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occitanie - Page 216

  • Qu'est ce que on peu faire des gens élevés comme ça quand ils nous envahissent?

    https://www.h24info.ma/maroc/auteurs-dactes-zoophiles-15-jeunes-attrapent-rage/

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    A Khémisset, un chien enragé s’introduit dans l’hôpital provincial et s’attaque à une dizaine de personnes

    Alors que dans d’autres contrées, cette maladie infectieuse, transmissible à l’être humain par certains animaux (chiens, renards, chats, rats, etc.) qu’est la rage a été éradiquée, chez nous elle a encore de beaux jours devant elle. A Khémisset, dernièrement, un évènement fâcheux a fait surgir cette amère vérité. En effet, un chien enragé s’est introduit dans l’hôpital provincial et a mordu une dizaine de personnes. Sans la vigilance des agents de sécurité, qui ont pu éviter une cata de justesse, en abattant l’animal, on aurait pu assister à une véritable tragédie dans la capitale des Zemmours. Les blessés ont été aussitôt conduits aux services vétérinaires dépendant de la municipalité de la ville pour y subir un traitement antirabique et mis sous surveillance. L’été au Maroc reste une période propice à ce genre d’incidents en l’absence d’une stratégie bien définie de la part des autorités quant à cette calamité qui continuera à sévir tant que le laxisme durera. 

     La rage est une maladie virale causée par un virus (du genre Lyssavirus) qu’on retrouve dans la salive de l’animal malade, et donc la transmission se fait, le plus souvent, par contact avec la salive de l'animal infecté, après une morsure ou une griffure profonde.

     Parmi les animaux susceptibles de transmettre la rage, les chiens sont les plus dangereux car ils sont principalement à l’origine des cas mortels de rage humaine et représentent jusqu’à 99% des cas de transmission à l’homme. Chaque année, l’attention est portée sur ce fléau à travers la Journée mondiale de lutte contre la rage célébrée tous les 28 septembre.

     En 2016, une table ronde a été organisée par l’ONSSA en partenariat avec l’Institut agronomique et vétérinaire Hassan II pour débattre de la problématique de la rage et au cours de laquelle, le directeur des services vétérinaires de l'ONSSA, Abderrahman El Abrak, a rappelé que plus de 300 cas de rage sont enregistrés annuellement chez les animaux au Maroc, et une vingtaine de cas de décès chez l’homme sont recensés régulièrement dans le Royaume. 

     Cette table ronde avait été aussi l’occasion pour parler des 3 axes principaux d’une stratégie élaborée par les services sanitaires et vétérinaires : le premier axe porte sur la vaccination des chiens à propriétaires, sachant que l’ONSSA organise annuellement une campagne de vaccination gratuite au profit des propriétaires de chiens, surtout dans le milieu rural, afin d’arrêter le cycle du virus et éviter la propagation de la maladie entre les chiens. Le deuxième axe concerne l’abattage des chiens errants considérés comme les principaux vecteurs de transmission de la maladie. Enfin, le troisième axe consiste en la sensibilisation des citoyens du danger de cette maladie qui touche davantage le milieu rural avec 81% des déclarations moyennes de cas de rage entre 2004 et 2010, selon l'ONSSA.  

     Toutefois, l’idée d’abattre les chiens errants a fait des ravages. En effet, les autorités municipales marocaines abattent et empoisonnent chaque année des chiens errants. Par exemple à Ksar El Kébir, durant les nuits du 22 au 25 mars 2016, les habitants avaient assisté à l’abattage de chiens, tués par balles en pleine rue et leurs cadavres ont été mis dans des camions-bennes et jetés ensuite on ne sait où (généralement dans des dépotoirs publics), à la proie de charognards qui auraient très bien pu contracter le virus mortel et le transmettre à leur tour. 

     L’opération avait été annoncée quelques jours auparavant par la mairie évoquant l’abattage de chiens errants pour des "problèmes de santé publique et de sécurité des habitants". Cette barbarie avait scandalisé l’opinion publique et plus particulièrement l’Association marocaine de défense des animaux et de la nature qui avait été reçue, en avril 2016, à l’ambassade du Maroc à Paris, pour dénoncer de telles opérations et proposer des solutions à la fois moins cruelles et plus durables. 

     Protéger les citoyens de la rage, c’est d’abord protéger les animaux qui nous entourent de cette infection. Cela dit, avoir recours à des actes indignes comme l’abattage des chiens est loin d’être une solution efficace contre la rage. La vaccination et la stérilisation en premier lieu des chiens et chats errants constituent des solutions rationnelles et une stratégie à même d’éradiquer ce fléau. 

    http://www.libe.ma/La-rage-fait-rage_a88559.html

     

     

  • Le QI des Français a baissé... voici pourquoi

    Un migrant veut un logement "tout de suite", il incendie la mairie d’Annecy. 100000€ de dégâts

    On va dire que je m’acharne sur les migrants, que dans le fond ce sont de pauvres bougres fuyant dictature, misère et ayant d’après les "Pravdas" des diplômes longs comme des bras. Ils seraient d’après eux docteurs renommés, physiciens, avocats, PDG d’entreprises côtés au NASDAQ, chercheurs dans les maladies génétiques ou ingénieurs. En fait nous, Français, sommes des cons, nous refusons la crème de la crème, des chances pour la France, des gens sur-éduqués, sur-socialisés. Tout ce qui visiblement nous manque.

