg

    Trop cons, les ricains: chaque fois qu'ils voient une statue, il la déboulonne sans connaître l'histoire de la personne statufiée!!!!

    zut... on a les mêmes ici!

     

  • Races, Tribus, Ethnies. Une Africaine témoigne.

    L’Afrique est malade de son racisme.

    Il faut arrêter de fermer les yeux sur le tribalisme et l’ethnisme. Ces formes de racisme empêchent le continent africain de sortir de l’ornière.

    Des pays africains, hélas nombreux, sont en train de s’enfoncer dans la misère à cause d’un mal qui ronge leurs populations: le racisme. Des Africains seront les premiers à trouver que mon jugement est exagéré mais à certains moments il faut réveiller les consciences par des mots forts.

    A force d’expliquer les dérapages incessants de certains dirigeants africains, de certains groupes armés qui sèment la mort pour conquérir le pouvoir sans donner des garanties d’amélioration aux populations qu’ils sont censés défendre, par l’ethnisme ou le tribalisme, des mots devenus édulcorés, certains poussent les responsables et les populations africaines à fermer les yeux et à être fatalistes.

    En effet, alors que dans tous les pays du monde, les dirigeants luttent contre le racisme, aucune lutte contre le tribalisme et l’ethnisme, pratiques presque exclusivement africaines, n’est annoncée, ni par la communauté internationale, ni par les Africains eux-mêmes.

    Et pourtant l’idéologie de ces deux pratiques rejoint parfaitement celle du racisme. Et dans les faits, nous constatons dans plusieurs pays africains, des personnes ou des groupes de personnes qui décrètent du jour au lendemain des guerres tribales ou ethniques, en désignant "les autres" qui appartiennent aux tribus ou ethnies différentes de la leur comme étant "des êtres du mal" à éliminer ou psychologiquement ou pire physiquement. Ces dix dernières années, ce genre de guerriers est apparu dans plusieurs pays: je ne cite que les cas graves comme le Libéria, la Somalie, le Congo, la République démocratique du Congo, le Burundi, le Rwanda, la Sierra Leone, et la Côte d’Ivoire.

    Si les pays de la Région des Grands Lacs sont les plus touchés par le racisme, le cas de la Côte d’Ivoire devrait interpeller les consciences africaines et faire peur aux pays qui ont encore la chance de vivre en paix. En effet voilà un pays, stable depuis l’indépendance, prospère malgré le manque des matières premières comme le pétrole ou les minerais, dont l’image à l’étranger était parmi les meilleures et la capitale parmi les plus belles, devenu en quelques années un espace livré au racisme. Nous en connaissons les conséquences: une chasse à l’"Autre" qui a engendré des morts, des réfugiés, des orphelins, bref une image qui a fait réfléchir plus d’un Africain et qui nous a plongés dans un pessimisme indescriptible. Nous croyions ce pays définitivement sur le bon chemin.

    Un exemple du fait que c’est le "racisme" qui est naturel et qu’il n’a pas besoin de beaucoup de temps pour être efficace. Dans des pays comme les nôtres, une fois qu’un "chef d’état ou de guerre" fait appel à lui, il va aussi vite qu’un feu de brousse en été, parce que les insatisfactions de la vie sont profondes et nombreuses. Il recrute facilement parmi les laisser pour compte, qui se sentent utiles et considérés pour une fois dans leur vie. Il recrute parmi les jeunes, abandonnés par des structures sans moyens, qui eux aussi sont toujours prêts à l’aventure quitte à y laisser leur vie de misère et qui tuent avec autant d’application et d’énergie que s’ils livraient un combat qui les conduira vers une vie meilleure. Le temps d’un jour, d’une semaine, d’un mois… avant de mourir ou de tomber dans une misère pire que celle qu’ils connaissaient avant.

    L’ethnisme, le tribalisme, le racisme, des maux qui peuvent se résumer en un seul, le racisme, le mot universel, pour que nous puissions sentir le besoin de lutter contre ce mal. Quand on parle des tribus ou des ethnies en Afrique, il y a un certain fatalisme; c’est naturel, nous sommes divisés en ethnies ou en tribus; cela nous plonge fréquemment dans le chaos mais nous n’y pouvons rien. Elles sont là, nous ne pouvons pas les combattre; nous décidons de fuir… vers quoi?

    Et pourtant, les intellectuels africains savent que seuls les plus chanceux d’entre ceux qui vivent en exil, arrivent à trouver un travail correspondant à leur qualification. Certains atteindront l’âge de la retraite sans pouvoir utiliser leur savoir. Pourquoi dans ce cas, ils n’essaient pas d’imaginer des solutions qui pourraient aider leurs pays à vaincre le racisme, pour pouvoir enfin les aider à se développer?

