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mec - Page 31

  • RD Congo: "Le viol des bébés se généralise" (Attention, contenu choquant !)

    Depuis trois ans, Denis Mukwege ne sort de chez lui qu’escorté par la police. Chez lui, c’est l’hôpital de Panzi, près de Bukavu, la capitale du Sud-Kivu dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC). "Je vis là où je travaille, explique le gynécologue de 60 ans. J’essaye de réduire les risques au maximum". La Mission de l’ONU pour la stabilisation de la RDC (Monusco) le protège depuis qu’il a été victime d’une sixième tentative d’assassinat, en octobre 2012, alors qu’il rentrait à la maison.

    [...] Qui peut bien en vouloir au Dr Mukwege, sinon les violeurs? Depuis une quinzaine d’années, le gynécologue a soigné des dizaines de milliers de femmes abusées, violentées, découpées, charcutées pour certaines d’entre elles, leur sexe étant exhibé comme un trophée par leurs agresseurs. On parle de plus de 500 000 victimes. Jamais peut-être, le viol n’avait été utilisé comme arme de guerre de façon aussi systématique.

    Les violeurs, on les trouve dans tous les camps: les rebelles hutus dans un premier temps, puis les combattants locaux maï-maï, les soldats rwandais, mais aussi les forces gouvernementales, les infiltrés des pays voisins, et dernièrement les insurgés du M23. Tous s’y sont mis dans une orgie destinée à entretenir la terreur et faire fuir les populations. "Il n’y a rien de culturel à cela, souligne Denis Mukwege. Cette barbarie est corrélée à la guerre, à l’absence d’État de droit, au déni de justice. On n’avait jamais vu cela auparavant".

    Officiellement, la guerre en RDC est terminée depuis des années. Les zones de combat ont sensiblement diminué, et le nombre des viols avec. Aujourd’hui, le docteur recoud en moyenne 2500 femmes par an, alors qu’en 2004 c’était 4000. Mais les métastases sont là, le mal se propage dans la société. "J’observe de plus en plus de viols sur des enfants, des bébés, parfois de moins de douze mois, cela se généralise. Il n’y a toujours pas de répit pour la population".

    Plutôt que d’être achevés, ces bébés broyés sont déposés devant la maison des parents. "Cela procède de la même logique qu’avec les femmes. Il y a une volonté d’humiliation, de destruction du tissu social, de toute valeur, de tout ce qui est sacré". Un "cercle vicieux infernal" est à l’œuvre: les enfants issus de viols, eux-mêmes rejetés, deviennent parfois à leur tour des violeurs. Et puis, il y a ces histoires d’enfants forcés de découper le sein de leur mère. "On leur a enseigné à perpétrer des atrocités sur leur propre famille avant de les recruter comme combattants", explique le docteur

    [...]

    Il est difficile de démêler les logiques à l’œuvre qui continuent de déchirer la RDC, en particulier l’est du pays où plus de deux millions de personnes ont été déplacées. Mais, Denis Mukwege avance une hypothèse: "Il y a une corrélation entre les zones minières, les groupes armés et les femmes violées". En d’autres termes, le viol comme outil de terreur destiné à faire fuir les populations profite aux combattants qui veulent contrôler les territoires riches en minerais, ce qui ne manque pas dans la région [...]

    https://www.letemps.ch/monde/2016/03/08/apres-femmes-viol-bebes-se-generalise-rdc

     

  • Des vidéos pour connaître l'Histoire de la France

    Nos ancêtres les Gaulois? oui!

    Les vidéos Résistance républicaine à l’attention des enfants et de ceux qui ne savent pas

     1 Nos ancêtres les Gaulois sont devenus gallo-romains puis francs 

     2 Clovis, le premier roi chrétien des Francs, 466-511

     3 Charles Martel a battu les Arabes à Poitiers en 732

     

     

    4 Pépin le Bref et le début de la Dynastie carolingienne

     

    5 Charlemagne et Roland de Roncevaux

     

    http://resistancerepublicaine.eu/2015/toutes-les-videos-des-rencontres-charles-martel-du-7-juin/

     

  • Et si, un jour, c'était vous, le patient!

