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Insolite - Page 51

  • Un iPhone carré ou un smartphone transparent, les deux concepts insolites.

    On revient aujourd’hui avec deux concepts insolites, dont un iPhone carré pour ados et un smartphone transparent et futuriste, façon "Inception". Ce n’est pas demain la veille qu’on les verra arriver, mais c’est bon de rêver.

    Les produits Apple se font disséquer par bien des designers. Alors que le concept d’iPhone Edition inspiré de l’iPhone première génération avait séduit quelques hipsters, ce sont les adolescents que ce tout nouveau concept d’iPhone carré est censé séduire. Adolescents, mais pas que ! S’il est vrai que certaines firmes comme Motorola ou Nokia ont déjà lancé la mode du téléphone carré pour les ados, Apple n’en a jamais rien fait. Bien entendu, on peut toujours courir mais voici le concept carré imaginé par le designer Londonien Chike Newmann pour Apple. Construit sur la base d’un iPhone on ne peut plus banal, le smartphone arbore un clapet carré à glissière, système un peu démodé mais non sans charme. L’appareil photo risque malgré tout d’être difficile à utiliser car l’appareil est petit et la prise en main moins évidente. Mais finalement, le gadget (paré de métal et de verre) redonne un sacré coup de fouet au vieux Nokia à glissière de vos 15 ans !

    Le deuxième design, baptisé "Projet Aria", présente des caractéristiques beaucoup plus futuristes. Après avoir vu passer deux concepts iPhone et iMac conçus en hommage aux années 80, on active le mode Back to the Future avec au programme, projection holographique et Lytro Camera pour ce concept transparent nommé Aria. Conçu par 91mobiles.com, le dispositif présente un écran totalement translucide et un système de projection holographique par l’intermédiaire de quatre petits projecteurs placés à chaque coin du téléphone. L’appareil photo Lytro permet de capturer des profondeurs de champ dans leur intégralité. Même les caractéristiques les plus banales réussissent à être excellentes. On relève un écran UHD de 5 pouces avec un panneau polarisé, 4 Go de RAM et jusqu’à 128 Go de stockage, un appareil photo Lytro avec OIS et capture vidéo 4K. Le must : un "super-condensateur" offrant deux jours de vie à la batterie pour une charge de seulement 30 minutes. Un condensé de futurisme et de pureté, en images.

     

  • SIDERANT!

    Spot, le chien du futur !

    Après Big Dog, la société Boston Dynamics présente son nouveau quadrupède robot : Spot.

    Par Thierry Berthier.

     

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    credits Big dog military robots (CC BY-NC-SA 2.0)

    Le 9 février 2015, la société américaine Boston Dynamics présentait dans une impressionnante vidéo, Spot, l’un de ses nouveaux robots quadrupèdes. Cette vidéo postée sur Youtube a été vue par presque quatre millions de visiteurs en trois jours seulement. La performance technologique de Boston Dynamics, société de robotique rachetée en décembre 2013 par Google, est bien au rendez-vous. Dans la lignée de Big Dog, le robot Spot ressemble à un chien encore un peu « pataud » mais possède un équilibre à toute épreuve. Ainsi, Spot est capable d’encaisser des coups de pieds donnés par un homme et de s’adapter à des forces latérales sans perdre l’équilibre. Le robot compense les efforts qu’il subit, se stabilise rapidement, ceci même sur un sol gelé. La recherche de résilience dynamique a clairement guidé le développement de Spot. C’était déjà le cas pour le programme Big Dog. Capable d’évoluer en terrain accidenté, de monter un escalier, de courir aux côtés d’un homme sans chuter, Spot atteint un niveau opérationnel désormais compatible avec des utilisations civiles et militaires. Boston Dynamics présente succinctement et sobrement sa création : « Spot is a four-legged robot designed for indoor and outdoor operation. It is electrically powered and hydraulically actuated. Spot has a sensor head that helps it navigate and negotiate rough terrain. Spot weighs about 160 lbs ».La vidéo de Spot nous suggère alors deux réflexions complémentaires :

