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santé - Page 16

  • Après les jeux paralympiques, l'athlète Marieke Vervoort envisage l'euthanasie

     Marieke Vervoort fait partie de ces athlètes paralympiques, inconnus du grand public, qui réalisent l'exploit chaque jour.  Sa maladie dégénérative, qui paralyse ses jambes et lui cause de terribles souffrances,  n'empêche pas la Belge d'avoir une carrière de sportive de haut niveau, au palmarès marqué par trois titres mondiaux en course en fauteuil roulant.

    "Quand je m'assieds dans mon fauteuil de compétition, tout disparaît, confiait la sportive, son regard gris déterminé planté dans les yeux du journaliste de France 2. J'expulse toutes les idées noires, je boxe la peur, la tristesse, la souffrance, la frustration. C'est comme ça que je remporte les médailles d'or".

    La dernière en date: celle des jeux de Londres, en 2012, sur le 100 mètres chaise. Mais aussi l'argent, en 200 mètres. Et un triplé de championne du monde à Doha, l'année précédente (100m, 200m, 400m). Et puis quatre records du monde, en 400, 800, 1 500 et 5 000 mètres (catégorie T52).

    A Rio de Janeiro, où les Jeux paralympiques se tiendront du 7 au 18 septembre, les roues de Marieke Vervoort fileront sur le 100 mètres et le 400 mètres". Il y a une chance de médaille, mais ce sera très dur, car la concurrence est très forte ", estime l'athlète, interviewée par RTL.

    Le Brésil sera la dernière étape de "Wielemie" ("La roue et moi" en français), comme la surnomment les Belges. L'athlète a annoncé samedi, à 37 ans, qu'elle mettrait fin à sa carrière après ces Jeux". Rio est mon dernier souhait. Je m’entraîne très dur même si je dois lutter jour et nuit contre ma maladie (...). J’espère finir ma carrière sur un podium à Rio", a-t-elle déclaré à L'Avenir.

    "L'entrainement est ma seule raison de vivre"

    "Après, nous verrons bien ce que la vie m’apportera et j’essayerai de profiter des meilleurs moments" ,élude-t-elle. Son corps la trahit, il lui devient de plus en plus difficile de s'entraîner". C'est très dur de constater, année après année, ce que je ne peux plus faire". Impossible de continuer le basket, le golf, l'escrime, le surf, le triathlon, la plongée ou le golf, tous ces handisports que Marieke Vervoort a testé". J'espère qu'elle va tenir le coup jusqu'à Rio, parce que je vois ses capacités physiques se dégrader ", s'inquiète l'une de ses amies.

    Le sport de haut niveau, sa seule raison de vivre

    L'hyperactive sait qu'en terminant sa carrière, elle abandonne sa "seule raison de vivre". Le sport de haut niveau lui permet de survivre au mal, orphelin et incurable, qui la poursuit depuis ses 14 ans. L'athlète envisage l'euthanasie, légale en Belgique, à condition de réunir l'accord écrit de trois médecins. Les papiers sont prêts. Et l'enterrement, imaginé: "pas d'église, pas de gâteaux". Je veux que tout le monde ait une coupe de champagne à la main, et une pensée pour moi".

    "Tout le monde me voit rire avec ma médaille d'or, mais personne ne voit la face sombre, confie-t-elle. Je peux souffrir énormément, parfois ne dormir que dix minutes par nuit, et quand même aller chercher l'or". Plusieurs fois par jour, la blonde platine revient de ses évanouissements grâce à sa chienne qui lui lèche le visage jusqu'à son réveil. Quand le soleil se couche, la douleur ne s'endort pas et provoque les hurlements de souffrance de Marieke Vervoort". Et je dois continuer à m'entraîner, affirme la native de Diest, au cœur de la Belgique flamande. Pour les autres, s'entraîner c'est normal".