    Soin à domicile: blessé par son infirmier, quel recours?

    Un patient handicapé a été blessé lors de sa douche, à domicile, par son infirmier. La faute aux cadences infernales selon son kiné qui dénonce une forme de "maltraitance" et appelle à faire le "grand ménage".

    Un infirmier donne sa douche à un homme lourdement handicapé, en fauteuil électrique, à son domicile. Il fait tomber son patient qui, dans sa chute, brise la paroi en verre anti-éclaboussures. Bilan: des coupures aux pieds et aux mains, un hématome au niveau du thorax et sa rééducation qui doit être suspendue durant plusieurs jours.

    Cette affaire est révélée par son kiné, Jean-Luc Corne, qui exerce en libéral auprès de patients souffrant de lourds handicaps. Et d'assurer que ce professionnel ne respecte pas les règles d'hygiène, pénétrant dans la douche à l'italienne avec ses chaussures de ville et en costume". Et, afin de ne pas se mouiller, il ne tenait pas convenablement le patient qui a pourtant des difficultés évidentes de verticalisation, explique-t-il."

    Chiffre d'affaires ou bien-être?

    La faute au manque de temps, qui prive parfois les personnes handicapées de soins bienveillants. C'est en effet, selon Jean-Luc, la cadence, souvent infernale, imposée aux soins à domicile qui est à l'origine de cet empressement qui, au-delà des questions de sécurité, constitue un manque flagrant de respect à la personne".

    Quand le chiffre d'affaire prend le pas sur le bien-être, moi j'appelle cela de la maltraitance, poursuit-il. Je veux bien admettre que 10 minutes suffisent pour la toilette d'un patient peu handicapé mais pour des patients lourds à motricité très réduite ce n'est pas suffisant sans les mettre en danger." Carine témoigne à son tour. Atteinte d'ostéogénèse imparfaite (maladie des os de verre), elle déplore la rudesse de certains intervenants à domicile, et les douches expédiées en moins de quinze minutes sans tenir compte de sa vulnérabilité physique.

    Ce que prévoit la nomenclature

    La nomenclature des AIS 3 (Actes infirmier de soins, qui englobent les soins de base et le nursing) prévoit pourtant 30 minutes pour la toilette. Et, lorsqu'il dépasse le temps imparti, l'infirmier peut coter 2 AIS, c'est-à-dire appliquer une "double facturation". Quitte à ouvrir la porte aux fraudes selon une professionnelle: "Un grand nombre d'infirmiers (ières) de mon secteur passent 8 à 10 minutes en facturant ce 2e acte. Et le décompte sécu que reçoivent les patients est tellement complexe qu'ils sont bien incapables de déceler les escroqueries éventuelles." Selon Jean-Luc Corne, "les toilettes sont devenues certainement l'acte le plus rémunérateur des infirmiers au regard du temps passé...". Et pourtant!

    L'enjeu de la maltraitance à domicile

    L'enjeu est si fort que le ministère du Travail s'est saisi du sujet en publiant un document de "Gestion des risques de maltraitance pour les services d'aide, de soins et d'accompagnement à domicile". La démarche ainsi engagée renvoie à une réflexion plus générale sur les objectifs de la prise en charge des personnes vulnérables, au regard notamment de l'amélioration de la qualité et de la promotion de la bientraitance, pour laquelle des personnels formés et en nombre suffisant sont nécessaires. Mais qu'en est-il sur le terrain où les contrôles sont rares, voire inexistants? Et qui pour alerter? "Les intimidations déguisées de la part d'infirmiers (ières) qui menacent de laisser tomber les soins si la famille n'accepte pas les conditions imposées sont plus courantes qu'on ne le pense, déplore Jean-Luc''.

    Face à la pénurie, quelle garantie a-t-on de trouver une solution rapidement? L'offre de soins n'étant pas en rapport avec la demande, le patient risque en effet de se retrouver sans intervenant, d'autant que rien n'oblige un libéral à accepter un patient. Et cette perspective peut en bâillonner plus d'un..". Je vois cela trop souvent, assure Jean-Luc. En clair, certains doivent accepter de se faire mal soigner sinon ils n'auront pas l'hygiène nécessaire à tout être humain... Dramatique!"