    Plus c’est gros, plus ça passe. Je connais le mépris des élites mondialisées vis-à-vis du peuple de France mais il y a plus que ça dans leurs écris, il y a comme une totale impunité faisant de nous des moutons croyant la moindre divagation d’un militant du "vivre-ensemble", du remplacement des "gaulois" par des populations totalement étrangères à nos us et coutumes. Crachant sur notre histoire et arrachant notre générosité. Notre système social auquel je souscris de moins en moins étant donné qu’il appelle à la paresse et non à une aide ponctuelle dans la difficulté, a pour origine d’apporter une main tendue à nos nationaux et non aux premiers venus d’un pays autre.

    Nous n’avons aucune obligation envers ces gens, aucune. Les anglais eux qui ont toujours privilégiés les leurs, n’ont pas ces états-d’âmes. Ils ne veulent pas de tous ces génies et nous demandent de faire la Police, de les arrêter à nos frontières. Personne à Londres ne manifeste pour ces intrus au contraire de nos bourgeois de la Gauche caviar exigeant des papiers et des logements mais loin de leurs beaux appartements. Ce qu’ils obtiennent avec une facilité déconcertante, comprenez: on ne peut rien refuser à ces clandestins venus en toute illégalité.

    Pendant ce temps-là, les chiffres de l’hébergement d’urgence tombent, ils ont encore augmenté, près de 26% en seulement 3 ans. Aujourd’hui nous comptons plus de 770 000 demandes de SDF Français vivant à la rue, malades, sales, désocialisés, cherchant un travail, un toit et de la dignité. Des chiffres toujours plus inquiétants et des spécificités nouvelles. Nous ne sommes plus à l’époque de ce qu’on appelait quand j’étais môme du clochard un peu ermite, un peu philosophe, homme seul, mais dans une misère collective. Les familles et mineurs représentant 60% de ces demandes. Des femmes, des enfants, des jeunes, des vieillards, des classes moyennes qui s’effondrent, des travailleurs n’ayant le sou pour se loger.

    Les nôtres qu’on abandonne, qu’on jette dehors, qu’on refuse de loger ou alors dans des taudis, pour venir en aide aux nouveaux colons. A Paris, à Bordeaux, ou en Bourgogne nos collectivités locales sur ordre de l’Etat construisent de beaux logements pour ce qu’on appelle les migrants. Pour ces derniers, ils éjectent parfois les occupants de certains hébergements d’urgences comme à Nanterre. Rien n’est jamais trop. Le gîte, le couvert, et la petite allocation doivent le premier message de bienvenu face à l’envahisseur.

    A côté de ça, ceux qui parmi nos compatriotes souffrent et parfois meurent dans l’indifférence appellent le 115, le Samu social, ils s’entendent dire comme l’explique M. Florent Gueguen, le directeur de la Fédération nationale des associations de réinsertion sociale (Fnars) que leurs demandent sont refusés. Ainsi, seuls 17% d’entre eux sont hébergés.

    Malgré que nos élites cosmopolites donnent encore et toujours à ces clandestins, devenus migrants puis réfugiés et peut-être bientôt on les appellera les "messies venus sauver la France", et ce n’est jamais assez. Je prends l’exemple de ce faits-divers relaté par Valeurs Actuelles un soudanais de 28 ans à qui l’on a permis d’être réfugié ici avec tout ce que cela comporte de coût pour la collectivité, et bien parce que ce monsieur n’a pas eu de logement dans la minute, il faut bien remplir un dossier, faire des démarches administratives, il s’est cru bon de faire sa loi et ainsi mettre le feu à la mairie. Résultat 100 000€ de dégâts. Ces gens sont des sauvages, leur place n’est pas en France, ni même en Europe, elle est dans leur pays, chez eux. Ils sont inassimilables et représentent de futurs dangers pour le pays.

    Parfois on me pose la question du pourquoi de ces agissements de nos politiques. Sont-ils bêtes, fous? Un môme de 5 ans ferait différemment. Est-ce calculé? Est-ce une vision idéologique? Je pense moi qu’il s’agit d’un peu tout à la fois, moi qui ai fréquenté des années durant les institutions comme attaché parlementaire, je peux dire que les pontes qui nous gouvernent dans un autre pays n’auraient même pas la capacité de balayer les rues. Et il faut vraiment avoir été à l’intérieur pour le comprendre. Ils sont lâches, ils sont faibles, ils sont idiots (évidemment j’y inclus les femmes), mais ils continuent à nuire. Jusqu’à quand

    Source Valeurs Actuelles

    En savoir plus sur http://lagauchematuer.fr/2016/05/19/un-migrant-veut-un-logement-tout-de-suite-il-incendie-la-mairie-dannecy-100000e-de-degats/#pmyJ5q3xP0XIDoZl.99

  • Une étude de la NASA contredit les prévisions alarmantes du GIEC

    Ces derniers sont-ils vraiment des experts du climat comme ils le prétendent?

