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occitanie - Page 222

  • ... et, menteur, en plus de cela!

    "Putain, il est chiant lui" : François de Rugy se lâche en pleine séance

    Alors qu'il venait de donner la parole au communiste Jean-Paul Dufrègne, le président de l'Assemblée nationale a glissé un commentaire capté par les deux micros du perchoir. Il assure qu'il réagissait à un SMS.

    Rien n'échappe à l'œil des caméras et à l'oreille des micros. Alors que le Parlement est actuellement réuni en session extraordinaire pour voter les lois d'habilitation permettant au gouvernement de réformer le Code du travail par ordonnances, le président de l'Assemblée nationale, François de Rugy, supervise les débats depuis plusieurs jours. Chargé de distribuer (et modérer) les prises de parole, l'écolo-macroniste a lâché un petit commentaire qui n'est pas passé inaperçu mardi après-midi.

    Tandis qu'il venait de donner la parole au député communiste de l'Allier Jean-Paul Dufrègne, François de Rugy a discrètement lâché: "Putain, il est chiant lui". Inaudible dans l'hémicycle, cette remarque a été captée par les deux micros du perchoir... Et s'entend parfaitement bien à la télévision, comme l'a remarqué Politis. Immédiatement relayée sur les réseaux sociaux, la séquence a suscité de très nombreuses réactions d'internautes mécontents de ce qu'ils ont interprété comme du mépris.

    Selon Le Lab d'Europe 1, le député PCF de Seine-Maritime Sébastien Jumel aurait d'ailleurs fait remonter cet incident à la tribune deux heures plus tard. "Je voulais simplement faire un rappel au règlement pour dire que, quelles que soient les interventions des parlementaires, qu'ils soient dans la ligne du gouvernement ou non, le président de l'Assemblée est filmé, considérant qu'un camarade député est “chiant” lorsqu'il parle. Et donc, je n'ose penser que c'est lui dont il s'agissait. Et donc je veux faire un rappel au règlement pour dire que, quelles que soient les opinions défendues dans cet hémicycle, nous puissions valablement les défendre dans l'intérêt des électeurs que nous représentons, des territoires dont nous sommes l'émanation et de la République dont nous sommes la représentation", a-t-il souligné.

    Deux téléphones étaient bien posés sur la gauche de Rugy

    Toujours selon le site d'information politique, François de Rugy aurait immédiatement réagi pour se défendre. "Je tiens à vous dire avec la plus grande solennité que ça ne s'adressait aucunement à un député ni de votre groupe, ni d'un autre groupe, que j'ai informé, d'ailleurs, votre président de groupe, André Chassaigne, dès que j'ai eu connaissance de ces commentaires sur Twitter, qui sont une mauvaise interprétation. En effet, je pensais que mon micro était coupé et je réagissais à un message que j'avais reçu par SMS. Voilà. Donc ça ne visait en aucun cas (Jean-Paul Dufrègne) et jamais je ne me permettrais d'avoir de tels propos, ni aucun président de séance, je pense, à l'égard d'un des collègues de cette Assemblée. Je tiens à ce que les choses soient le plus clair possible. Donc à la limite, je vous remercie de me donner l'occasion de faire cette mise au point au micro. Et j'espère du coup que les commentaires sur Twitter, journalistiques ou autres, ne manqueront pas de s'arrêter immédiatement. J'en doute quelque peu, mais ce n'est pas grave", a-t-il assuré.

    S'il est impossible de savoir ce qui a poussé François de Rugy à perdre son calme, une chose est sûre: deux téléphones portables se trouvaient bel et bien à sa gauche, et il a jeté un coup d'œil dans leur direction.

    http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/2017/07/12/25001-20170712ARTFIG00054-putain-il-est-chiant-lui-francois-de-rugy-se-lache-en-pleine-seance.php

     

  • Protégez-nous! demandent les Français...

    des hurlements dans le silence étourdissant de la macromania by présitante!

    D'après le baromètre de la transformation publié dimanche par le "JDD", le recul de l'islam radical est un sujet prioritaire pour 61% des Français alors que l'emploi ne l'est que pour 30% d'entre eux.