    Ne pas rester muet

    Jean-Luc Corne, lui, refuse de "rester muet face à ces pratiques qui mettent en danger" ses patients".

    Mon rôle est de leur garantir une sécurité optimale quelle que soit la personne qui intervient auprès d'eux. 95% d'entre eux sont lourdement handicapés et leurs familles sont désemparées par l'extrême complexité à gérer ce handicap. N'en rajoutons pas!" Il a donc aussitôt signalé "l'incident de la douche" à l'ARS (Agence régionale de santé) qui a fait son travail en saisissant le Conseil de l'Ordre des infirmiers. Réponse inattendue de ce dernier: "Il m'a contacté pour me dire que mon attitude n'était pas correcte, s'indigne-t-il... Et m'a informé qu'il ne donnerait pas suite. (...) Il n'y a eu aucune excuse de la part de l'infirmier, ni déclaration à son assurance pour réparer les dégâts matériels".

    Faire le "grand ménage"

    Jean-Luc fait alors valoir que le risque de non-assistance à personne en danger ne doit pas être pris à la légère et que cautionner de tels agissements n'est pas dans l'éthique des professions de Santé. Et d'encourager à faire "le grand ménage". D'autres en rêvent mais au point de se demander s'il restera alors suffisamment d'intervenants? "Certains ne sont pas dignes d'exercer... Ce n'est pas parce qu'on a un diplôme de professionnel de Santé qu'on a systématiquement une auréole au-dessus de la tête." Le patient a finalement reçu une réponse de l'ARS qui l'enjoint à saisir lui-même le Conseil de l'ordre pour qu'il étudie l'affaire". Un patient contre un corporatisme, c'est trop facile, pour n'aboutir certainement à rien!" conclut Jean-Luc.

    https://informations.handicap.fr/art-handicap-infirmier-maltraitance-853-9003.php

    Parfois, certaines associations d'aide à domicile ont du personnel formé et diplômé pour aider à la toilette: se renseigner auprès d'elles.... N.D. La Rédactrice

     

  • Le blog d'un cardiologue.

    Grange Blanche (cardiologue)

    Le blog d'un cardiologue.

    Aujourd’hui, je suis tombé sur cet article de Ouest-France, au titre accrocheur. Cet article est remarquable car il est cité (je présume donc endossé) par la très vénérable Fédération Française de Cardiologie:

    On y voit une femme qui souffre et un titre frappant: Infarctus; les femmes ont 40% de risque d’être mal diagnostiquées.

    40% By Jove!!! Je me précipite sur ma souris et je tombe sur cet article.

    Le chapeau de l’article dit déjà quelque chose de différent:

    Les personnes âgées de plus de 80 ans et les femmes atteintes d’un infarctus sont souvent victimes de mauvais diagnostic. Par rapport aux hommes, le risque d’être mal diagnostiquées augmente de 40 % chez les femmes.

    Il ne s’agit donc pas d’un risque de 40% de mauvais diagnostic d’infarctus chez la femme, mais d’un sur-risque de 40% par rapport aux hommes. Je me dis que j’aimerais bien voir la source, et très opportunément, l’article donne un lien direct (ce qui est rare et remarquable): Impact of initial hospital diagnosis on mortality for acute myocardial infarction: A national cohort study. Je chipote un peu, mais cette étude n’a pas été publiée dans l’assez prestigieux EHJ mais dans une de ses sous-éditions.

    Un peu comme si un journaliste se vantait d’avoir publié un article dans Ouest-France, alors qu’il n’a eu qu’un entrefilet dans Ouest-France édition Plouézec.

    L’erreur sur les 40% est déjà grave, mais le reste est pas mal non plus.

    En fait, la population étudiée comporte 66.8% d’hommes et 33.2% de femmes. Pas de raz de marée féminin, donc. L’erreur de diagnostic initial, sur l’ensemble de la population, hommes et femmes compris, est de 29.9%. C’est beaucoup, mais nous sommes très loin des 40% du titre, et surtout, il n’existe pas de discrimination sexuelle bien nette dans l’erreur diagnostique. Vous allez me dire que c’est clairement marqué dans l’article de Ouest-France:

    Ce qui est déjà rigolo, c’est qu’on attend 3 facteurs, et seuls 2 sont cités. on sent que le journaliste a eu le doigt qui a bavé sur le ctrl+C. 