    A d'autres malades et paralysés qu'elle rencontre, la battante assène: "ça ne sert à rien de se plaindre". Regardez ce que vous pouvez encore faire, et constatez comme vous êtes riches". Marieke Vervoort sait qu'elle peut encore participer aux Jeux de Rio. Et viser le podium, une dernière fois.

     

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  • Les babyphones sont-ils nocifs pour le cerveau des bébés?

     

     

     

     Catégorie: Portables

     

     

  • Le blog d'un cardiologue.

    Grange Blanche (cardiologue)

    Le blog d'un cardiologue.

    Aujourd’hui, je suis tombé sur cet article de Ouest-France, au titre accrocheur. Cet article est remarquable car il est cité (je présume donc endossé) par la très vénérable Fédération Française de Cardiologie:

    On y voit une femme qui souffre et un titre frappant: Infarctus; les femmes ont 40% de risque d’être mal diagnostiquées.

    40% By Jove!!! Je me précipite sur ma souris et je tombe sur cet article.

    Le chapeau de l’article dit déjà quelque chose de différent:

    Les personnes âgées de plus de 80 ans et les femmes atteintes d’un infarctus sont souvent victimes de mauvais diagnostic. Par rapport aux hommes, le risque d’être mal diagnostiquées augmente de 40 % chez les femmes.

    Il ne s’agit donc pas d’un risque de 40% de mauvais diagnostic d’infarctus chez la femme, mais d’un sur-risque de 40% par rapport aux hommes. Je me dis que j’aimerais bien voir la source, et très opportunément, l’article donne un lien direct (ce qui est rare et remarquable): Impact of initial hospital diagnosis on mortality for acute myocardial infarction: A national cohort study. Je chipote un peu, mais cette étude n’a pas été publiée dans l’assez prestigieux EHJ mais dans une de ses sous-éditions.

    Un peu comme si un journaliste se vantait d’avoir publié un article dans Ouest-France, alors qu’il n’a eu qu’un entrefilet dans Ouest-France édition Plouézec.

    L’erreur sur les 40% est déjà grave, mais le reste est pas mal non plus.

    En fait, la population étudiée comporte 66.8% d’hommes et 33.2% de femmes. Pas de raz de marée féminin, donc. L’erreur de diagnostic initial, sur l’ensemble de la population, hommes et femmes compris, est de 29.9%. C’est beaucoup, mais nous sommes très loin des 40% du titre, et surtout, il n’existe pas de discrimination sexuelle bien nette dans l’erreur diagnostique. Vous allez me dire que c’est clairement marqué dans l’article de Ouest-France:

    Ce qui est déjà rigolo, c’est qu’on attend 3 facteurs, et seuls 2 sont cités. on sent que le journaliste a eu le doigt qui a bavé sur le ctrl+C. 

    Ces fameux 3 facteurs viennent de là: 

    Pas de statistiques, on ne connait ni la significativité, ni l’intensité du lien entre être une femme et avoir un diagnostic erroné à admission. Sur l’ensemble de l’article, je ne trouve que deux mentions de « female » et une de « women ». Donc pas vraiment un article intéressé par la discrimination liée au fait d’être une femme…

    Si on lit le résumé de l’article scientifique, qui met en exergue les points forts du papier, à aucun moment le fait d’être une femme n’est cité, ne serait que comme donnée démographique, et encore moins comme facteur pronostic. La lecture de l’article le confirme, la soi-disant importante discrimination sexuelle du diagnostic d’infarctus n’apparaît que de façon très éparse, et sans aucune analyse statistique bien convainquante.

    Ce qui n’a pas empêché le rédacteur de la dépêche d’en faire un brulot digne de la pasionaria.

    Et encore, Ouest-France (et tous les médias français) ont eu une certaine retenue, contrairement aux medias britanniques qui rapportant exactement la même étude arrivent à 41, 50, voire 59% de sur-risque lié au sexe féminin:

    Alors quoi?