    Le fatalisme qui consiste à dire "il est écrit là-haut que je mourrais en exil" pourrait faire place à un acharnement commun afin de supprimer le mal qui ronge nos pays et qui les empêche d’avancer. Disons-nous la vérité: la communauté internationale nous trouve des solutions qui ne correspondent pas toujours à ce que nous souhaitons. Si elle constate qu’elle a fait des erreurs, elle essaiera autre chose. La balle est toujours dans son camp car c’est elle qui réfléchit à notre place.

    Je ne vais pas terminer sans parler du Burundi, mon pays d’origine, celui que je connais le mieux. Ce pays, comme tous ceux qui connaissent périodiquement des guerres ethniques, des guerres racistes, a une culture de racisme depuis longtemps. Sous la Monarchie, avant la colonisation allemande et la tutelle belge, le Roi tout puissant, ordonnait, le génocide d’un clan, lorsque ce dernier avait la malchance d’avoir un rebelle en son sein. Ce clan, composé de plusieurs familles issues d’un ancêtre commun, était alors visé dans son entièreté. Les membres qui arrivaient à fuir abandonnaient leurs terres et s’établissaient assez loin pour ne pas être reconnus. Parfois, ils étaient obligés de changer de clan et de noms pour survivre.

    D’autres clans, au lieu d’être condamnés à mort, subissaient une exclusion difficile à vivre psychologiquement: les Hima étaient obligés de rester entre eux car ils n’avaient pas l’autorisation d’entrer dans les enclos des autres citoyens: toute une littérature malfaisante avait été élaborée pour faire comprendre que sur leur passage se traînaient la mort, la maladie pour les humains et le bétail, la malchance, etc…

    Les Hutus étaient considérés comme inférieurs et lorsque le Roi se sentait redevable vis-à-vis de quelques familles, il leur accordait "le privilège d’être des Tutsis". Les ethnies n’étaient pas figées. Mais aucune personne ne pouvait devenir "noble", ce titre était réservé aux descendants mâles des différents Rois ainsi qu’à leurs épouses destinées à multiplier les familles "nobles ou ganwa". Les nobles se disaient "au-dessus" des ethnies pour mieux les dominer.

    Les Républiques qui ont suivi la Monarchie, toutes par le plus grand des hasards, dirigées par des Hima, ont pratiqué l’exclusion des Twa, des Hutus et des Ganwa, à des degrés différents. Et des Hutus n’ont pas trouvé mieux pour se défendre que des actes de génocides des Tutsis, répétés, suivis par des massacres des attaquants; et la boucle était bouclée. Cela s’est passé à plusieurs reprises (1965,1972, 1988, 1993…) et entre deux crises, les uns et les autres vivaient comme si les tueries n’allaient plus recommencer. Ils espéraient l’éradication d’un mal pour lequel personne n’avait trouvé de médicament.

    L’exclusion et la mort comme moyens de gouverner! L’exclusion et la mort comme moyens de réclamer ses droits! L’exclusion ou la mort pour résoudre ses problèmes existentiels…

    Le modèle n’a jamais changé: vous m’avez exclu ou pire tué des personnes de mon groupe, une fois au pouvoir je fais de même pour tous ceux qui ne sont pas de mon ethnie.

    Un modèle qui doit casser pour ne pas connaître des guerres sans fin.

    Lalibre.be

  • Le flamby et toute sa clique nous a tué!

    Lorsque Marisol Touraine a détruit le défunt milliard de masques, son chef de cabinet s’appelait Jérôme Salomon, l’actuel DGS :

    https://www.sfmu.org/fr/actualites/actualites-de-l-urgences/depart-de-jerome-salomon-conseiller-securite-sanitaire-de-marisol-touraine

     

  • Coronavirus: Sabine Palliard-Franco a-t-elle trouvé la solution?

    Un docteur français pourrait avoir réussi à trouver un traitement efficace contre le Covid-19 (Sars-Cov-2) qui marche mieux que celui du docteur Raoult (chloroquine + azithromycine).

    Je ne suis pas docteur, je me contente donc de présenter ici quelques textes. Charge à d’autres personnes compétentes d’analyser ces données brutes.

    Les traitements prometteurs que j’ai relevés pour l’instant sans faire de recherche approfondie, mais en m’intéressant un peu au sujet toutefois sont:

     

    > Hydroxychloroquine + Azithromicyne: Didier Raoult (France), Steven Smith (USA)

    > Hydroxychloroquine + Azithromicyne + Sulfate de zinc: Zev Zelenko (USA),

    > Chloroquine + Doxycycline: médecin de Long Island (USA).