    Les récents attentats en Grande-Bretagne ont semble-t-il exacerbé le besoin de sécurité chez les Français. Le recul de l'islam radical est en effet un sujet prioritaire pour 61% d'entre eux. Un thème qui arrive très loin devant celui des retraites (43%), de l'école (36%), de l'emploi (36%) ou même du pouvoir d'achat (30%), d'après le baromètre de la transformation réalisé par l'Ifop pour No Com et le JDD, que l'on retrouve dimanche dans les colonnes de l'hebdomadaire.

    70% des Français adhèrent à la transformation. Mais ce n'est pas tout ce que ce sondage révèle. Si les Français adhèrent à la transformation à 70%, ils estiment à 37%, fin juin, qu'il est nécessaire de préserver le pays tel qu'il est pour en protéger l'identité. Un chiffre en hausse puisqu'un mois plus tôt, ils étaient 31% à être de cet avis.

    Besoin de courage et de justice dans les réformes. Par ailleurs, les sondés sont de moins en moins nombreux à penser que la transformation va avoir des effets positifs sur leurs conditions de vie : 59% après l'élection présidentielle, seulement la moitié désormais. Une donnée peu encourageante pour un gouvernement qui procède, entre autres, à la réforme du code du travail et à la moralisation de la vie publique. Les réformes, justement, doivent être menées avec courage, justice et égalité, selon un tiers des Français interrogés pour ce sondage.

    Une satisfaction, beaucoup de points noirs. Si l'université est jugée satisfaisante pour 51% des sondés, la lutte contre la pauvreté, l'agriculture, l'immigration, la délinquance, l'aide à la création d'emplois, les hôpitaux ou encore le système de retraites sont, en revanche, pointés du doigt.

    Les Français se montrent donc très exigeants vis-à-vis de l'Etat. Pour Pierre Giacometti, à l'origine de ce baromètre, "la transformation, on le voit, est déjà sous la pression de la preuve".

     

  • ... et pendant ce temps-là: on installe les migrants, on les nourrit grassement, on les habille et nous pillent, violent, volent, tuent

    Sans toit, cette pupille de l'État vit sous sa tente

    Lucie Maquaire, 19 ans, a perdu ses deux parents lorsqu’elle était encore mineure. Après de nombreuses démarches, aucun propriétaire n’accepte de louer un logement à cette jeune Vendéenne, pupille de l'État.

    "Ça fait cinq mois que j’ai planté ma tente dans la Vallée verte, à La Roche-sur-Yon (Vendée). C’est devenu mon chez-moi. Je la déplace tous les jours, je ne veux pas que les gens croient que je squatte. Je fais des missions en intérim qui pourraient déboucher sur un CDI. Un collègue m’emmène et me ramène, car je n’ai pas le permis. Je dois nettoyer les ateliers de coffrage ou de bardage de ferrailles. J’aurai aimé reprendre les études, mais ce futur contrat pourrait m’apporter de la stabilité. Avec mes ressources, je pourrais me payer un loyer.

    Impossible de louer un appartement

    Sauf qu’aucun propriétaire ne veut s’engager, car j’ai simplement 300 € de ressources fixes par mois, les salaires de mes petits boulots varient. L’État se porte garant pour moi, mais les propriétaires se méfient. J’ai démarché une quinzaine d’agences, des particuliers. Des amis m’ont souvent proposé de m’héberger, mais ça me gênait d’y rester. Au foyer de jeunes travailleurs, ça s’est mal passé. On m’a conseillé d’appeler le 115, et je ne m’y sens pas du tout en sécurité.

    J’ai même ouvert un dossier pour un logement HLM, mais on m’a répondu que je ne gagnais pas assez et que je n’étais pas prioritaire, car je n’ai pas d’enfant. Sauf que dans la vie, pour avoir un travail, il faut un permis et un logement, donc de l’argent. Et pour un logement, il faut du travail…

    " On ne m’a pas donné toutes les clés en main "

    J’ai perdu mon père en 2012 et ma mère en 2014. Ma petite sœur, mon petit frère et moi avons été placés en foyer à La Roche. J’ai eu des relations compliquées avec les éducateurs. Je faisais un bac en spécialité musique, mais mon piano a été pris par les services. J’ai lâché les études progressivement. Comme je suis pupille de l’État, j’aurais pu consulter un avocat pour connaître mes droits, commencer à faire des démarches. On me l’a toujours refusé car j’étais mineure.