    Les médias nous abreuvent tous les jours de nouvelles alarmantes concernant la fonte des glaces de l'Arctique. A en croire les commentateurs, le Pôle Nord qui se situe au milieu de l'Océan, ne sera bientôt plus du tout couvert par la glace. Ce n'est qu'une question de temps. Et dans leur envolée lyrique, nos commentateurs incluent, bien qu'ils ne possèdent pas d'éléments de preuve, les deux pôles dans le même processus de fonte irréversible. Voire. Le continent Antarctique qui n'est accessible que par la voie des airs, et encore à condition que la météo soit favorable ce qui n'arrive pratiquement jamais en hiver, réserve bien des surprises pour peu que l'observation prime sur le dogme.

    Pour mesurer les gains ou les pertes de glace dans une région désertique et inaccessible comme l'Antarctique, quoi de plus précis que les observations par satellite? Les satellites, capables d'une précision submillimétrique en ce qui concerne le niveau de la mer, peuvent également mesurer les lentes évolutions d'altitude du relief désertique de glace de l'Antarctique. Le calcul permet ensuite d'évaluer les volumes de glace perdus par la fonte ou récupérés par l'accumulation de la neige pour effectuer ensuite un bilan massique pour l'ensemble du continent. Seulement, le résultat n'est pas conforme à la vulgate ambiante...

    Voici la traduction d'un article publiée par la NASA en 2014, écrit par Maria José Viñas de la NASA's Earth Science News Team. Il est curieux de constater que les "experts" du GIEC n'on pas prit la peine d'annoncer cette importante nouvelle qui remet fortement en question une de ses annonces concernant l'évolution du niveau de la mer. Un oubli, sans doute?

    Remarquons le ton très libre de l'auteur qui n'hésite pas à bousculer les dogmes en vigueur du temps de l'ancien directeur de cet organisme, James Hansen. A l'époque de celui-ci, il aurait été inconcevable qu'un tel article vit le jour. J'ai mis mes remarques dans cette couleur.

    Antarctic Peninsula

    Une nouvelle étude de la NASA montre que l'Antarctique accumule globalement de la glace. Cependant, certaines régions du continent, comme la Péninsule Antarctique photographiées ci-dessus ont vu leurs pertes en masse s'accroitre.

    Credits: NASA's Operation IceBridge

    Map showing the rates of mass changes from ICESat 2003-2008 over Antarctica.

    Carte montrant la vitesse de changement de masse d'après la mission ICESat sur l'Antarctique: Antarctique est (EA, 2-17) ; intérieur de l'Antarctique ouest (WA2, 1, 18, 19 et 23) ; côte de l'Antarctique ouest (WA1, 20-21) ; ; et Péninsule Antarctique (24-27). Une gigatonne (Gt) correspond à 1 milliard de tonnes.

    Credits: Jay Zwally/ Journal of Glaciology

    "Dans une récente (2015) étude, la NASA explique que l'accumulation de neige en Antarctique commencée il y a 10 000 ans ajoute assez de glace au continent pour compenser largement l'augmentation des pertes provenant de l'amincissement des glaciers.

    Cette recherche contredit les conclusions d'autres études, dont le dernier rapport du GIEC qui prétend que l'Antarctique perd de sa glace continentale.

    D'après cette nouvelle analyse par satellite, la couche de glace de l'Antarctique montre un gain net de 112 milliards de tonnes par an de 1992 à 2001. Ce gain net est ensuite descendu à 82 milliards de tonnes par an entre 2003 et 2008. (La source des données pour la première période n'est pas la même que pour la deuxième.(Voir plus loin dans le texte). Ce fait pourrait bien explique les différences observées entre les deux périodes).

    Nous sommes essentiellement en accord avec d'autres études qui montrent un accroissement de la perte en glace pour la péninsule Antarctique ainsi que pour la région des glaciers Thwaites et Pine dans l'Antarctique ouest" déclare Jay Swally, glaciologue au NASA Goddard Space Flight Center à Greenbelt (Maryland) et auteur principal de cette étude qui a été publiée le 30 octobre dans le Journal of glaciology. "Notre désaccord porte sur l'Antarctique est et sur l'intérieur de l'Antarctique ouest. Là, nous observons un gain de glace qui dépasse les pertes dans les autres régions". Zwally ajoute que son équipe a mesuré "à la fois des petits changements de hauteur sur des grandes surfaces et des grands changements sur des petites surfaces".

    Nos scientifiques ont calculé la croissance ou la décroissance de l'épaisseur de la couche de glace à partir des changement de hauteur qui sont mesurés par les altimètres des satellites. Aux endroits où la quantité de neige qui s'accumule sur la glace n'est pas égale à la quantité de glace qui disparaît dans l'océan, les hauteurs changent, et l'épaisseur de la couche de glace s'accroit ou décroit. Mais la croissance observée de l'épaisseur de la couche de glace de l'Antarctique pourrait s'inverser en quelques décennies d'après Zwally. "Si les pertes de la Péninsule Antarctique et d'une partie de l'Antarctique ouest continuent à augmenter au rythme de ces deux dernières décennies, les pertes compenseront le gain de long terme en Antarctique est en 20 ou 30 ans - je ne pense pas que l'augmentation des précipitations neigeuses arriveront à compenser les pertes".