    La lecture de l’article de Ouest-France, endossé par la FFC, comparé à l’article scientifique original m’a fait toucher du doigt quelques points intéressants:

    • Le rédacteur de la dépêche d’agence reprise par Ouest-France est soit d’une mauvaise foi énorme, soit il comprend encore moins que moi les biostatistiques.
    • La presse écrite se meurt et elle le mérite largement car faire ctrl+C-ctrl+V devant un écran toute la journée n’est pas du journalisme. Un minimum de vérification auprès des gens qui savent (je ne me comprends pas dedans) aurait pu être fait.
    • Défendre une cause juste, la reconnaissance des maladies cardio-vasculaires chez la femme en est une, n’excuse aucunement une torture des données digne du pire laboratoire pharmaceutique (pas de nom).
    • La presse britannique, pour faire bonne mesure et par chauvinisme a rajouté 10% de sur-risque féminin en plus par rapport à la notre. C’est dire la qualité des dépêches d’agences qui ont rapporté les résultats de ce papier. 

    J’ai hâte d’arriver à l’an prochain pour savoir quelle pauvre étude scientifique va être malmenée pour le cœur des femmes.  

    Source:

     

     

     

  • FRANCAIS: copiez-les!

    Terrorisme. Les Allemands vont devoir stocker des vivres et de l'eau

     Les Allemands vont être appelé à stocker de l'eau pour cinq jours en raison d'un risque d'attaque terroriste.

    Pour la première fois depuis la fin de la Guerre froide, le gouvernement allemand a l'intention d'appeler la population à constituer des stocks de vivres et d'eau en cas d'attentat ou de catastrophe, écrit dimanche le Frankfurter Allgemeine Sonntagszeitung (FAS).

    L'Allemagne a relevé son niveau d'alerte après cinq attentats - dont deux revendiqués par l'organisation État islamique (EI) - et la tuerie commise par un déséquilibré le mois dernier. Le gouvernement a annoncé au début du mois son intention d'augmenter fortement les crédits alloués à la police et aux autres forces de sécurité.

    "La population sera obligée de détenir un approvisionnement alimentaire individuel suffisant pour dix jours", précise le FAS en citant le " projet de défense civile " élaboré par le ministère de l'Intérieur.

    Un porte-parole du ministère a déclaré que le projet serait soumis au conseil des ministres mercredi quelques heures avant d'être dévoilé par le ministre mais il s'est refusé à toute précision sur son contenu.

    De l'eau pour cinq jours

    Chaque foyer devra aussi stocker suffisamment d'eau potable pour cinq jours, selon le document cité par l'article du FAS.

    Le projet de 69 pages ne considère pas comme probable un attentat sur le sol allemand nécessitant une riposte à l'échelon national mais il évoque des mesures de précaution qui conduiraient les ménages à "se préparer de manière appropriée à un événement qui pourrait menacer notre existence et ne peut être catégoriquement exclu à l'avenir", ajoute-t-il.

    Le document mentionne aussi la nécessité d'un système d'alerte fiable, d'une amélioration de la protection structurelle des bâtiments et d'une augmentation des capacités du système de santé.

    L'appui de la population civile aux forces armées devrait également figurer parmi les priorités, ajoute-t-il, toujours selon le FAS.

    http://www.ouest-france.fr/europe/allemagne/terrorisme-les-allemands-vont-devoir-stocker-des-vivres-et-de-leau-4428522

  • Inespéré!

    Moelle osseuse: Des chercheurs sont parvenus à réaliser une greffe de cellules souches sur des souris sans avoir recours à une chimiothérapie.

    Pourra-t-on bientôt bénéficier de greffes de moelle osseuse sans avoir à subir de chimiothérapie: De chercheurs le pensent après avoir mené avec succès une expérience sur des souris, dont les résultats ont été publiés dans la revue Science Translational Medicine.