    > L’oxyde nitrique inhibe le cycle de réplication du coronavirus: lien.

    > L’anti-grippal japonais Avigan a de bonnes performances: lien.

    > Macrolide + C3G: Sabine Palliard-Franco (France).

    > Azithromycine + Effizinc + Singulair + Héparine: trois médecins généralistes (France)

     

    Le compte-rendu d’expérience du docteur Sabine Palliard-Franco (extraits)

     […] Pour un jeune de 23 ans ayant les mêmes symptômes grippaux, mais ne présentant pas de risque autre qu’un terrain allergique, avec fièvre, toux et aggravation inquiétante de l’essoufflement et oppression thoracique à J7 , n’ayant que la clinique pour prendre une décision, je l’ai traité par ZECLAR/Innovair/anti-histaminique comme pour une surinfection de bronchiolite chez les nourrissons ou une pneumopathie atypique printanière. Traitement qui a donné un très bon résultat en à peine 24 h sur tous les symptômes…

    Confortée par la rapidité et l’efficacité de cette classe médicamenteuse, j’ai donc ajouté à tous mes cas critiques cette prescription de macrolide (ZECLAR, RULID ou Zithromax dont on connaît l’action bactéricide sur les germes atypiques et l’action virucide), ce qui a dans les 24 h amélioré les symptômes subsistants chez tous les patients, même sévères, âgés ou polypathologiques.

     […] Pour ceux à la limite de l’hospitalisation, je constate que sous ce double traitement, (Rocéphine IM ou SC et macrolide per os, bronchodilatateurs) ils n’ont plus de symptômes inquiétants ou sont déjà guéris.

    Pour les cas les moins sévères, le macrolide suffit et agit dès les premières 24 h tant sur la toux, la fièvre, les myalgies, les signes ORL et l’état général. C’est étonnant.

     

    Quel que soit le stade d’avancement de la maladie lors du début du traitement (J5, J7, J9 ou J12) je constate une réponse significative en moins de 48 h et généralement dans les 24 h, sur la surinfection et les symptômes inquiétants, manifestement dissociée de l’évolution naturelle du virus.

    N’ayant pas accès aux tests, je ne peux pas savoir si la charge virale diminue avec ce traitement, mais il est certain qu’avec ce traitement on lutte efficacement contre la surinfection et l’inflammation, ce qui est l’objectif et m’a permis d’éviter au moins 7 hospitalisations dont 5 au-dessus de 75 ans.

    Texte complet pdf : traitement coronavirus palliard-franco

     

    Lettre du fils du docteur Paliard-Franco: "Je suis TRÈS fier de ma mère qui a guéri 100 % de ses patients atteints du Coronavirus ".

    Extraits: Depuis plus d’un mois, ma mère est confrontée à plusieurs patients présentant les symptômes du Covid-19. Dans sa commune du Nord-Isère, de nombreuses personnes travaillent à Lyon, ville fortement touchée par l’épidémie.

    En l’absence de piste de traitement pour ses patients – car c’était avant les premières apparitions publiques du Pr Raoult –, elle décide alors de leur prescrire une combinaison "Macrolide + C3G": deux familles d’antibiotiques bien connus, très peu chers et faciles à produire, utilisés depuis 20 ans contre les pneumonies atypiques. Après tout, elle trouve que cela ressemble bien à une pneumonie…

    En 24 à 48 h, tous les symptômes disparaissent brutalement. Prodigieusement. Cela chez tous ses patients, des formes bénignes aux plus graves

    Quinze personnes présentaient des formes sévères de la maladie, avec des problèmes respiratoires et des terrains à risque (personnes très âgées, fumeurs, diabète, cancer, etc.). Elle imaginait devoir les envoyer aux urgences rapidement, et pensait même ne plus revoir certains d’entre eux.

    Mais aucun n’a eu besoin d’aller à l’hôpital. Tous ont intégralement guéri en 24 à 72 heures!

    Je peux moi-même témoigner de l’efficacité de ce traitement. Après avoir tenu un bureau de vote la journée du 15 mars pour les municipales, j’ai eu plusieurs symptômes du Covid. Au bout de plusieurs jours, j’étais de plus en plus malade et fatigué. Quand ma mère m’a prescrit ce traitement un matin, j’étais remis sur pied le soir même ! Le lendemain, je n’avais plus aucun symptôme et j’étais en pleine forme.