    (Ici, on voit que l'auteur pratique le rétropédalage classique permettant de se mettre à l'abri des critiques futures éventuelles si les choses ne se passaient pas comme prévu, et montrant qu'il fait bien allégeance à la cause réchauffiste).

    L'étude analyse les changements d'altitude de la surface de la couche de glace antarctique mesurés par les altimètres radar de deux satellites de télédétection de l'Agence Européenne de l'Espace (ERS) pour la période 1992 - 2001 et par l'altimètre laser du satellite de la NASA glace, nuages et altitudes (ICESat) pour la période 2003 - 2008. Zwally pense qu'alors que certains scientifiques ont estimé que les gains en altitude observés dans l'Antarctique est sont dus à l'augmentation récente de l'accumulation neigeuse, son équipe, en utilisant des archives météorologiques commençant en 1979, a montré que les chutes de neige dans l'Antarctique est ont en réalité diminué de 11 milliards de tonnes par an pendant les deux périodes ERS et ICESat. Ils ont aussi utilisé les données concernant l'accumulation de la neige  depuis des milliers d'années reconstituées par d'autres chercheurs à partir des carottes glaciaires, pour finalement conclure que la couche de glace de l'Antarctique est  s'épaissit depuis très longtemps. (Je respecte la règle qui consiste à ne pas mettre de majuscule à "est" et "ouest" lorsqu'ils sont employés comme adjectifs, mais je me rends compte à quel point ça rend le texte illisible...)

    Zwally: "A la fin du dernier âge glaciaire, l'air était devenu plus chaud et transportait plus d'humidité à travers le continent ce qui a doublé la quantité de neige sur la couche de glace".

    Cette surabondance de neige qui a commencé il y a 10 000 ans s'est accumulée lentement sur la couche de glace en se compactant pendant des millénaires et en augmentant l'épaisseur de celle-ci dans l'Antarctique est et dans l'intérieur de l'Antarctique ouest à raison de 0,7 pouce (1,7 centimètre) par an. Cette modeste augmentation d'épaisseur qui s'est poursuivie pendant des milliers d'années et s'est étendue largement sur ces secteurs de l'Antarctique correspond à un gain très important de glace - assez pour l'emporter sur les pertes provenant des glaciers à écoulement rapide (tout est relatif...) dans les autres parties du continent et pour réduire l'élévation globale du niveau de la mer.

    L'équipe de Zwally a calculé que le gain en masse provenant de l'augmentation d'épaisseur de la couche de glace en Antarctique est est resté constant de 1992 à 2008 à 200 milliards de tonnes par an, tandis que la perte de glace des régions côtières de l'Antarctique ouest et de la Péninsule Antarctique s'est accrue de 65 milliards de tonnes par an.

    "La bonne nouvelle est que l'Antarctique ne contribue pas actuellement à l'augmentation du niveau de la mer, mais au contraire le réduit de 0,23 millimètres par an" d'après Zwally.

    Mais il y a aussi une mauvaise nouvelle: si les 0,27 millimètres (ici, j'ai un problème: si je suis la règle qui veut qu'en français la forme plurielle commence à deux, je dois écrire "les 0,27 millimètre"???) d'augmentation du niveau de la mer attribué par le GIEC à l'Antarctique ne provient pas réellement de l'Antarctique, il doit y avoir une autre contribution à l'augmentation du niveau de la mer qui n'est pas comptée. (Alarmisme caractéristique du réchauffisme: on pourrait aussi dire, avec certainement moins de chances de se tromper, que cette augmentation a très probablement une cause (1) peut-être indépendante du réchauffement climatique, qui n'a pas plus de raisons de s'aggraver que de s'affaiblir).

    "Cette nouvelle étude montre les difficultés qui existent pour mesurer les petits changements de hauteur de la glace dans l'Antarctique est " commente Ben Smith, glaciologue à l'Université de l'Etat de Washington à Seattle, non impliqué dans l'étude de Zwally (et ce commentaire montre l'opposition de l'universitaire envers un autre fonctionnaire... Ben Smith met le doigt (mais avec un gant)  sur ce qui pourrait être une faiblesse de l'étude).

    "Faire de l'altimétrie avec précision sur des surfaces très grandes est extraordinairement difficile, et il y a des mesures d'accumulation de neige qui doivent être faites par ailleurs pour comprendre ce qui est arrivé dans ces surfaces" dit encore Smith. (Ici, c'est vraiment une attaque frontale: en effet, Smith connaît très bien les difficultés énormes qu'il y aurait à faire des carottages sur toutes ces zones qui sont très étendues et dont le climat est particulièrement rude...)

    Pour améliorer les mesures des petits changements en Antarctique, la NASA est en train de développer le successeur de la mission ICESat, ICESat-2, qui doit être lancé en 2018. "ICESat-2 mesurera les changements d'épaisseur de la glace avec la précision d'une mine de crayon N°2" dit Tom Neumann, glaciologue à Goddard, chef du projet ICESat-2. Il contribuera à résoudre le problème du budget massique en Antarctique en fournissant des données à long terme sur les variations d'altitudes. "

    La vision générale classique de l'Antarctique est biaisée: la raison en est que l'accès à certaines régions est extrêmement difficile. Ces régions sont des déserts absolus. Elles ne peuvent être analysées que par des méthodes de survols systématisés que seuls les satellites sont en mesure d'exécuter. En conséquence, jusqu'à très récemment, la vision générale de l'Antarctique était fondée sur celle de la région "habitée" du continent, la Péninsule Antarctique.

