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fille - Page 16

  • La France: le marché aux blanches où tout est gratuit!

    Strasbourg: un demandeur d’asile agresse sexuellement une femme dans le hall de la gare. " J’ai vu les tatouages, ça m’a plu "

    Vendredi dernier, un homme s’est assis à côté d’une femme qui patientait dans le hall de la gare de Strasbourg. Il lui a tendu la main en lui adressant des paroles dans une langue qu’elle ne comprenait pas. La jeune femme, qui était occupée à se recoiffer, n’a pas vraiment prêté attention. C’est alors que l’individu lui a touché la poitrine. Puis il a posé ses deux mains sur ses cuisses, n’hésitant pas à les glisser sous sa jupe. La victime lui a tapé sur les mains pour le repousser, sans succès: il a recommencé aussitôt. Elle s’est levée et a menacé de crier. L’auteur des attouchements a été interpellé un peu plus tard alors qu’il se trouvait toujours à la gare.

    "J’ai vu les tatouages, ça m’a paru extravagant, ça m’a plu", a indiqué le demandeur d’asile albanais, ce lundi, devant la chambre des comparutions immédiates du tribunal de grande instance de Strasbourg. Le prévenu âgé de 20 ans s’est confondu en excuses, promettant qu’un tel comportement ne se reproduirait plus.

    www.dna.fr

  • A votre avis, escroquerie pure et dure?

    sous couvert d'aide et solidarité….

    Comme j'avais raconté sur le site une expérience de “voyance“ en forme d'IME sur un site et que le médecin (voir plus bas) m'avait répondu en m'indiquant que oui, ma vision pouvait relever d'une EMI*, je viens de recevoir cet incroyable e-mail (le 1er du genre) et là, j'ai toutes les peines du monde à ne pas me mettre en colère!

    *Il est donc possible d'avoir une EMI alors que l'on est EVEILLE-E!

    Finalement, c'est bien ce que j'ai toujours pensé: un jour ou l'autre, les intentions les meilleures deviennent de la pure escroquerie! Honte à ce médecin: tout ceci commence à prendre l'odeur nauséabonde de prémisses d'une secte.

     

    Bonjour à toutes et à tous,
    Nous remercions chaleureusement toutes les personnes qui ont d'ores et déjà soutenu de leurs dons la rencontre "Expériences de Mort Imminente" que notre association organise en juin 2018.
    A ce jour, 34 personnes ont contribué pour un total de 1442 €, avec des dons allant de 5 à 100 €. La moyenne des dons est de 42 €.
    Cette somme nous permettra déjà de défrayer totalement les personnes qui ont les plus faibles revenus.
    Le reliquat sera réparti entre tous les autres participants et permettra de réduire en partie le coût de leur hébergement.
    Cependant, conformément à notre éthique, nous aimerions que cette rencontre soit totalement gratuite pour tous les participants, et nous n'avons pour l'instant recueilli que la moitié de la somme qui serait nécessaire.
    Pour cela, il faudrait que nous réunissions au moins 3000 €, et il ne reste que 9 jours avant la fin de cette campagne de financement participatif, qui se terminera le 29 avril.
    Il est encore temps de contribuer, et si ce n'est déjà fait, vous pouvez vous rendre à l'adresse suivante : https://www.zeste
    Vous pourrez y découvrir tous les détails concernant cette rencontre, qui permettra à 30 personnes de sortir d'un isolement qui, pour beaucoup, dure depuis des dizaines d'années.
    Si vous désirez nous soutenir, il vous suffira de cliquer sur l'encadré "Faites un Zeste" puis de choisir le montant de votre contribution et si vous le désirez, votre contrepartie.
    Au nom de toute l'équipe de bénévoles de IANDS-France, et surtout de toutes les personnes que vous allez aider de votre générosité, je vous adresse par avance mes plus chaleureux remerciements!
    Très cordialement
    Dr Jean-Pierre JOURDAN
    Président, directeur de la recherche médicale IANDS-France
    iands-france.org  
    deadlinelelivre.fr

  • La langue française vaut bien un combat judiciaire

    VIDEZ LA GAUCHIASSE DE NOS FACULTÉS!

    Par Bernard SERGENT, historien et archéologue français

    Après avoir par trois fois débouté les associations qui réclamaient que la langue de Molière soit respectée par les établissements publics, des juges ont condamné une fédération d’universités qui entendait se rebaptiser "Research University". Retour sur les faits.

    Le 7 septembre, la 1re chambre de la 5e section du tribunal administratif de Paris a rendu un jugement dont on ose espérer qu’il fasse désormais jurisprudence.