    Sur le modèle de l’immunothérapie

    Actuellement, une transplantation de moelle osseuse ne peut avoir lieu qu’après une chimiothérapie ou une radiothérapie afin de détruire en premier lieu les cellules souches du patient, avant de greffer les nouvelles. Ce traitement souvent toxique et agressif peut rendre l'opération chirurgicale dangereuse, voire fatale dans un cas sur cinq. Par ailleurs, il est susceptible d'endommager les organes, ou de créer des lésions nerveuses et cérébrales.

    La méthode développée par l’équipe de scientifiques de l'université de Stanford ressemble à celle utilisée dans l'immunothérapie, où les patients atteints d'un cancer suivent un traitement qui "entraîne" leur système immunitaire à tuer lui-même les cellules cancéreuses.

    Les chercheurs ont ainsi mis au point une nouvelle approche comprenant un anticorps et des agents biologiques qui aident le système immunitaire des souris à réduire de lui-même les cellules souches autochtones, pour ensuite céder la place aux cellules du donneur.

    Toutes les maladies concernées

     "Si ça marche sur l'homme comme ça a marché sur les souris, nous espérons que le risque de décès passe de 20% à zéro", s’enthousiasment les chercheurs. Si la méthode s'avérait effectivement fonctionnelle chez l'homme, elle pourrait aider à améliorer les traitements de certaines maladies auto-immunes telles que le lupus, le diabète juvénile, la sclérose en plaques, ainsi que les greffes d'organes ainsi que certains cancers, listent les auteurs.

    En fait, "il n'y a presque pas de maladie ou de greffe d'organe qui ne soit pas concernée par cette étude", résument-ils. Des études sur l'homme devraient bientôt être réalisées.

     

  • La rose qui tue et qui pue!

    L’Amérique latine nous fait une fois de plus la démonstration du poison social qu’est le socialisme démocratique, l’idéologie qui a permis à Bernie Sanders d’accumuler plus de 13 millions de voix aux élections primaires. Le socialisme – qu’il soit ou non démocratique – n’est pas seulement destructeur pour l’économie d’une nation, comme l’Histoire a pu nous le prouver à maintes reprises au cours du vingtième siècle, il est aussi un poison écologique. Après l’effondrement global du socialisme à la fin des années 1980, nous avons pu apercevoir ce qui arrive à l’environnement d’un pays sous un système socialiste qui interdit les profits privés des décennies durant. En un mot, les conséquences en sont catastrophiques, comme nous avons pu le lire dans Ecocide in the USSR.

    Le monde a pu apprendre que les pays socialistes ont laissé s’écouler leurs eaux usées non traitées dans leurs rivières, leurs fleuves et leurs lacs des décennies durant. La Volga a en effet été si polluée que les bateaux étaient équipés de signes interdisant de jeter des mégots de cigarette dans l’eau de peur qu’en raison de son contenu chimique, elle ne prenne feu. La pollution générée par les usines n’était jamais contrôlée, les poissons mourraient en masse, et l’Académie polonaise des sciences a rapporté qu’au début des années 1990, la moitié des Polonais vivaient dans une zone de désastre écologique.

    L’ancienne théorie selon laquelle la poursuite de profit au sein d’une économie non-régulée est la cause principale de pollution a été réfutée. Contrairement aux nations capitalistes qui tiennent les pollueurs légalement responsables pour les dommages causés, dans les nations socialistes, les politiciens qui sont responsables de la pollution générée par les entreprises nationalisées ne sont absolument pas tenus responsables. La propriété des ressources nationales au gouvernement signifie que personne ne les possède, et lorsque les ressources sont mises en commun, elles finissent par être sur-utilisées, abusées et exploitées. L’absence de droits de propriété et d’un système de responsabilité légale est la recette parfaite d’un désastre écologique, chose qu’ont prouvé et que continuent de prouver les pays socialistes. 