    Or, cette région a vu un réchauffement important au cours des années écoulées, ce qui s'est traduit par une fonte accélérée des glaciers. L'observation de ces phénomènes a conduit certains scientifiques à extrapoler la situation à tout le continent, ce qui s'avère très faux, l'étude de la NASA ci-dessus le prouve. Le GIEC, qui se repose beaucoup sur des "études"  apportées par des organisations comme Greenpeace dont le coté engagé n'est plus à démontrer, annonce à la page 4 du Résumé à l'attention des décideurs: "Entre 1992 et 2011, la masse des nappes glaciaires du Groenland et de l’Antarctique a diminué (degré de confiance élevé), la perte ayant probablement augmenté au cours de la période 2002−2011", à la page 44: "Au cours des deux dernières décennies, la masse des nappes glaciaires du Groenland et de l’Antarctique a diminué (degré de confiance élevé)", ce qui est en contradiction directe avec les observations rapportées dans l'étude de la NASA ci-dessus. Le problème, c'est que l'augmentation catastrophique du niveau de la mer prévue dans le même résumé pour la fin du siècle est fondée sur une importante contribution de la perte de glace de l'Antarctique.

    Comme les observations réelles montrent au contraire qu'actuellement l'Antarctique contribue plutôt à une légère diminution de ce niveau, cette augmentation doit être plutôt vue comme une opinion plutôt que comme une prévision fiable. En aviez-vous entendu parler par ailleurs? Non, bien sûr, et pour cause: elle a été soigneusement  mise sous un chapeau...

    Notes du 10 juillet 2017

    Lorsqu'un scientifique fait une mesure au moyen de deux systèmes de mesure analogues et qu'il ne trouve pas le même résultat, il considère qu'il ne peut pas comparer les deux résultats car les deux systèmes forment ensemble une indétermination. On ne peut conserver et considérer comme valables que les résultats qui sont observés à la fois dans les deux systèmes: par exemple le sens (positif ou négatif). C'est le cas ici, où les mesures ERS et ICESat ont été effectuées par deux satellites différents. Le seul résultat cohérent dans les deux systèmes est que le bilan massique des glaces est positif, (la glace s'épaissit) mais on ne sait pas de combien. Un autre exemple classique est celui des mesures du niveau de la mer. Celles-ci ont été réalisées par deux systèmes différents: les marégraphes jusqu'en 1992 puis les satellites (TOPEX puis JASON) à partir de 1993. Les marégraphes ont donné une augmentation moyenne de ce niveau de 1,4 mm/an de 1930 à 1992, alors que les satellites ont donné 3,3 mm/an à partir de 1993. Les systèmes de mesure ayant complètement changé, il aurait été normal de considérer que la véritable valeur n'était pas donnée par les satellites. Or, la valeur donnée par ces derniers (par hasard la plus élevée) est la seule prise en compte par Jim Hansen et le GIEC. Cette attitude n'est pas scientifique.

    (2) En réalité, le diamètre d'une mine de crayon numéro 2 (USA) n'est pas défini, car ce chiffre indique la dureté de la mine et pas son diamètre. #2 est l'équivalent de la dureté "HB".

    Graphiques et cartes ici:

    https://climatdeterreur.info/climat/une-etude-de-la-nasa-contredit-les-previsions-alarmantes-du-giec

     

     

  • Dossier Trump/Russie : ce sur quoi le procureur spécial et le grand jury enquêtent va vous souffler

    Robert Mueller, le procureur spécial nommé grâce aux fuites d’information illégales de l’ex-directeur du FBI, vient de donner un coup d’accélérateur à son enquête dans la possible implication de la Russie dans l’élection américaine de 2016 qui a donné la victoire à Donald Trump.

    Dans un premier temps, Robert Mueller a recruté 16 avocats, experts et spécialistes du renseignement pour enquêter,

    Et il y a quelques semaines, il a convoqué un grand jury, lequel a le pouvoir d’interroger les membres du gouvernement sous serment et les déférer devant la justice.

    Vous n’avez pas idée de que cette énorme machine aux moyens financiers, au pouvoir judiciaire, et au champ d’action illimités recherche.

    • Mueller a enquêté pour savoir s’il existait une collusion entre la Russie et la campagne de Donald Trump, il n’a rien trouvé.
    • S’il y a eu conspiration pour commettre une fraude, il n’a rien trouvé.
    • Si les lois sur l’élection ont été violées, il n’a rien trouvé.
    • Mueller a enquêté sur la rencontre entre Trump Jr et un avocat russe, il n’a rien trouvé.
    • S’il y a eu obstruction de la justice, il n’a rien trouvé.
    • S’il y a eu collaboration entre Donald Trump ou son équipe de campagne et des Russes pour le piratage et la publication des emails compromettants du Comité national Démocrate, et il n’a rien trouvé…

    Mueller cherche, cherche, et cherche encore. Mais que cherche-t-il puisqu’aucune infraction à la loi n’a été commise?