    J’ai le sentiment qu’on ne m’a pas donné toutes les clés en main pour m’en sortir. J’ai décidé de tout faire seule, pour gagner mon indépendance. J’ai refusé un contrat jeune majeur de l’ASE (1), même si cela garantissait un financement pour une formation ou l’insertion professionnelle. Mais je voulais avoir un logement à moi, pas en famille d’accueil. À 18 ans, j’ai vécu à droite, à gauche. Sans jamais m’arrêter de travailler.

    " Mon histoire semble banale "

    Avant de savoir que je pouvais toucher une partie de la retraite de mes parents, les nombreuses administrations se sont renvoyées la balle entre elles, avant que cela ne débouche sur du concret. J’ai démarché les assistantes sociales, la CAF, l’Aide sociale à l’enfance, le Centre communal d’action sociale, la Mission locale, sans trouver de perspectives stables. Il y a tellement de situations complexes ici, mon histoire semble banale aux éducateurs. Aujourd’hui, la seule chose qui me manque, c’est un logement stable. Jusqu’à ce qu’une personne accepte de m’en louer un… "

    (1) L’Aide sociale à l’enfance. Un contrat jeune majeur peut être proposé à un jeune majeur, jusqu’à ses 21 ans. L’hébergement peut se faire chez des assistantes familiales départementales, en hôtel, en foyer, voire en appartement.

    http://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/data/3986/reader/reader.html?t=1499273512842#!preferred/1/package/3986/pub/5453/page/9

  • Dans les choux, le présitante!

    On regarde Macron avec indulgence, mais au Conseil Européen il s’est ramassé totalement

    Vincent Hervouët: "Macron a un peu d’air parce qu’il a créé la surprise aux élections et a obtenu une majorité dans la foulée, donc on regarde sa jeunesse avec une forme d’intérêt et d’indulgence. Pour autant, est-ce qu’au dernier conseil européen, la France a réussi à faire avancer ses pions? Est-ce que par exemple sur le dumping chinois, nos alliés nous ont suivi pour essayer d’hérisser quelques barrières? Pas du tout. On s’est ramassé totalement!"

    – LCI, 7 juillet 2017, 10h33

    "On peut ainsi voir que, de la coupe aux lèvres, il y a de la séduction sur papier glacé, de la panoplie – hier en sous-marinier, aujourd’hui en maître du monde – à la réalité de l’action, au-delà de la posture, il y a un gouffre! On est dans un état de grâce, c’est vrai. Il redonne de l’espoir aux gens qui ont une idée fédéraliste de l’Europe vers de plus grands transferts de souveraineté vers l’Allemagne sans doute.

    Mais, pour autant, son action s’inscrit peu dans les faits. L’exemple le plus symptomatique: Emmanuel Macron va voir Donald Trump – qui reviendra la semaine prochaine une 2ème fois le 14 juillet – Il va le voir et a annoncé qu’il espérait "ramener à la raison" sur la question du réchauffement climatique le président américain. On se demande lequel des 2 est le plus fou quand il dit ça. Parce que, Donald Trump est très surprenant, il est difficile de prévoir ce qu’il va dire et ce qu’il va faire, mais imaginer que 2 jours à Hambourg suffisent à le convaincre de se renier sur ce qu’il a dit après Taormine, le dernier sommet où il avait dénoncé l’accord de Paris, c’est faire preuve de beaucoup d’optimisme."

     

     

  • Dormez tranquille braves gens: les députés que vous vous êtes choisi ont une sacré niaque! (niaque, ça veut dire modre et pas être optimiste!)

    Une députée LREM accusée d'avoir mordu un chauffeur de taxi

    Laetitia Avia, députée La République en marche de la 8e circonscription de Paris, a aujourd'hui les honneurs du Canard enchaîné. Celle qui a fait l'objet de nombreuses éloges de la part du premier ministre Edouard Philipppe hier, pendant son discours de politique générale à l'Assemblée nationale, est pointée du doigt pour avoir mordu un chauffeur de taxi.