    A la suite de la plainte d’une association, Francophonie Avenir, la chambre avait à émettre un arrêt sur la question suivante : l’université Paris-Sciences-et-Lettres (PSL), fédération de neuf universités parisiennes, était-elle autorisée à s’appeler désormais "Research University" ? Car ce que faisant, elle violait directement la loi, à savoir celle du 4 août 1994, couramment appelée la "loi Toubon". Cette dernière dispose en effet, en son article 14, que "l’emploi d’une marque de fabrique, de commerce ou de service constituée d’une expression ou d’un terme étrangers est interdit aux personnes morales de droit public dès lors qu’il existe une expression ou un terme français de même sens". Les juges du tribunal administratif ont considéré que tel était le cas, l’université PSL étant un établissement public, et les termes litigieux ayant assurément des équivalents français.

    Ce jugement peut-il exprimer un changement de paradigme ? On peut le souhaiter, car, dans les derniers temps, les plaintes déposées par diverses associations ont toutes été déboutées, bien que toujours appuyées sur les outils légaux existant (loi constitutionnelle de 1992, "loi Toubon", disposition constitutionnelle sur la francophonie communauté, et dispositions de la loi Fioraso sur l’université), et lors même que les cas soulevés étaient de nature analogue à celui de PSL. La subtilité qu’il a fallu déployer pour débouter les plaignants malgré l’évidence de la loi se révèle dans les trois cas suivants.

    1) L’aéroport de Lorraine décide un jour de prendre la dénomination de "Lorraine Airport". Une plainte est déposée devant le tribunal administratif de Metz, par Francophonie Avenir. Le cas est semblable au précédent : l’aéroport est un établissement public, et il y a bien des mots français susceptibles de remplacer les mots anglais. On s’attendait à ce que le tribunal juge comme vient de le faire celui de Paris. Il n’en a rien été. Au contraire, le tribunal de Metz a décidé que l’association "ne pouvait ester en justice" (qui, alors ?). Et il a condamné cette dernière à verser 1 500 euros à l’aéroport lorrain (ladite association a un budget annuel de 2 000 euros). En somme, le tribunal condamnait l’association de citoyens à la non-existence juridique et à l’épuisement financier. Comme s’il fallait la punir de défendre la langue française !

    2) Devant la floraison d’anglicismes dans des noms d’associations touristiques savoyardes, du type de Lake Annecy Ski Resorts, La Clusaz Radikal Mountain et autres Radikal Mountain Junior, l’Association de défense de la langue française en pays de Savoie, ne pouvant les attaquer parce qu’elles sont de statut semi-privé, demande aux juges administratifs d’annuler les subventions que le département de Haute-Savoie a prévu de leur accorder ; l’association demande aussi, le site internet du même département étant rédigé en français et en anglais, que le texte, conformément à la loi du 4 août 1994, fasse l’objet d’une traduction en une seconde langue. Sur le premier point, elle est déboutée : selon le tribunal, les organismes incriminés, même sous tutelle du département, ne le représentent pas, et ne sont donc pas visés par la loi, les subventions peuvent être accordées. Sur le second point, elle est également déboutée. Citons le point 9 du jugement du tribunal administratif de Grenoble du 5 octobre 2017: "Considérant que l’emploi obligatoire de la langue française et l’obligation corrélative de double traduction pesant spécifiquement sur les personnes publiques et les personnes privées chargées d’une mission de service public ne concernent pas les sites internet qui ne peuvent être regardés comme formant un lieu physiquement localisé sur le territoire au sens de l’article 3","l’association requérante ne peut utilement se prévaloir des obligations prévues aux articles 3 et 4 de la loi du 4 août 1994 pour demander que le site internet du département de la Haute-Savoie soit traduit en au moins deux langues étrangères". Redoutable dialectique! Car il s’ensuit que toute faute, voire tout délit, commis par le moyen d’un ordinateur échappe à la loi française, parce qu’on ne sait pas où est physiquement le texte qui apparaît sur l’écran!

    3) L’Ecole normale supérieure (ENS) et ses alliés de Polytechnique, de la faculté d’Orsay ont décidé d’offrir une formation diplômante exclusivement en anglais pour les étudiants du niveau le plus avancé. Nulle présence d’étudiants étrangers n’est explicitement évoquée, comme l’aurait permis la loi Fioraso sur l’université. Une plainte est alors déposée par Avenir de la langue française et treize autres associations. Elles s’attendent, légitimement, à être suivies par les juges du tribunal administratif. Mais la défense des trois grandes écoles consiste à invoquer un dispositif du code de l’Education, de 2016, postérieur donc à la loi Fioraso, et qui stipule que peuvent bénéficier de dérogations à l’obligation de faire cours en français "les établissements dispensant un enseignement à caractère international". Le tribunal a admis cette défense, et les plaignants furent déboutés. Idem devant la cour administrative d’appel de Paris. Avenir de la langue française fut finalement condamnée à payer à l’ENS 1 500 euros de frais de justice !