    Aussi irréel que cela puisse paraître, il cherche un crime! Mueller cherche si un crime a été commis!

    Ce n’est pas comme le Watergate, souvent comparé aux délits dont est accusé Donald Trump, où un crime avait été découvert par deux journalistes d’investigation. Dans l’affaire du Watergate, un crime certain a été commis : Richard Nixon a fait mettre sur écoute le camp adverse durant une campagne électorale. Et l’enquête judiciaire était destinée à découvrir les auteurs du scandale, les coupables.

    Dans " l’affaire " Trump avec la Russie, aucun crime n’a été commis, il n’y a que des soupçons sortis des médias, personne n’a jamais rien trouvé.

    Des accusations sans preuve ont fusé de toutes parts dans les médias hostiles à Trump pendant des mois, elles continuent. Des commissions du Congrès se sont succédé, le FBI a enquêté, des dizaines d’auditions ont eu lieu: aucun crime, aucune infraction, aucun délit n’ont été découverts.

    Vous lisez bien. Le scandale, infiniment plus profond que tout ce que vous avez pu lire, est que les forces engagées pour détruire Trump ne cherchent pas qui sont les coupables des crimes. Ils cherchent encore et encore si un crime a été commis!

    J’en appelle à mes lecteurs juges et avocats pour qu’ils me le confirment, de mes souvenirs en fac de droit, je crois que c’est du jamais vu dans les annales: chercher si un crime a été commis suite aux accusations infondées basées sur des sources anonymes par des journalistes du New York Times et du Washington Post – sachant que jusqu’à présent, toutes les accusations se sont avérées Fake News, inventées, et dénoncées par les personnes impliquées.

    Deux exemples:

    • Le Washington Post publie que selon des sources anonymes, le Président Trump a donné l’ordre à James Comey, le directeur du FBI, d’arrêter son enquête, puis, lorsque ce dernier a refusé, Trump a entravé l’enquête sur la collusion avec la Russie en le limogeant. Ce sont des accusations très graves. Elles pourraient constituer selon les médias une entrave à la justice qui pourrait déclencher un impeachment. Des accusations si graves qu’une commission du Congrès est créée. Elle convoque James Comey et le questionne, sous serment. Ce dernier -qui vient d’être limogé et ne porte pas Trump dans son cœur – affirme sous serment que Trump ne lui a jamais donné l’ordre d’arrêter son enquête, et que le fait de le limoger ne pouvait pas arrêter l’enquête car il n’est pas directement impliqué dans celle-ci, elle est confiée à des agents du FBI qui font leur travail avec ou sans James Comey. L’accusation a fait pschitt, mais de nombreuses personnes peu informées continueront à penser jusqu’à la fin de son mandat que Trump a fait obstruction à la justice en limogeant le directeur du FBI, parce qu’ils l’ont inlassablement entendu à la télé.
    • Le Washington Post publie que Rod Rosenstein, le numéro deux du ministère de la Justice, a été contraint par Trump d’envoyer la lettre de mémo qui licencie le directeur du FBI, et que selon plusieurs sources – toujours anonymes – il va démissionner car le Président l’a forcé à limoger Comey. Quelques jours plus tard, Rod Rosenstein déclare à un journaliste en riant qu’il n’a jamais envisagé de démissionner (il est au ministère de la Justice depuis plus de 30 ans), qu’il n’a pas été contraint de licencier le directeur du FBI, mais que c’est son comportement lors de l’enquête sur le scandale des emails de Clinton qui l’a poussé à le faire. Suite à cela, une commission d’enquête du Sénat est nommée, et sous serment, Rod Rosenstein détaille point par point les fautes commises et les entorses aux règles qui l’ont conduit à licencier James Comey.

    Les fausses rumeurs, les accusations se sont-elles arrêtées pour autant? Pas le moins du monde. Il en arrive presque une par jour. Tout aussi fausses, tout aussi mensongères, toutes démenties. Et celles qui ne sont pas fausses se révèlent anodines ou ridicules comme celle-ci: "Donald Trump a appelé son fil Donald Jr. pour évoquer l’affaire de sa rencontre avec l’avocate russe!"

    Heu… un père qui communique avec son fils est un crime parce qu’ils s’appellent Trump?

    Conclusion

    James Comey a enquêté pendant un an sur le scandale des emails de Clinton. La fraude et les nombreux délits sont avérés, James Comey lui-même les a détaillés lors de sa conférence, en plein milieu de la campagne électorale : destruction de preuve, circulation d’emails top secret sur des serveurs privés non protégés et non autorisés, en contravention avec la réglementation du département des Affaires étrangères. Entrave à la justice par la destruction à coups de marteau de smartphones réquisitionnés pour l’enquête, mensonge sous serment, mise en danger de la sécurité nationale. Et James Comey n’a pas jugé que les charges justifiaient la convocation d’un grand jury.

