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LA VERITE! - Page 297

  • Boudu! ils nous gavent de saletés…

    Je viens de regarder sur canalsat à la demande un reportage sur le beurre. Mauvaise surprise: les produits laitiers ne sont pas du tout simplement réalisé avec du lait et de la crème fraîche! “Ils“ y rajoutent des tas de trucs immondes. En petites quantités…. mais c'est tellement de la salop…. qu'une contrôleur des services vétérinaires disait: nous ne pouvons contrôler qu'à postériori: c'est-à-dire que dans les usines françaises… pas à l'usine de départ; à l'étranger!

    Car une société vendait du “beurre bien frais“ (sic) aux industriels français qui fabriquent des gâteaux “pur beurre“ en France mais ce beurre ne contenait que 34% de beurre… le reste, c'était des tas de choses innommable!

    Elle disait: vous vous souvenez du scandale de la viande de cheval vendue en tant que bœuf? et bien, quand cela va éclater, ce scandale sanitaire sera plus grand!".

    Les journalistes ont terminé le reportage en disant d'acheter du beurre artisanal, AOP, fait en France à la ferme; plus cher de 35% mais au moins, la mention AOP nous protège.

    Et vous, si vous faisiez votre beurre vous-même?

    Beurre maison

    Préparation: 20 min environ; sans cuisson

    Ingrédients

    50 cl de crème fraiche liquide, à fouetter

    1 cuillère a café de sel (ou plus pour un beurre plus salé)

    Battre la crème au batteur électrique pendant 20 min. ou jusqu'a qui soit ferme. Ajouter votre sel. Un petit lait surnage.

    Déposez sur une passoire pendant environ 10 min pour dégager le petit lait.

    Versez dans des moules et conservez au réfrigérateur.

    Ne se conserve pas trop longtemps… donc, faites en petites quantités très souvent.

     

  • Faites cracher la gauchiasse au bassinet

    J'ai lu dans Valeurs Actuelles de la semaine passée qu'en 2012, nous étions au 1er rang mondial dans le palmarès de l'entretien et la sécurité de nos routes, autoroutes, départementales…

    En 2017, nous sommes rétrogradés au…. 7e rang!

    Le Macron, c'est encore et toujours la gauchiasse…

    CONSEIL

    Si vous avez un accident (ce que je ne vous souhaite pas du tout, du tout, du tout, croyez-moi!) et que le mauvais état de la route est officiellement mis en cause:

    Portez plainte: Choisissez un expert dévoué uniquement aux assurés…. il peut vous aider en ce domaine…. Il n'y en a pas beaucoup, mais ils existent!

    Que tout le monde se passe le mot: faites cracher la gauchiasse au bassinet.

    N'oubliez pas non plus: quand l'accident implique quelqu'un d'autre que vous, avertissez la sécurité sociale (si elle a dû vous prendre en charge). D'abord, c'est obligatoire. (Vous le saviez? elle se retourne envers les assurances concernées).

    La sécu a besoin d'argent! Vous aussi. Ne vous laissez pas faire! L'Etat, c'est nous!

     

     

  • Notre nouveau président? ADIEU LA FRANCE!

    Ne m'appelez plus jamais "France".

    La France elle m'a laissé tomber.

    Ne m'appelez plus jamais "France".

    C'est ma dernière volonté.

    J'étais un bateau gigantesque

    Capable de croiser mille ans.

    J'étais un géant, j'étais presque

    Presqu'aussi fort que l'océan.

    J'étais un bateau gigantesque.

    J'emportais des milliers d'amants.

    J'étais la France. Qu'est-ce qu'il en reste ?

    Un corps-mort pour des cormorans.

    Ne m'appelez plus jamais "France ".

    La France elle m'a laissé tomber.

    Ne m'appelez plus jamais "France".

    C'est ma dernière volonté.

    Michel Sardou

     

  • Après le plat de nouilles d'hier.....