    Lorsqu’un terrible accident a causé l’explosion mortelle d’une plateforme pétrolière dans le Golfe du Mexique, la société privée British Petroleum a immédiatement établi un fonds de 20 milliards de dollars qui a été utilisé pour le versement de dommages et intérêts. Mais quand le gouvernement du Mexique génère des désastres environnementaux et humains dans le Golfe du Mexique, il se contente de ne rien faire et de mettre en avant son immunité souveraine. Au cours des cinq premiers mois de 2015, Pemex, le complexe pétrolier nationalisé du Mexique, a causé trois explosions catastrophiques qui ont fait de nombreux morts et blessé, et pollué air et eau. Le gouvernement mexicain s’est empressé de dire qu’il n’y avait pas eu de fuite de pétrole, une déclaration que des images satellites fournies par Greenpeace Mexico ont suffi à qualifier de mensonge en montrant clairement une marée noire de 5 kilomètres de long.

    La couverture télévisée des Jeux olympiques de Rio est sur le point de nous faire preuve des terribles problèmes de pollution auxquels fait face le Brésil, géré depuis de nombreuses années par le parti travailliste social-démocrate, qui proclame fièrement le socialisme révolutionnaire comme étant son idéologie première. En plus d’avoir généré la pire pauvreté au monde, le gouvernement brésilien a transformé ses plages autrefois très belles en véritables fosses septiques.

    Le 2 août, un article écrit par Gareth Davies pour le Daily Mail a mentionné les résultats d’une étude de pollution menée à Rio la veille des Jeux Olympiques :

    Il a été recommandé aux athlètes de ne pas mettre la tête sous l’eau.

    La concentration de virus dans la baie de Guanabara, où aura lieu l’épreuve du triathlon, est 1,7 million de fois plus élevée que dans les eaux les plus polluées des Etats-Unis et d’Europe.

    Dans certaines baies, il y a tellement de déchets qu’il est impossible de voir l’eau, et des rats se sont installés sur les piles de déchets flottantes.

    Un corps ainsi qu’un bras humain ont récemment été vus flotter dans la baie de Guanabara.

    Les sables des plages ont aussi une concentration de virus très élevée.

    A Gloria Marina, où auront lieu les épreuves de voile, la concentration de virus est plusieurs milliers de fois plus élevée que dans les eaux les plus polluées des Etats-Unis.

    Les marées d’eaux fétides et usées sont assez communes sur la plage d’Ipanema.

    De vastes îles de déchets en décomposition peuvent être aperçues à marée basse. Ce sont les immeubles résidentiels des bords de plages qui en sont responsables.

    De nombreuses rivières sont noires de pollution.

    Ce genre de cauchemar est devenu assez commun dans les autres nations d’Amérique latine adeptes d’un socialisme démocratique. Le Venezuela souffre d’une déforestation massive et son lac Maracaibo est pollué par plus de 40.000 litres d’eaux usées par seconde provenant des deux millions de résidences qui bordent le lac. Plus de 800 sociétés, dont beaucoup sont liées à l’industrie pétrolière nationalisée du pays, sont autorisées à rejeter des déchets industriels dans le lac. Le lac Valencia est aussi très pollué, et la société pétrolière du gouvernement, PDVSA, aurait rempli plus de 15.000 fosses pétrolières de déchets contaminés, des déchets qui suinteront inévitablement dans les nappes phréatiques. 

    L’une des leçons que les partisans de Bernie Sanders devraient apprendre est que le socialisme démocratique ne détruira pas seulement leur avenir économique, mais aussi leur environnement naturel. Le socialisme est, partout, un désastre économique et environnemental.

     

    Pour les polonais: c'est vrai... les numérations formules sanguines des polonais étaient très "perturbées" à cause de la pollution: pour la même formule en France, on aurait pensé à quelque chose de "grave"... les polonais envoyaient le plus possible leurs enfants à la campagne le WE et pendant les vacances (ou en France, chez des correspondants…) pour leur assurer un peu de temps de vie non pollué.

    Venezuela: le fameux paradis... les gens meurent de faim... Les animaux du zoo de la capitale meurent de faim aussi, ou autre option, sont mangés par la population...

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