    Spot est d’abord un succès stratégique pour Google

    Google doit se féliciter d’avoir racheté fin 2013 la société Boston Dynamics car son expertise et son avance technologique ne relèvent ni de l’illusion ni de la spéculation. L’innovation de rupture en matière de robotique est flagrante et les futurs « maîtres » de Spot seront certainement très nombreux. Lorsqu’on imagine le marché potentiel de Spot, on pense immédiatement à l’usage militaire. Spot suivra le combattant et fera office de chien-mule, transportant sans fatigue des charges lourdes. Il pourra intervenir en milieu contaminé ou effectuer des reconnaissances en le dotant de capteurs ad-hoc. L’usage civil est tout aussi large. On pense notamment à l’automatisation de certains chaînons de production industrielle, à la sécurité civile, à l’aide aux personnes handicapées (Spot en chien d’aveugle), aux personnes dépendantes, aux personnes âgées ou simplement Spot comme chien de garde ou chien de compagnie. La mise en production de Spot semble à la fois proche et évidente.

    Spot nous conduit vers l’admissibilité zoomorphique

    Sur un plan strictement robotique, les capacités dynamiques et la morphologie de Spot le font entrer de plain pied dans une zone d’acceptabilité pour l’observateur humain. Spot franchit une barrière d’admissibilité zoomorphique qui sépare l’objet mécanisé perçu par l’homme en tant que tel et le robot imitant l’animal et suscitant une perception humaine différente. Cette barrière d’admissibilité zoomorphique marque une frontière diffuse au sein de la perception humaine : d’un côté, les robots industriels, mécanisés, qui ne suscitent pas de sentiment particulier chez l’observateur humain et de l’autre, des robots imitant l’animal ou l’homme, provoquant de fait des réactions et des sensations spécifiques. Pour des robots humanoïdes, la zone d’Uncanny Valley (vallée dérangeante) a fait l’objet de nombreuses études. Elle correspond (en simplifiant) à une phase de malaise ressenti dans l’imitation de l’homme par la machine. L’observateur humain ressent une forme de dégoût au contact du robot humanoïde qui n’imite pas assez bien l’homme pour passer pour humain mais suffisamment bien pour provoquer ce malaise. Cette zone d’Uncanny Valley est à rapprocher d’un test de Turing sensitif qui ne serait pas passé avec succès par la machine mais qui serait tout de même très proche de ce succès. Concernant un robot zoomorphe comme Spot, la zone d’Uncanny Valley est certainement très resserrée et le zoomorphisme semble s’imposer rapidement chez l’observateur humain.

    Pour s’en convaincre, j’invite le lecteur à visionner ou revisionner la vidéo de Spot en particulier à la trentième seconde lorsqu’un de ses concepteurs le pousse violemment avec le pied. Quelle est notre réaction immédiate, instinctive ? Que ressentons-nous de manière inconsciente ? Notre cerveau va associer cette « agression » à une agression équivalente réalisée sur un vrai chien et va désapprouver instinctivement le geste de l’opérateur. Le transfert zoomorphique opère pleinement et modifie notre perception du robot. Ce transfert devient possible lorsque le robot atteint un niveau de performance et d’imitation avec l’animal suffisant pour créer l’association. On se situe alors dans une phase de pré-succès pour un test de Turing sensitif…

     

    La vidéo est ici:

    https://www.contrepoints.org/2015/02/13/197829-video-decouvrez-spot-le-chien-du-futur

     

     

  • Google planche sur un bracelet détecteur de cancer

     

    Dans la division des sciences de la vie de Google à Mountain view, se prépare peut-être une révolution dans le secteur de la santé.

