Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Insolite - Page 53

  • Google planche sur un bracelet détecteur de cancer

     

    Dans la division des sciences de la vie de Google à Mountain view, se prépare peut-être une révolution dans le secteur de la santé.

    C'est dans l'intimité de son laboratoire baptisé, Google X, que le géant de l'internet, qui se penche depuis plusieurs années sur la santé, tente de mettre au point son bracelet détecteur de cancer. Celui-ci doit permettre d'avertir la personne qui le porte de l'apparition de cellules cancéreuses dans son organisme.

    Pour que le système fonctionne, le patient doit avaler des comprimés contenant des nanoparticules, d'une taille comprise entre 1 et 100 nanomètres (1 à 100 milliardièmes de mètre) qui partent alors à la recherche de cellules cancéreuses (tumorales). Le cas échéant, elles s'y agripperont, les illumineront. Et les cellules d'être alors détectées par le bracelet équipé d'un aimant à nanoparticules.

    Science-fiction ou projet réalisable

    "Ce projet relève à la fois du gadget et de la science-fiction. Comme la plupart des projets médicaux de Google X", lâche le docteur Roland Moreau, inspecteur général des Affaires sociales, interrogé par Atlantico.fr. Selon lui, le problème "concerne les marqueurs tumoraux", qui ne sont pas fiables à 100% pour détecter la maladie. Ensuite, les nanopuces vont devoir être "capables d'attirer et de fixer ces marqueurs tumoraux ou les cellules cancéreuses dans le sang". Enfin, dernier obstacle à la réalisation du projet: "La détection des signaux de lumière émis par les nanoparticules à travers la peau".

    En octobre dernier, alors que Google avait d'ores et déjà annoncé qu'il travaillait sur le rôle prometteur des nanoparticules dans le domaine de la santé, Laurent Lévy, fondateur et président de la société Nanobiotix spécialisée dans l'utilisation de nanoparticules pour le traitement de cancers par radiothérapie, avait jugé que l'annonce du mastodonte américain ne tenait en "rien de la science-fiction". "C'est réalisable et ce n'est pas une idée nouvelle", avait ajouté le spécialiste qui estime que les premiers débouchés pourraient intervenir d'ici une dizaine d'années.

    A noter que pour mener à bien cette expérience et mieux travailler sur la détection des signaux, Google a créé de la peau synthétique mélangée à de la vraie peau...

  • Imprimante 3D : et maintenant, on l'utilise... pour tatouer

    Utiliser une imprimante pour se faire tatouer (définitivement)? C'est l'idée d'un trio de designers français exposés au salon "Osons la France", au Grand Palais, à Paris.

    IDÉE. Que faire d'une imprimante 3D ? Fabriquer des bibelots, des voitures, des céramiques, des injecteurs de carburant pour moteurs d'avions... Bref, elle sert à tout, serait-on tenté de répondre aujourd'hui. Reste qu'il y a bien une application sur laquelle on ne l'attendait pas : celle des tatouages.

    Se passer de la main du tatoueur, est-ce bien raisonnable?

    C'est pourtant bien l'idée qu'ont eu un trio de designers français, Piotr Widelka, Johan Da Silveira et Pierre Emm, qui exposent leur prototype au salon "Osons la France" (il se tient actuellement à Paris, au Grand Palais, et jusqu'au 7 décembre 2014). Ci-dessous, une image de leur machine...

    ... Machine, précisons-le, que vous ne verrez pas fonctionner en direct au salon. D'ailleurs, le "bras" sur la photo n'en est pas un vrai ; cette reproduction est sectionnée à hauteur du biceps. Il n'en reste pas moins que les motifs visibles sur le revêtement plastique imitant la peau ont bien été imprimés par la machine.

    AUTOMATISATION. Mais pourquoi utiliser une imprimante 3D et se passer de la main du tatoueur au moment de se faire orner l'épiderme ? "Parce que l'automatisation permet de dessiner des motifs quasi-impossibles à faire à main nue", explique Pierre Emm, rencontré au Salon. Pas la carotte visible sur la photo ci-dessus, mais des arabesques, des motifs tramés, ou façon pointillisme.

    "Un de nos amis a d'ailleurs été tatoué avec la machine, qui a lui dessiné un rond sur le bras. Un rond parfait, une figure simple a priori... mais essayez d'en faire un parfait à la main!" reprend Pierre Emm. L'ami en question est d'ailleurs le seul, de l'aveu des inventeurs, a avoir subi le dard de l'imprimante-tatoueuse. "Et il était ravi", précisent les inventeurs !...

     

    1mprimante-3d-et-maintenant-on-l-utilise-pour-tatouer.png

     

     

     

     

     

  • Une ville sous-marine va naître au Japon

    Cette cité se présente sous la forme d'un gigantesque globe. Elle est capable d'accueillir 5000 résidents permanents. "C'est un véritable objectif, pas un rêve."