    Robert Mueller a enquêté pendant 2 mois sur des accusations de collusion avec la Russie pour lesquelles il n’a découvert aucune preuve, aucune faute, aucun délit commis. Et il vient de convoquer un grand jury.

    Reproduction autorisée avec la mention suivante: © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

  • PROJET: DÉTRUIRE L'EUROPE

    Entre radicalisme humanitaire et sponsors généreux, les ONG "talibans de l’immigration sans frontières" sont les nouveaux pirates de l’accueil illimité des clandestins pour la destruction de l’Europe.

    Dépassé par le flux ininterrompu de migrants économiques, charitablement débarqués par diverses ONG sur les côtes italiennes, le gouvernement a rédigé un code de conduite à l’intention de ces ONG qui favorisent l’immigration illégale en offrant un service de navette gratuit entre les eaux territoriales libyennes et l’Italie, en collaboration avec les trafiquants d’êtres humains: la première fois que des humanitaires collaborent avec les pires inhumains.

    Les règles de conduite refusées par MSF et cinq autres ONG concernent:

    • l’interdiction de pénétrer dans les eaux territoriales libyennes,
    • l’interdiction d’éteindre les transpondeurs à bord des navires (pratique utilisée par les ONG pour masquer la position de leurs opérations de " secours "),
    • l’interdiction de transférer les immigrants illégaux sur d’autres navires (ce qui obligerait chaque navire utilisé par les ONG au large de la Libye à faire lui-même chaque aller-retour jusqu’en Italie),
    • l’obligation de divulguer les sources de financement et
    • accepter à bord des policiers armés.

    Sur les neuf organisations "humanitaires", six ont refusé ce mardi de signer le texte qui leur était présenté par le Ministère de l’Intérieur italien. Les ONG "Save the Children"  et  "MOAS" ont signé et  "Proactiva open arms" a déclaré qu’elle signerait aussi. Cinq ONG n’ont, en revanche, même pas daigné répondre à l’invitation du Ministre de l’Intérieur, tandis que l’ONG "Médecins sans frontières" a signifié son refus des règles du code de conduite, préférant s’allier aux trafiquants d’êtres humains.

    Les médecins n’ont pas de frontière, les Etats oui, et leur devoir est de les contrôler, voire de les protéger.

    Ces ONG ont ainsi montré leur véritable visage de talibans de l’immigration sans frontières au détriment et pour détruire les citoyens italiens et autres européens.

    Médecins sans Frontières (MSF)

    Financée par 319.496 donateurs privés, MSF a reçu 56.8 millions d’Euros en 2016. L’ONG a investi un million et demi d’Euros dans la récupération de migrants en Méditerranée. 6% des donations proviennent de sociétés et de fondations diverses, mais MSF est aussi financé par les loteries, le gouvernement américain, l’UE et l’ONU.

    Le Parquet de Trapani a séquestré le navire de l’ONG allemande pour "aide à l’immigration clandestine". Depuis le début de l’intervention en Méditerranée, la Jugend Rettet se déchaîne contre la "Forteresse Europe", qui éloigne les migrants par l’érection de "nouveaux murs" et limite la mobilité des migrants.

    Le 9 mai dernier, devant la Commission de défense du Sénat, la vice-présidente de l’organisation "humanitaire", Lena Waldhoff, déclarait en toute impunité: "La collaboration avec la garde-côte italienne n’implique pas l’identification des passeurs“.

    Une autre ONG allemande, qui débarque les migrants en Italie, tout en critiquant le pays avec virulence, annonce sur son site qu’elle a besoin de 500.000 Euros pour continuer ses " opérations de sauvetage ". Dans une lettre adressée aux donateurs, elle critique violemment Rome pour avoir présenté un projet de formation et de renforcement des garde-côtes libyens:

    "Coopérer et appuyer une telle organisation de criminels et de mercenaires est tout simplement inacceptable".

    Pour l’ONG, l’important est de faire arriver tous les migrants en Italie, conformément à la Convention de Hambourg, qui ne fait aucune distinction entre réfugiés et migrants économiques.

    La troisième ONG allemande, qui n’a même pas daigné participer à la réunion du Ministère de l’Intérieur italien, a déclaré qu’elle n’accepterait pas à bord la présence d’un officier de la police judiciaire. Et d’ajouter: "en tant qu’organisation non gouvernementale, nous sommes neutres, tandis que la police ne l’est pas".

    Selon L. Kircheis du bureau berlinois de l’ONG, dans les polémiques sur les migrants on ne peut qu’opposer le radicalisme de l’extrême-droite au "radicalisme" humanitaire.

    Sur le site de Sea Watch, le " non " au code de conduite a été justifié par Violeta Moreno-Lax, chargée de cours dans une université londonienne. Elle qualifie le règlement du gouvernement italien de "redondant ou simplement d’illégal".

    Proactive Open Arms

    L’ONG espagnole a promis de signer le code de conduite, mais n’a pas spécifié de date. Cette ONG a dépensé 1,4 million d’Euros pour ses navires, mais a récolté plus de 2,,1 millions d’euros.

    Oscar Camps, directeur de Proactive Open Arms a révélé que parmi les donateurs, il y a l’équipe de foot de Manchester City et l’acteur Richard Gere. Par le passé, l’ONG avait utilisé le vaisseau de luxe Astral du millionnaire italien Livio Lo Monaco.