    C'est dans l'intimité de son laboratoire baptisé, Google X, que le géant de l'internet, qui se penche depuis plusieurs années sur la santé, tente de mettre au point son bracelet détecteur de cancer. Celui-ci doit permettre d'avertir la personne qui le porte de l'apparition de cellules cancéreuses dans son organisme.

    Pour que le système fonctionne, le patient doit avaler des comprimés contenant des nanoparticules, d'une taille comprise entre 1 et 100 nanomètres (1 à 100 milliardièmes de mètre) qui partent alors à la recherche de cellules cancéreuses (tumorales). Le cas échéant, elles s'y agripperont, les illumineront. Et les cellules d'être alors détectées par le bracelet équipé d'un aimant à nanoparticules.

    Science-fiction ou projet réalisable

    "Ce projet relève à la fois du gadget et de la science-fiction. Comme la plupart des projets médicaux de Google X", lâche le docteur Roland Moreau, inspecteur général des Affaires sociales, interrogé par Atlantico.fr. Selon lui, le problème "concerne les marqueurs tumoraux", qui ne sont pas fiables à 100% pour détecter la maladie. Ensuite, les nanopuces vont devoir être "capables d'attirer et de fixer ces marqueurs tumoraux ou les cellules cancéreuses dans le sang". Enfin, dernier obstacle à la réalisation du projet: "La détection des signaux de lumière émis par les nanoparticules à travers la peau".

    En octobre dernier, alors que Google avait d'ores et déjà annoncé qu'il travaillait sur le rôle prometteur des nanoparticules dans le domaine de la santé, Laurent Lévy, fondateur et président de la société Nanobiotix spécialisée dans l'utilisation de nanoparticules pour le traitement de cancers par radiothérapie, avait jugé que l'annonce du mastodonte américain ne tenait en "rien de la science-fiction". "C'est réalisable et ce n'est pas une idée nouvelle", avait ajouté le spécialiste qui estime que les premiers débouchés pourraient intervenir d'ici une dizaine d'années.

    A noter que pour mener à bien cette expérience et mieux travailler sur la détection des signaux, Google a créé de la peau synthétique mélangée à de la vraie peau...

  • Imprimante 3D : et maintenant, on l'utilise... pour tatouer

    Utiliser une imprimante pour se faire tatouer (définitivement)? C'est l'idée d'un trio de designers français exposés au salon "Osons la France", au Grand Palais, à Paris.

    IDÉE. Que faire d'une imprimante 3D ? Fabriquer des bibelots, des voitures, des céramiques, des injecteurs de carburant pour moteurs d'avions... Bref, elle sert à tout, serait-on tenté de répondre aujourd'hui. Reste qu'il y a bien une application sur laquelle on ne l'attendait pas : celle des tatouages.

    Se passer de la main du tatoueur, est-ce bien raisonnable?

    C'est pourtant bien l'idée qu'ont eu un trio de designers français, Piotr Widelka, Johan Da Silveira et Pierre Emm, qui exposent leur prototype au salon "Osons la France" (il se tient actuellement à Paris, au Grand Palais, et jusqu'au 7 décembre 2014). Ci-dessous, une image de leur machine...

    ... Machine, précisons-le, que vous ne verrez pas fonctionner en direct au salon. D'ailleurs, le "bras" sur la photo n'en est pas un vrai ; cette reproduction est sectionnée à hauteur du biceps. Il n'en reste pas moins que les motifs visibles sur le revêtement plastique imitant la peau ont bien été imprimés par la machine.

    AUTOMATISATION. Mais pourquoi utiliser une imprimante 3D et se passer de la main du tatoueur au moment de se faire orner l'épiderme ? "Parce que l'automatisation permet de dessiner des motifs quasi-impossibles à faire à main nue", explique Pierre Emm, rencontré au Salon. Pas la carotte visible sur la photo ci-dessus, mais des arabesques, des motifs tramés, ou façon pointillisme.