    Le Japon projette de construire une cité-sous-marine, à l'horizon 2030. C'est le géant japonais de la construction Shimizu qui a conçu cette cité futuriste baptisée “Ocean Spiral”.

    Les villes sous-marines alimentent des fantasmes depuis la nuit des temps. Et elles ont inspiré un nombre incalculable de fictions, mangas, films, et autres productions audiovisuelles dont certaines sont désormais célèbres: l'Atlantide, Star Wars et sa ville sous-marine Naboo... Cette fois-ci, cet univers tant fantasmé pourrait bien devenir une réalité. C'est que laisse entendre le géant japonais de la construction Shimizu, qui a dévoilé les plans de ce projet incroyable.

    Le concept: créer une cité sous-marine capable d'accueillir pas moins de 5000 résidents permanents, rapporte le Guardian. Son nom: Ocean Spiral. "Nous n'exploitons pas suffisamment l'immense potentiel des profondeurs", a expliqué le groupe à l'origine du projet, composé d'un panel d'architectes, ingénieurs, et océanographes. La construction prend la forme d'une immense sphère transparente de 500 mètres de diamètre immergée juste sous la surface de la mer. On y entrera en empruntant une spirale qui serpentera sur 15 kilomètres de long, et abritera logements, commerces, bureaux, hôtels...

    Tout au fond de cette grande structure en spirale, on trouvera "l'usine terrestre", qui produira le méthane nécessaire pour alimenter toute la cité sous-marine en énergie. Avec un budget de 20 milliards d'euros, la construction du projet devrait prendre environ cinq ans. En revanche, c'est de mettre au point la technologie qui permettra la vie dans cet espace qui demandera une quinzaine d'années, estiment les initiateurs du projet. "C'est un véritable objectif, pas un rêve", a tenu à déclarer Hideo Imamura, le porte-parole de Shimizu.

    La société de construction japonaise ne compte pas s'en tenir à ce seul projet pour les années à venir. Shimizu a d'ores et déjà planifié d'autres constructions ambitieuses. Parmi elles, on peut citer notamment une base lunaire, un hôtel dans l'espace ainsi que des cités botaniques flottantes. "J'espère qu'à l'avenir, ces initiatives vont se multiplier et qu'elles vont se démocratiser afin que chaque citoyen puisse avoir un rôle actif dans leur création", explique Christian Dimmer, professeur d'urbanisme à l'Université de Tokyo, qui estime que ce qu'il appelle les "techno-utopias" pourraient résoudre les problèmes de montées des eaux provoqués par le réchauffement climatique.

     

    Histoire racontée sur mon espace youtube: nos descendants de l'an 3000

     

     

     

  • Chapeau!

    Un spray d’ADN pourrait révolutionner la traçabilité des aliments

    "Un spray d’ADN pourrait révolutionner la traçabilité des aliments", source James Andrews du 17 novembre 2014 dans Food Safety News.

    Cela ressemble à quelque chose tout droit sorti de la science fiction agricole: une solution liquide contenant des morceaux uniques d’ADN qui sont pulvérisés sur un aliment afin d’identifier facilement les informations sur l’endroit d’où il vient et comment il a été produit dans le cas d’une éclosion ou d’un rappel.

    DNATrek, une start-up de Bay Area, espère révolutionner l’industrie de la traçabilité des aliments avec un "code-barres" ADN qui peut être ajouté aux fruits et aux légumes par une pulvérisation de liquide ou de cire. La société affirme que le traceur est inodore, insipide et ne pose aucun risque pour la sécurité des aliments.

    DNATrekSprayLe fondateur et PDG Anthony Zografos a entendu parler de la technologie de la traçabilité avec de l’ADN mise au point au Lawrence Livermore National Laboratory comme un outil de biodéfense grâce à une subvention du ministère américain de la défense. Zografos y a vu une occasion d’appliquer cette technologie à l’industrie de la sécurité des aliments pour tracer plus rapidement les éclosions et les rappels – une entreprise très difficile avec la technologie actuelle, a-t-il dit.

    "En raison de la façon dont la traçabilité des aliments est mise en place, les enquêtes de retraçage sont très souvent peu concluantes ou prennent des semaines ou plus pour être réalisées ", a dit Zografos à Food Safety News. " Sans être en mesure de comprendre le problème, les entreprises alimentaires émettent généralement des rappels massifs, coûteux et réflexes."

    La technologie fonctionne en prenant des petits bouts d’ADN synthétique ou du matériel génétique d’organismes non retrouvés dans les produits alimentaires – des organismes provenant des algues et de la mer – et on ajoute ces extraits avec des traces de sucre dans une solution pulvérisable qui va directement sur les fruits et les légumes. Si un problème se pose avec le produit, l’ADN sur la surface écouvillonnée peut être identifié en 15 minutes.