    […]

    Depuis, plusieurs praticiens, partout en France, mais aussi de nombreux services hospitaliers et Ehpad en Isère, Savoie, Haute-Savoie, dans le Grand Est et en région parisienne appliquent son protocole de soins. De nombreuses vies ont pu être sauvées! Il y a quelques jours encore, ma mère a reçu les remerciements d’un médecin qui a ainsi pu guérir un patient de 97 ans en insuffisance respiratoire.

    Nous avons beaucoup entendu parler du professeur Raoult et de l’hydroxychloroquine. Le débat s’est vite porté sur cette molécule: traitement-miracle pour les uns, inefficace voire même dangereux pour les autres à cause de ses effets secondaires.

    Mais ce tumulte nous fait oublier quelque chose: le professeur Raoult ne donne pas seulement l’hydroxychloroquine. Il la combine avec un antibiotique: l’azithromycine (ou Zithromax). Et qu’est-ce que l’azithromycine? Un macrolide! Référez-vous au début du texte: c’est ce que ma mère prescrit à ses patients ! Inutile de vous dire que cela l’a confortée dans sa conviction que son protocole fonctionnait.

    Seulement, ma mère n’a jamais prescrit de chloroquine associée au macrolide. Il n’y a donc pas ces risques d’effets secondaires cardiovasculaires. […]

    Et si le traitement miracle, ce n’était pas la chloroquine dont on n’arrête pas de parler?

    Et si c’était le macrolide, donné à la fois par le Pr Raoult, par ma mère et divers autres praticiens avec les mêmes excellents résultats?

    Julien Martel

    https://ripostelaique.com/coronavirus-sabine-palliard-franco-a-t-elle-trouve-la-solution.html

     

    J'ai entendu que l'on faisait un essai thérapeutique avec des cellules mésenchymateuse (ce sont des cellules sanguines prélevées dans la moelle osseuse ou sang du cordon). Or, il devait se faire, il y a deux ans, un essai thérapeutique pour deux maladies auto-immunes voisines (myopathie inflammatoire et sclérose en plaques) qui semblent identiques dans le processus inflammatoire, essai fait sur des malades en réanimation...

    Or, j'affirme que ces essais ont été abandonnés il y a deux ans PARCE QUE TROP CHERS! donc les personnes en réanimation sont des cobayes gratuits! je certifie sur mon honneur que ce que je dis est exact; en effet, ma fille souffre de la myopathie inflammatoire depuis 1991 et je suis atteinte de sclérose en plaques depuis 2005; je connais bien cet essai qui a été abandonné car il coutait terriblement cher; malgré le fait qu'il soit financé par AFM téléthon (dont ma fille est adhérente à cause de cette maladie) et par une assoc de la sclérose en plaques);

    Le service hospitalier qui s'en occupait est un service de Purpan Toulouse (avant que l’hôpital change de nom) où je suis soignée depuis 2005 et dont mon spécialiste a rencontré ma fille (soignée sans un autre service) et c'est même moi, qui lui avait signalé cette recherche de service hospitalier en France par les financeurs! du coup, mon spé a été choisi car en fait, nous étions deux dans la même famille!

    J'ai été vraiment stupéfaite de voir ce reportage et je me dis que cet essai qui, il me semble, coûtait 700 000 euros par patient,  est abusif: on a pas demandé l'avis des patient, j'en suis presque sure!

     

    https://ripostelaique.com/coronavirus-sabine-palliard-franco-a-t-elle-trouve-la-solution.html

     

     

     

  • A ne pas oublier, les idiots qui se plaignent du confinement...

    Pour comprendre combien de peu d'efforts nous sommes appelés à faire: Anne Frank est restée enfermée 25 mois, sans aucun des conforts que nous avons aujourd'hui, en faisant attention à ne pas faire de bruit pour ne pas être découverte.

    Jeune fille ado, connue pour avoir écrit un journal intime. Celui-ci est rapporté dans le livre “Le Journal d'Anne Frank“, écrit pendant les deux années où elle se cachait avec sa famille à Amsterdam, aux Pays-Bas, alors sous occupation allemande, afin d'éviter la Shoah.

    Arrêtée le 4 août 1944 puis déportée le 2 septembre 1944 vers le camp d'extermination d'Auschwitz-Birkenau. Sept mois après son arrestation, Anne meurt du typhus dans le camp de Bergen-Belsen, quelques jours après sa sœur Margot Frank.

    Le camp est libéré par des troupes britanniques le 15 avril 1945, Amsterdam est libérée le 5 mai 1945.

    Juste pour se rappeler que ce que nous faisons, aujourd'hui, n'est pas grand chose.