    "Un de nos amis a d'ailleurs été tatoué avec la machine, qui a lui dessiné un rond sur le bras. Un rond parfait, une figure simple a priori... mais essayez d'en faire un parfait à la main!" reprend Pierre Emm. L'ami en question est d'ailleurs le seul, de l'aveu des inventeurs, a avoir subi le dard de l'imprimante-tatoueuse. "Et il était ravi", précisent les inventeurs !...

     

    1mprimante-3d-et-maintenant-on-l-utilise-pour-tatouer.png

     

     

     

     

     

  • Une ville sous-marine va naître au Japon

    Cette cité se présente sous la forme d'un gigantesque globe. Elle est capable d'accueillir 5000 résidents permanents. "C'est un véritable objectif, pas un rêve."

    Le Japon projette de construire une cité-sous-marine, à l'horizon 2030. C'est le géant japonais de la construction Shimizu qui a conçu cette cité futuriste baptisée “Ocean Spiral”.

    Les villes sous-marines alimentent des fantasmes depuis la nuit des temps. Et elles ont inspiré un nombre incalculable de fictions, mangas, films, et autres productions audiovisuelles dont certaines sont désormais célèbres: l'Atlantide, Star Wars et sa ville sous-marine Naboo... Cette fois-ci, cet univers tant fantasmé pourrait bien devenir une réalité. C'est que laisse entendre le géant japonais de la construction Shimizu, qui a dévoilé les plans de ce projet incroyable.

    Le concept: créer une cité sous-marine capable d'accueillir pas moins de 5000 résidents permanents, rapporte le Guardian. Son nom: Ocean Spiral. "Nous n'exploitons pas suffisamment l'immense potentiel des profondeurs", a expliqué le groupe à l'origine du projet, composé d'un panel d'architectes, ingénieurs, et océanographes. La construction prend la forme d'une immense sphère transparente de 500 mètres de diamètre immergée juste sous la surface de la mer. On y entrera en empruntant une spirale qui serpentera sur 15 kilomètres de long, et abritera logements, commerces, bureaux, hôtels...

    Tout au fond de cette grande structure en spirale, on trouvera "l'usine terrestre", qui produira le méthane nécessaire pour alimenter toute la cité sous-marine en énergie. Avec un budget de 20 milliards d'euros, la construction du projet devrait prendre environ cinq ans. En revanche, c'est de mettre au point la technologie qui permettra la vie dans cet espace qui demandera une quinzaine d'années, estiment les initiateurs du projet. "C'est un véritable objectif, pas un rêve", a tenu à déclarer Hideo Imamura, le porte-parole de Shimizu.

    La société de construction japonaise ne compte pas s'en tenir à ce seul projet pour les années à venir. Shimizu a d'ores et déjà planifié d'autres constructions ambitieuses. Parmi elles, on peut citer notamment une base lunaire, un hôtel dans l'espace ainsi que des cités botaniques flottantes. "J'espère qu'à l'avenir, ces initiatives vont se multiplier et qu'elles vont se démocratiser afin que chaque citoyen puisse avoir un rôle actif dans leur création", explique Christian Dimmer, professeur d'urbanisme à l'Université de Tokyo, qui estime que ce qu'il appelle les "techno-utopias" pourraient résoudre les problèmes de montées des eaux provoqués par le réchauffement climatique.

     

    Histoire racontée sur mon espace youtube: nos descendants de l'an 3000

     

     

     

  • Chapeau!

    Un spray d’ADN pourrait révolutionner la traçabilité des aliments

    "Un spray d’ADN pourrait révolutionner la traçabilité des aliments", source James Andrews du 17 novembre 2014 dans Food Safety News.

    Cela ressemble à quelque chose tout droit sorti de la science fiction agricole: une solution liquide contenant des morceaux uniques d’ADN qui sont pulvérisés sur un aliment afin d’identifier facilement les informations sur l’endroit d’où il vient et comment il a été produit dans le cas d’une éclosion ou d’un rappel.