    Ces fameux 3 facteurs viennent de là: 

    Pas de statistiques, on ne connait ni la significativité, ni l’intensité du lien entre être une femme et avoir un diagnostic erroné à admission. Sur l’ensemble de l’article, je ne trouve que deux mentions de « female » et une de « women ». Donc pas vraiment un article intéressé par la discrimination liée au fait d’être une femme…

    Si on lit le résumé de l’article scientifique, qui met en exergue les points forts du papier, à aucun moment le fait d’être une femme n’est cité, ne serait que comme donnée démographique, et encore moins comme facteur pronostic. La lecture de l’article le confirme, la soi-disant importante discrimination sexuelle du diagnostic d’infarctus n’apparaît que de façon très éparse, et sans aucune analyse statistique bien convainquante.

    Ce qui n’a pas empêché le rédacteur de la dépêche d’en faire un brulot digne de la pasionaria.

    Et encore, Ouest-France (et tous les médias français) ont eu une certaine retenue, contrairement aux medias britanniques qui rapportant exactement la même étude arrivent à 41, 50, voire 59% de sur-risque lié au sexe féminin:

    Alors quoi?

    La lecture de l’article de Ouest-France, endossé par la FFC, comparé à l’article scientifique original m’a fait toucher du doigt quelques points intéressants:

    • Le rédacteur de la dépêche d’agence reprise par Ouest-France est soit d’une mauvaise foi énorme, soit il comprend encore moins que moi les biostatistiques.
    • La presse écrite se meurt et elle le mérite largement car faire ctrl+C-ctrl+V devant un écran toute la journée n’est pas du journalisme. Un minimum de vérification auprès des gens qui savent (je ne me comprends pas dedans) aurait pu être fait.
    • Défendre une cause juste, la reconnaissance des maladies cardio-vasculaires chez la femme en est une, n’excuse aucunement une torture des données digne du pire laboratoire pharmaceutique (pas de nom).
    • La presse britannique, pour faire bonne mesure et par chauvinisme a rajouté 10% de sur-risque féminin en plus par rapport à la notre. C’est dire la qualité des dépêches d’agences qui ont rapporté les résultats de ce papier. 

    J’ai hâte d’arriver à l’an prochain pour savoir quelle pauvre étude scientifique va être malmenée pour le cœur des femmes.  

    Source:

     

     

     

  • Même entre eux…..

    Les berbères  ( Imazighen ) couvraient toute l'Afrique du nord, du Maroc à la Lybie  ( diverses tribus et royaumes), et ne sont pas de culture arabe  et ne parlaient pas l'arabe . Il s'agit d'un peuple autochtone ayant 10 à 15 000 ans d'ancienneté.

    ils ont leur propre langue (Tamazight), leur propre culture, (tapis, motifs berbères, écriture berbère) eurent leurs rois dont certains sont très connus,

    les berbères de Lybie donnèrent les pharaons de la XXIIe dynastie en Egypte, donnèrent aussi par ex:  Tertulien,  saint Augustin, saint Cyprien et autres, eurent leurs martyrs chrétiens (pour la partie qui fut christianisée,  romanisée.... )

    et une reine très connue: "la Kahina"  lutta contre l'invasion arabe au VII siècle et combattit à la tête de ses troupes.

    Kahena,  de son vrai nom Dihya ou Damya, est une reine guerrière berbère zénète des Aurès qui combattit les Omeyyades lors de l'expansion islamique en Afrique du Nord au VIIe siècle.

    Elle gagna de nombreuses batailles et mis en échec les musulmans pendant cinq ans. Païenne, elle ne fut jamais mariée, eut des amants et des enfants hors mariage. Dihya, Tadmayt ou encore Tadmut pourrait signifier tout simplement “La belle gazelle“.