    Il y a pourtant un jeu sur les mots. Que ces écoles aient une renommée internationale est une chose, qu’elles aient un caractère international dans leur recrutement en est une autre. Surtout, ces établissements seraient-ils réellement internationaux, pourquoi devraient-ils établir des cours en anglais ? Le français est la seconde langue de communication internationale et la seconde langue apprise. "Anglais" n’est pas le synonyme obligatoire d’"international", "français" l’est également. Si une université est internationale, alors raison de plus pour y parler, partout, français.

    La Cour constitutionnelle italienne a condamné les formations uniquement en anglais offertes par l’Istituto politecnico de Turin. Un jugement qui peut faire jurisprudence. On regrette de ne pas avoir l’équivalent en France. Mais un changement de paradigme est possible et, bientôt, il se peut que les tribunaux défendent le français conformément aux textes en vigueur et en accord avec leur esprit, plutôt que de se perdre en arguties destinées à protéger les diverses espèces de contrevenants.

     

     

    ET AUSSI:

    https://youtu.be/nDdejkSKb2E

     

    ET ENCORE:

     

    ALORS, VOUS AVEZ COMPRIS??????

     

     

  • Gauchiasse, punie par sa propre connerie!

    Collèges "ghettos" à Paris: le choix cornélien des "parents blancs, de gauche"

    Le propos est fort, presque provocateur, et on le doit à… Gilles Pécout, recteur de l’académie, un homme extrêmement urbain, spécialiste de l’histoire italienne, faisant preuve en toute occasion d’une tempérance de sénateur romain. Oui, Paris est une ville d’apartheid, c’est dur à admettre, mais c’est une réalité. Faut-il éviter le public ? Contraindre le privé ? Ou trouver d’autres voies?

    Dans tous les quartiers de la capitale un tant soit peu mélangés, le melting-pot culturel et social dont sont si fiers les Parisiens se transforme – dans la sphère scolaire – en une mosaïque complexe d’écoles blanches, noires, ou plus ou moins métissées.

    Dans les écoles à dominante noire, qui se trouvent être les plus socialement et scolairement défavorisées, les parents blancs, de gauche, se retrouvent confrontés à un choix cornélien : respecter leurs principes en scolarisant leur rejeton dans l’établissement du quartier, ou suivre la grande majorité de leurs pairs qui font désormais le choix du privé.

    […] En ségrégant son public, Paris opère par ailleurs un tri scolaire sans pitié: d’un côté une multitude de collèges excellents – majoritairement privés – dépassant les 95% de réussite au brevet, de l’autre une bonne trentaine – tous publics – fluctuant entre 50 et 75%, bien en-deçà des moyennes nationales, dont l’état dégradé étonne même les enseignants et principaux venus de Seine-Saint-Denis ou des quartiers nord de Marseille. […]

    Dans ces affaires de mixité, on s’intéresse beaucoup aux parents, essentiellement pour les culpabiliser. Non sans raisons. Comme le souligne le recteur Pécout, le "Parisien n’est guère raisonnable". A l’ouest, il est traditionnellement attaché au privé par conviction religieuse, ou, plus souvent, par attachement atavique à l’entre-soi bourgeois. Au centre et à l’est, il dégaine volontiers ses principes généreux, mais les remballe aussi vite, lorsque sa progéniture se rapproche du cap anxiogène de l’entrée au collège. […]

    Nouvel Obs

  • Alerte! ne prenez plus la pillule Optimizette®,

    Faites passer d'urgence!

    pilule contraceptive sans principe actif contraceptif

    Comment peut-on en arriver là? Comment ne pas douter de tout, y compris de l’industrie pharmaceutique? L’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) vient de lancer une alerte à toutes les femmes concernées par les boîtes et plaquettes du lot n°1958550 (péremption 07/2019) de la spécialité Optimizette® Gé 75 microgrammes (laboratoires Majorelle). Cette alerte fait suite à la découverte " dans une boîte d’une plaquette non conforme de 21 comprimés ne contenant pas de principe actif contraceptif " (sic).

    Et l’ANSM d’expliquer, benoîtement, que " la prise de ces comprimés ne présente pas de danger ". " Aucun effet indésirable n’a été signalé jusqu’à présent " dit-elle. Et d’ajouter: " le seul risque identifié pour les patientes est l’inefficacité contraceptive de la pilule " (re-sic). Les patientes sont donc invitées à " rapporter les boîtes et plaquettes du lot 1958550 à leur pharmacie pour échange ".