    L’avantage d’avoir un code-barres avec de l’ADN directement sur les fruits et les légumes frais est de réduire de manière significative que des informations de traçabilité soient perdues. Très souvent, les caisses utilisées pour le transport de produits frais sont jetées bien avant qu’on résolve le problème avec les produits, et ces caisses avaient des informations de traçabilité.

    La technologie permet aussi de multiples couches de pulvérisation. Le producteur peut vaporiser à la ferme, le transformateur peut vaporiser dans son centre de tri, et la société de transport peut pulvériser quand il est en route pour livrer un magasin.

    Chaque code à barres comporte deux parties. La première partie est un code fixe unique de la société de manutention des aliments attribué par DNATrek.

    La deuxième partie est un code configurable que les entreprises alimentaires mettent sur les aliments concernant les paramètres qu’ils souhaitent suivre. Elles peuvent utiliser un code unique pour identifier le champ dans lequel le produit a été cultivé, la date de la récolte, l’équipe de la cueillette, les machines qui ont été utilisées ou de toute autre mesure qu’ils veulent suivre.

    Plus une société est précise avec ses codes d’identification, plus elle peut identifier les problèmes de sécurité des aliments qui pourraient survenir avec leurs fruits et légumes.

    Zografos a réaffirmé la sécurité du produit et l’distingué du génie génétique.

    "Si vous vous mordez dans une pomme, qui a l’ADN sur elle. Ce n’est pas comme si nous consommions de l’ADN", a-t-il dit.

    "Il n’y a aucune inquiétude scientifique fondée à ce sujet. Nous pouvons extraire l’ADN à partir de rien, et je ne pense pas que quiconque puisse prétendre que les algues soient dangereuses."

    La prochaine étape est de tester l’efficacité et la sécurité avec des essais pilotes sur cinq ou six types de produits, a dit Zografos.

     

    En supposant qu’ils peuvent convaincre l’industrie des produits frais avec leur idée, ils voient une myriade d’autres applications potentielles. L’industrie du vin et des jus de fruits pourraient être les prochains utilisateurs.

    "En fin de compte, cela n’est rien de plus que de l’encre", a déclaré Zografos. "Nous pouvons la mettre sur à peu près tout ce que vous aimez."

    © Food Safety News

  • Un drone pour lutter contre les frelons

     

    Comment détruire sans risque un nid de Frelon haut perché ? Une société vient d'inventer  un drone pour détruire les nids  sans risque. Nos caméras sont montées à trente mètres de hauteur pour assister à la destruction d'un nid.

    L'insecticide est pulvérisé en hauteur et sans risque.

    Efficace et sans risque. Ce drone anti-frelon peut monter à plusieurs dizaines de mètres de hauteur.

     Télécommandé, il peut pulvériser l'insecticide à distance à l'aide d'une lance attachée au bout de l'appareil.  Il y a  de plus en plus  de  frelons asiatiques  en France et il faut savoir qu un nid, cette année,  va  donner  200 nids l'année prochaine. Cette espèce est particulièrement invasive car elle n'a pas de prédateurs connus en France. Dans les Alpes-Maritimes le frelon asiatique se reproduit depuis plusieurs années. 

    Aujourd'hui il est donc important de pouvoir tuer ces  frelons qui se nourrissent  essentiellement d'abeilles.

     

  • Les 10 innovations technologiques révolutionnaires à venir

     

    La technologie avance à la vitesse de l'éclair et elle n'est pas prête de s'arrêter là. Voici une petite sélection des nouveautés technologiques qui sont en voie de révolutionner votre futur quotidien.

    Les Google Glasses

    Vous en avez forcément entendu parler, les lunettes de Google, futur technologique révolutionnaire, font la une des médias. Elles seront commercialisées d’ici 2014 pour une somme avoisinant les 1 500 dollars alors que des bars et des cinémas les ont déjà interdites dans leurs enceintes. Il est un fantasme technologique pour certains, outil ultime de violation de la vie privée pour d’autres, les Google Glasses ne sont pas encore commercialisées, qu’elles suscitent déjà un vif débat de société. Il s’agit de lunettes à réalité augmentée, commandées à la voix, avec un petit écran transparent situé au coin de l’œil droit, sur lequel défilent des informations plus ou moins indispensables en réponse à une demande de l’utilisateur, ou sans qu’il ait demandé quoi que ce soit.

    Golden-I, le casque futuriste

    Golden-I est un ordinateur portable un peu particulier. Il prend place dans un casque futuriste à porter sur la tête. Entièrement contrôlable par la voix et les gestes, il dispose d’une caméra de 14 mégapixels. Le dispositif semble plutôt ambitieux et serait particulièrement adapté pour les travaux de construction et les services d’urgence. Ce qui est certain, c’est que ce gadget plaira en particulier aux amateurs de James Bond.