    Life boat

    Parmi ses partenaires, il y a l’ONG " sœur " SOS Méditerranée et le Fc St.Pauli, un club sportif de Hambourg, devenu célèbre non pour ses mérites footballistiques, mais pour son activisme en faveur des talibans de l’immigration. Parmi d’autres sponsors, il y a une université, le "Secours en Mer allemand", mais également des portails spécialisés comme "Yacht on line".

    SOS Méditerranée

    En 2016, cette ONG avait déclaré des frais pour 4 millions d’Euros, affirmant dépenser 11 000 Euros par jour pour faire naviguer Aquarius en face des côtes libyennes. Parmi les sponsors de l’ONG allemande, une ONLUS italienne a reçu 46 000 Euros de l’Open Society, l’association philanthropique de G. Soros.

    Dans une lettre adressée au Ministère de l’Intérieur italien, l’ONG a réaffirmé que les policiers italiens ne doivent pas se trouver à titre permanent à bord du navire et porter des armes, car cela est contraire aux principes humanitaires de neutralité et d’indépendance.

    Dans cet exode en provenance d’Afrique, l’armée française est également pointée du doigt par les autorités italiennes.

    Le "corridor" qui mène du Niger à la Libye est contrôlé par l’armée française. Cette dernière ne bouge pas un doigt et laisse passer les migrants. Selon l’Organisation mondiale pour les migrations, rien qu’en 2016, 291.000 clandestins ont transité par ce "corridor" pour rejoindre l’Italie.

    L’exode des migrants économiques, qui de toute l’Afrique se dirigent vers la Libye afin de rejoindre l’Eldorado italien, passe par le Niger, où sont stationnés les militaires français.

    Le Niger est le dernier avant-poste avant la Libye. Les migrants économiques, qui rêvent de s’embarquer pour l’Italie, passent par le carrefour d’Agadez, pour ensuite rejoindre Séguédine. Ils se déplacent en longues colonnes de camions et de pick-up, surchargés de personnes et de marchandises. Il est difficile de ne pas les remarquer dans l’immensité du Sahara, surtout pour le contingent français qui déploie des mirages de reconnaissance, des drones de surveillance et des hélicoptères.

    Dans le fortin de Madama, au nord du Niger, il y a au moins 250 militaires, ce nombre est doublé lors d’opérations importantes. Si on ajoute les soldats de l’opération Barkhane, on arrive à plus de mille militaires.

    (Le fortin de Madama fut construit en 1930-1931 par les Français. Sa mission était de bloquer l’expansion italienne … au départ de la Libye. Ironique retournement de l’histoire !)

    Mais, peut-on lire sur la Repubblica.it, la garnison française ne se soucie guère de cette multitude en mouvement à travers le désert. Il y a des photos montrant l’équipage de blindés français saluant amicalement les migrants, entassés dans les camions, ces mêmes migrants qui seront ensuite secourus par les navires des ONG près des côtes libyennes et débarqués en Italie. Il y a aussi des photos de voitures tout-terrain, surchargées de migrants, qui avancent péniblement près des bimoteurs Transall, parqués sur l’aéroport militaire.

    Aujourd’hui, au nom d’un angélisme "compassionnel", l’UE ouvre ses portes aux envahisseurs présentés comme les sauveurs de la vieille Europe et garants d’un avenir radieux. Incohérences, mensonges, illusions d’une Europe qui n’apprend rien de son passé et disparaît suicidée dans la noyade.

    Sources:

    " Il libro nero delle Ong ribelli ​all’assalto della fortezza Europa " Il Giornale.it

    " L’esodo dei migranti dal Niger all’Italia. E i militari francesi fanno finta di nulla " La Repubblica.it

    Des "Volontaires" d’une ONG allemande reçoivent 10.000 euros/mois pour transporter des clandestins!!!

    Ils se disent " volontaires ", les opérateurs IUVENTA (…) mais ils oublient de mentionner que certains d’entre eux ont des salaires en or pour jouer les chauffeurs de taxi de la mer: jusqu’à 10.000 euros (…)La photographie concerne l’enquête qui a conduit à la saisie du navire utilisé par Iugend Allemands Rettet pour transporter les migrants de la Libye vers l’Italie. Les volontaires au sourire à 32 dents allaient prendre les migrants dans les eaux libyennes, à un mile de la côte, sans que les bateaux soient en danger réel (…)

    Source: http://www.ilpopulista.it/news/5-Agosto-2017/17153/iuventa-volontari-si-ma-a-diecimila-euro-al-mese.html

    – https://civilwarineurope.com/2017/08/03/litalie-bloque-une-premiere-ong-passeuse-de-clandestins/

     

    Et, pendant ce temps là, en France on nous les brise menu en nous racontant que présitante et madame genoux calleux n'ont pas dit où ils prenaient leurs vacances.... Ils vont peut-être jouer les sémaphores sur les plages libyennes pour aiguiller les clandés dans la bonne direction?

     

  • Ils sont passés clandestinement en Espagne: bientôt chez nous en France!

     

    https://youtu.be/pf7tAhw8jTc