         Drôle de #députée: refus de payer le taxi + morsure d'épaule + mépris des #policiers!? #arrogante #radine #mégalo? Ca promet! #Avia #Paris12 pic.twitter.com/8DpTthqkAG

        — Section PS Paris 12 (@PS_Paris12) 4 juillet 2017

     Avocate spécialisée en droit des affaires, Laetitia Avia est accusée par le Canard enchaîné d'avoir mordu son chauffeur de taxi le vendredi 23 juin dernier. Les policiers ont dû intervenir vers 23h30 pour mettre fin à une altercation entre le chauffeur et la députée LREM.

    Tout s'est emballé quand la députée a dû régler la course de 12 euros. Le terminal du taxi est en panne et elle n'a que sa carte bancaire. Il lui propose de la conduire à un distributeur, ce qui n'aurait pas plu à Laetitia Avia. «Devant son comportement, elle a donc mordu le conducteur à l'épaule pour qu'il s'arrête - fait qu'elle reconnaît devant nous", écrivent les policiers municipaux de Saint-Mandé (Val-de-Marne).

    Devant la presse, elle se défend : «J'ai eu très peur, je ne l'ai pas mordu mais attrapé par l'épaule». Pourtant, selon la police, il a fallu «quarante-cinq minutes de négociations» pour qu'elle règle sa course. La soirée s'est achevée au commissariat: Laetitia Avia a porté plainte pour séquestration, et le chauffeur pour coups et blessures, écrit l'hebdomadaire satirique.

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    La députée LREM citée en exemple par Edouard Philippe est visée par une plainte pour avoir mordu un taxi

    Le Premier ministre Edouard Philippe lui a fait l’honneur de débuter sa déclaration de politique générale devant l’Assemblée nationale en lui rendant hommage – sans citer son nom. Laetitia Avia, 31 ans, avocate, élue députée avec près de 65% des suffrages dans la 8e circonscription de Paris, est l’une des étoiles montantes de La République en Marche. Dix choses à savoir sur cette macronista de la première heure. (L’Obs)

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  • Des fumiers..... en veux-tu, en voila! toujours la pétasse du Poitou

    Le timbre poste rapporte gros!

    S’il y avait en France une échelle de la corruption politique, elle serait tout en haut mais pourtant, elle demeure intouchable.

    Qui, elle? Ségolène Royal, la ex de François Hollande qui lui a tout couvert bien évidemment. Heureusement que nous ne savions pas tout!  Autrefois les buralistes (ils sont environ 22000 en France) allaient acheter les timbres poste dans le bureau de poste de leur choix. Ils bénéficiaient alors d’une  ristourne et le receveur principal du bureau de poste délivrant les timbres avait lui aussi une ristourne.

    Or, depuis quelques mois les buralistes français doivent envoyer leur commande de timbres à un organisme à Paris, accompagnée du règlement. Environ trois semaines après, ils reçoivent leurs timbres de la poste de Périgueux. Pourquoi donc Périgueux? Quelques uns ont fouillé  et là, stupéfaction, le receveur principal de Périgueux qui perçoit toutes les ristournes sur tous les timbres vendus par les 22 000 buralistes français n’est rien d’autre que le frère de Ségolène Royal. La belle histoire de la poste ne s’arrête pas là.

    On peut d’ailleurs la lire sous la plume de Michel Marmin dans plusieurs ouvrages des Editions Chronique.  On y apprend justement que lorsqu'une personne est nommée ministre de la poste,  la direction des postes remet au ministre durant toute sa mandature des timbres de collection, des timbres très rares, de très grande valeur et dans leur quasi totalité, les ministres ont bien sûr revendu ces timbres à des collectionneurs.

    Tous les ministres des postes contactés ont tous reconnu avoir reçu ces timbres mais aucun n’a reconnu les avoir revendus: les ministres sont pudiques.

    Tous sauf un: Gérard Longuet. Lui, a reconnu les avoir revendus et il a même été plus loin en avouant que durant son mandat ces ventes lui avaient rapporté environ 1000 euros par mois.

    https://metamag.fr/2017/07/02/le-timbre-poste-rapporte-gros/