    En savoir plus? " Ce rappel de lot fait suite au signalement par une patiente de la présence d’un blister contenant 21 comprimés différents des deux autres blisters de 28 comprimés, confie l’ANSM. Selon les laboratoires Majorelle, ce défaut ne concerne que quelques boîtes sur la totalité des 36700 boîtes distribuées entre le 26 janvier et le 5 avril 2018. Seul le lot 1958550 est concerné. "

    Les pharmaciens d’officines et des établissements de santé se doivent de contacter " par tous les moyens dont ils disposent " les patientes susceptibles de détenir et/ou d’avoir utilisé la spécialité du lot concerné par ce rappel.

    L’ANSM demande aussi aux patientes en possession de boîtes Optimizette® Gé 75 microgrammes de vérifier si elles ne contiennent pas de blisters anormaux.

    " Si les blisters sont normaux, les femmes doivent continuer le traitement sans interruption; une boîte d’un autre lot leur sera fournie gratuitement par leur pharmacien lorsqu’elles rapporteront la boîte du lot 1958550, précise l’ANSM. Dans l’attente de cet échange avec le médecin, et parce que la patiente est exposée à un risque de grossesse, elle devra utiliser une méthode contraceptive mécanique (préservatif, diaphragme…). "

    Question: combien de femmes concernées liront ce communiqué de l’ANSM?

    https://jeanyvesnau.com/2018/04/05/alerte-ne-plus-prendre-optimizette-pilule-contraceptive-qui-nassure-pas-la-contraception/

  • La longévité de Stephen Hawking, un mystère pour la science

    Stephen Hawking, décédé le 14 mars 2018, souffrait de la sclérose latérale amyotrophique depuis ses 21 ans, une maladie usuellement fatale en quelques mois... à laquelle l'astrophysicien a survécu plusieurs décennies. Un cas "exceptionnel" pour les neurologues.

    Stephen Hawking, astrophysicien britannique de génie, s'est éteint le 14 mars 2018 à l'âge de 76 ans. Il souffrait depuis ses 21 ans de sclérose latérale amyotrophique (SLA), ou maladie de Charcot, une pathologie neurodégénérative entraînant une perte progressive de mobilité. Une paralysie s'installe peu à peu et entraîne une insuffisance respiratoire qui conduit le plus souvent au décès dans les 2 à 5 ans (selon la forme de la maladie). Autant dire que l'incroyable longévité du scientifique face à la maladie fait figure de mystère médical. En 2002, alors que Stephen Hawking fêtait ses 60 ans, le British Medical Journal (BMJ), célèbre revue scientifique d'outre-Manche, revenait sur ce "cas fascinant" pour les neurologues. 

    Davantage de chances de survie lorsque la maladie se déclare tôt dans la vie

    "Les patients survivent en moyenne 14 mois après que le diagnostic a été établi", a expliqué au

    BMJ Neigel Leigh, professeur de neurologie clinique au King's College de Londres. "Mais nous avons découvert que le taux de survie était considérablement amélioré chez les patients jeunes, se comptant parfois en dizaines d'années. C'est complètement différent lorsque la maladie se déclare jeune, et bizarrement personne ne sait pourquoi". Lorsque la maladie surgit pendant la cinquantaine ou la soixantaine, les patients n'ont une espérance de vie que d'environ 4 ans, ajoute aussi le neurologue.

    EXCEPTION. "C'est un cas exceptionnel, je ne connais personne d'autre qui a survécu aussi longtemps à la SLA. Et ce qui est incroyable, ce n'est pas seulement sa longévité, mais également la stabilisation progressive de sa maladie, très rare chez les patients ayant contracté la maladie jeune", a aussi détaillé le professeur. Il existe en fait de nombreuses variantes génétiques de la maladie: "Au moins 6 à 12 formes génétiques, même si nous devons également explorer la possible interaction de la maladie avec le processus de vieillissement", évoque le neurologue. "Nous disposions de peu d'exemples de personnes ayant survécu aussi longtemps", a regretté le Professeur Pam Shaw, de l'université de Sheffield.

    Un message d'espoir

    Dans sa réponse à la publication britannique, Stephen Hawking a expliqué avoir recours à un régime particulier, enrichi en vitamines et acides gras et sans gluten. Il a suivi de fréquentes séances de physiothérapie afin de ralentir l'atteinte musculaire. "J'ai eu la SLA pendant presque toute ma vie adulte, ça ne m'a pas empêché de réussir mes projets professionnels. J'ai eu de la chance que ma maladie progresse plus lentement chez moi. Cela montre qu'il ne faut pas perdre espoir", expliquait le physicien