    Dans certains endroits, les berbères sont plus conscients de leur identité que dans d'autres, ils en appellent au "réveil berbére"... les autres pensent être d'origine arabe

    (comme quoi tout est compliqué, surtout quand plusieurs millénaires sont passés)

     

    A Madame Najat Vallaud-Belkacem

    Sinistre de l’Education Nationale

    110, rue de Grenelle

    75357 Paris SP 07

    https://www.kabyle.com/exclusion-langue-amazighe-parents-enfants-ecrivent-najat-vallaud-belkacem-25723-29082016

    Objet: La langue berbère à l’école

    Madame la Ministre, Nous avons bien pris connaissance de votre intention d’intégrer, en cette rentrée scolaire 2016, l’enseignement de la langue arabe à l’école dès le CP. Comme ce fut le cas jusqu’à présent, cette langue va donc continuer à être proposée à nos enfants d’origine d’amazighe (Berbère), de manière automatique, alors que leur langue maternelle est le Tamazight (la langue berbère).

    Nous ne comprenons pas cette réforme. Nous ne comprenons pas pourquoi la langue amazighe est exclue, nous ne comprenons pas pourquoi elle n’est pas au programme de cette réforme. Nous n’acceptons pas que nos enfants soient assimilés malgré nous, à d’autres appartenances culturelles, même si nous n’avons rien contre aucune langue ou culture.

    Le “Maghreb“, c’est l’Afrique du Nord, ce n’est pas le Moyen Orient. Nous sommes des Amazighs de France (ou des Français-Amazighs ou des Franco-Amazighs), notre culture est ouverte et laïque. Il est important pour nos enfants d’apprendre leur langue maternelle au même titre que les autres enfants issus de l’immigration. Enseigner le berbère à nos enfants à travers les contes, la poésie, c’est aussi leur enseigner leur histoire, c’est les aider à se construire, à s’épanouir et à donner sens à leur vie.

    En tant que parents, nous voulons que nos enfants réussissent à l’école française, qu’ils s’épanouissent sans ressentir l’exclusion de leur langue maternelle, de leur culture et de leur histoire amazighe.

    Nous espérons pouvoir compter sur votre compréhension. Dans l’attente de votre réponse, nous vous prions d’agréer, Madame la Ministre, l’expression de nos salutations respectueuses.

    Nom, prénom des parents et prénom de l’enfant

    Ou Prénom de l’enfant et nom, prénom des parents

    NDLR: alors, Dominique Vallaud-Belkacen,

    (et oui, c'est sont vrai prénom... elle a prit le prénom arabe d'une grand-mère pour faire plus "immigrée")

    tu renie ta propre culture? plus con… qu'elle tu meurs!

  • Habillées en short, leurs maris et amis se font passer à tabac

    Deux hommes ont été déférés ce mardi devant le parquet de Toulon

    C’est un déferlement de violence qui a eu lieu dimanche dernier, en début d’après-midi à Toulon.

    La sortie familiale à vélo et à rollers a tourné court après un passage à proximité de la cité des Œillets, dans les quartiers Est de Toulon.

    Deux couples, un ami et trois enfants sont sur la piste cyclable, quand ils sont pris à partie par un groupe d’une dizaine de personnes.

    Ce qui ne va pas? Ce sont les shorts que portent les deux femmes.

    Elles sont insultées très vulgairement et on leur lance peu ou prou de se mettre carrément nue. Les trois hommes du groupe réagissent. Ils demandent qu’on les respecte. Le groupe venu de la cité va fondre sur eux et les passer à tabac.

    Le plus grièvement blessé s’est vu prescrire 30 jours d’ITT. Deux hommes ont été déférés ce mardi après-midi devant le parquet de Toulon.

    Une autre affaire avait éclaté en juin. Maude Vallet, une toulonnaise de 18 ans, avait été prise à partie par une bande de filles qui jugeaient sa tenue - un short - inappropriée.

     

    Oui ou non on est chez nous?

    METTONS LES POINTS SUR LES i

    En France, à part se mettre à poil dans la rue, on s'habille en court (Billancourt) et c'est normal.

    Suis (surtout) par FN mais: on est chez nous! tu fais comme nous où tu te casse!

    ça fera de la place dans les HLM et des économies d'allocs, de sécu et autres...

    ça commence à trop faire: le trop et le peu, gâtent le jeu.....