    DNATrek, une start-up de Bay Area, espère révolutionner l’industrie de la traçabilité des aliments avec un "code-barres" ADN qui peut être ajouté aux fruits et aux légumes par une pulvérisation de liquide ou de cire. La société affirme que le traceur est inodore, insipide et ne pose aucun risque pour la sécurité des aliments.

    DNATrekSprayLe fondateur et PDG Anthony Zografos a entendu parler de la technologie de la traçabilité avec de l’ADN mise au point au Lawrence Livermore National Laboratory comme un outil de biodéfense grâce à une subvention du ministère américain de la défense. Zografos y a vu une occasion d’appliquer cette technologie à l’industrie de la sécurité des aliments pour tracer plus rapidement les éclosions et les rappels – une entreprise très difficile avec la technologie actuelle, a-t-il dit.

    "En raison de la façon dont la traçabilité des aliments est mise en place, les enquêtes de retraçage sont très souvent peu concluantes ou prennent des semaines ou plus pour être réalisées ", a dit Zografos à Food Safety News. " Sans être en mesure de comprendre le problème, les entreprises alimentaires émettent généralement des rappels massifs, coûteux et réflexes."

    La technologie fonctionne en prenant des petits bouts d’ADN synthétique ou du matériel génétique d’organismes non retrouvés dans les produits alimentaires – des organismes provenant des algues et de la mer – et on ajoute ces extraits avec des traces de sucre dans une solution pulvérisable qui va directement sur les fruits et les légumes. Si un problème se pose avec le produit, l’ADN sur la surface écouvillonnée peut être identifié en 15 minutes.

    L’avantage d’avoir un code-barres avec de l’ADN directement sur les fruits et les légumes frais est de réduire de manière significative que des informations de traçabilité soient perdues. Très souvent, les caisses utilisées pour le transport de produits frais sont jetées bien avant qu’on résolve le problème avec les produits, et ces caisses avaient des informations de traçabilité.

    La technologie permet aussi de multiples couches de pulvérisation. Le producteur peut vaporiser à la ferme, le transformateur peut vaporiser dans son centre de tri, et la société de transport peut pulvériser quand il est en route pour livrer un magasin.

    Chaque code à barres comporte deux parties. La première partie est un code fixe unique de la société de manutention des aliments attribué par DNATrek.

    La deuxième partie est un code configurable que les entreprises alimentaires mettent sur les aliments concernant les paramètres qu’ils souhaitent suivre. Elles peuvent utiliser un code unique pour identifier le champ dans lequel le produit a été cultivé, la date de la récolte, l’équipe de la cueillette, les machines qui ont été utilisées ou de toute autre mesure qu’ils veulent suivre.

    Plus une société est précise avec ses codes d’identification, plus elle peut identifier les problèmes de sécurité des aliments qui pourraient survenir avec leurs fruits et légumes.

    Zografos a réaffirmé la sécurité du produit et l’distingué du génie génétique.

    "Si vous vous mordez dans une pomme, qui a l’ADN sur elle. Ce n’est pas comme si nous consommions de l’ADN", a-t-il dit.

    "Il n’y a aucune inquiétude scientifique fondée à ce sujet. Nous pouvons extraire l’ADN à partir de rien, et je ne pense pas que quiconque puisse prétendre que les algues soient dangereuses."

    La prochaine étape est de tester l’efficacité et la sécurité avec des essais pilotes sur cinq ou six types de produits, a dit Zografos.

     

    En supposant qu’ils peuvent convaincre l’industrie des produits frais avec leur idée, ils voient une myriade d’autres applications potentielles. L’industrie du vin et des jus de fruits pourraient être les prochains utilisateurs.

    "En fin de compte, cela n’est rien de plus que de l’encre", a déclaré Zografos. "Nous pouvons la mettre sur à peu près tout ce que vous aimez."

    © Food Safety News