    L’Oculus Rift, le casque de gamer

    Sous ce nom barbare se cache en réalité un système de réalité virtuelle permettant de s’immerger pleinement dans le monde 3D de jeux prévus à cet effet. Un dispositif à la frontière entre un casque et une paire de lunettes, qui permet de plonger le joueur dans l’immersion la plus totale. Une fois le casque enfilé, ce dernier englobera complètement le champ de vision du joueur, faisait du jeu, sa nouvelle réalité.

    MYO, la télécommande virtuelle

    Le brassard MYO est peut-être l’innovation technologique de l’année. En enfilant l’appareil, il détecte l’activité électrique des muscles des bras. Ce dernier reconnait alors les mouvements de la main et du bras, qui deviennent alors une télécommande virtuelle pouvant accomplir toutes sortes d’actions, comme lancer une vidéo, tourner la plage d’un ebook ou encore jouer à un jeu vidéo. Pas de limites quant aux possibilités de l’appareil, elles dépendent uniquement de l’imagination des développeurs. Le brassard devrait être disponible en fin d’année, au prix de 149$.

    Des écrans souples pour ordinateurs, smartphones et tablettes

    Il n’existe pour le moment qu’un prototype de smartphone flexible avec Windows OS de Samsung, ainsi qu’un concept d’iPhone 6 avec écran légèrement souple, mais aussi un ordinateur portable, Pandora, capable d’être transformé en écran de télévision ou en tablette tactile. Sa charnière flexible permet d’être mis dans différentes positions. L’écran souple est donc une nouvelle façon de concevoir la mobilité.

    3D Doodler, le stylo qui écrit en 3D

    Une invention peut être moins impressionnante pour les amateurs de technologie mais tout aussi audacieuse, le stylo 3D Doodler, permet de donner des formes et du volume à vos dessins, en dessinant en 3 dimensions à l’aide d’un fil de plastique fondu à séchage rapide. Le projet élaboré par Peter Dilworth et Max Bogue a déjà rassemblé plus de 1,7 millions de dollars sur la plateforme de crowdfunding kickstarter, explosant la barre des 30 000 dollars qu’ils demandaient. Prévu pour novembre 2013, ce stylo qui sera vendu pour la modique somme de 60$ en fin d’année, pourrait bien révolutionner le dessin.

    Des voitures sans chauffeur

    Non, nous ne sommes pas encore au stade des soucoupes volantes, mais au stade des voitures sans chauffeur. Sur l’autoroute, dans un embouteillage ou quand il n’y a pas trop de feux de circulation par exemple, il vous suffira d’enfoncer un bouton sur le volant pour que la voiture se mette à conduite toute seule. La voiture adapte automatiquement sa vitesse à celle qui la précède, et reste dans sa file en suivant le marquage au sol. Pendant ce temps, vous pourrez tranquillement lire vos mails ou passer un appel vidéo…

    Les montres intelligentes

    Après les smartphones, le prochain joujou technologique en vogue pourrait bien être la “smartwatch”, une montre qui permet d’avoir accès partout en toute discrétion aux messages et aux appels de son téléphone portable. En attendant l’éventuelle iWatch sur laquelle travaillerait le géant américain Apple, d’autres poids lourds comme Sony ou de petits acteurs comme Pebble et I’m Watch occupent le terrain. La cible va des utilisateurs qui ont du mal à décrocher de leur téléphone lorsqu’ils sont en réunion ou au cinéma, jusqu’aux sportifs qui souhaitent surveiller leur rythme cardiaque pendant l’effort. Elles fonctionnement comme un complément du smartphone, avec lequel elle communique via le Bluetooth. L’utilisateur peut ainsi, sans sortir son téléphone de la poche, répondre ou rejeter un appel, consulter ses mails ou voir ses notifications sur les réseaux sociaux.

    Les écouteurs…sans écouteurs

    Le nouveau casque de Panasonic permet d’écouter sa musique tout en restant attentif à son environnement extérieur. Le nouveau casque de Panasonic exploite la connectivité osseuse de la boîte crânienne. Les embouts sont placés directement sur les os de la tempe et les vibrations sont transmises vers le nerf auditif par les os.

    La télévision intelligente, qui vous regarde

    Cela peut sembler inquiétant pour ceux qui ont lu 1984 de George Orwell, mais selon les acteurs du secteur, c’est la nouvelle étape de l’évolution de la télévision : Des télévisions "intelligentes", connectées à internet, équipées de technologies qui "voient" le spectateur, avec l’objectif de proposer des programmes plus adaptés. Méfiance tout de même, nombreuses sont les personnes qui pensent que notre vie sera de plus en plus assaillie par les publicitaires, qui pourront mettre au point des annonces encore plus ciblées qu’aujourd’hui.