    En 1814, au congrès de Vienne Talleyrand avait gagné une grande bataille diplomatique grâce à la langue française et à l’esprit qu’elle aiguisait en lui.

    "Le 8 octobre 1814, les ambassadeurs des grandes puissances étaient réunis chez Metternich. Il s'agissait d'annoncer à l'Europe l'ouverture du Congrès. On délibérait sur une déclaration portant qu'elle aurait lieu le 1er novembre. Talleyrand demanda qu'on y ajoutât ces mots: Elle sera faite conformément aux principes du droit public. Cette proposition souleva une tempête.

    " Non, monsieur! disait Hardenberg, debout, les poings fermés, presque menaçant. Non, monsieur! Le droit public, c'est inutile. " M. de Humboldt criait: "Que fait ici le droit public?

    -Il fait que vous y êtes", répliqua Talleyrand. Les deux envoyés prussiens se calmèrent. Tout le monde parut décontenancé. " Pourquoi dire que nous agirons selon le droit public? fit observer Hardenberg. Cela va sans dire. — Si cela va bien sans le dire, répondit encore Talleyrand, cela ira encore mieux en le disant“.  [2]

    Hurler est l’affaire des loups. C’est le propre des langues que de dire le monde et les choses; le langage est la maison de l’être. Il y a trop de sans-abris.

    La langue française n’est certes pas seule à dire l’être, mais dans certains registres, celui du sentiment amoureux, de la lucidité, de la diplomatie, elle est bonne candidate aux premiers prix et elle dépasse d’un infini le basic English dans lequel les plus grandes langues du monde tendent à se dissoudre comme dans un liquide corrosif.

    [1] http://www.newyorker.com/culture/culture-desk/the-construction-of-a-twitter-aesthetic

    [2] http://agora.qc.ca/documents/talleyrand_au_congres_de_vienne

  • L’antifascisme, le vrai.

    […]

    Histoire de remettre les idées en place, le 18 juin, j’ai relu cette page des Mémoire de guerre ou de Gaulle décrit son arrivée à Londres: "je m’apparaissais à moi-même, seul et démuni de tout, comme un homme au bord d’un océan qu’il prétendrait franchir à la nage“.

    Pour faire bonne mesure, je me suis repassé plusieurs documentaires, surtout ceux d’Antoine Casubolo intitulés "les derniers compagnons". Ensemble de témoignages de ces Français libres distingués par le titre de "Compagnons de la Libération" qui leur fut décerné par de Gaulle. Au-delà de l’émotion et de l’admiration que l’on éprouve à entendre tous ces héros s’expliquer avec tant de simplicité, on ne peut s’empêcher de se poser, lancinante, la question: comment quelques garçons de 20 ans, de toutes origines sociales, géographiques et politiques, ont pu faire le choix, alors que tout était perdu, la nation effondrée, les élites légitimes appelant à la soumission, de partir sans armes, sans bagages, sans même savoir où aller, simplement pour continuer le combat? Je dis quelques, car ils furent peu nombreux. Comme l’a dit Elizabeth de Miribel qui fut la secrétaire de Charles de Gaulle, Londres n’était pas une ville où on arrivait, c’était une ville dont on partait… André Maurois, Raymond Aron, Jean Monnet, Alexis Léger, tous les notables fuyaient pour le confort et la sécurité des États-Unis. Alors, chacun de ceux qui étaient à l’époque, de très jeunes hommes donne son explication. Tous, quelle que soit leur origine ou leur parcours, parlent à leur façon, de la France, du caractère inacceptable de la défaite. Et de la nature de l’ennemi. Et ils racontent le combat, la victoire, le difficile retour à la vie civile.

    Maurice Halna du Fretay a été tué aux commandes de son avion lors du raid canadien sur Dieppe en août 42. Il avait rejoint l’Angleterre en novembre 40 après avoir, remonté pièce à pièce un vieil avion qu’il avait réussi à faire à atterrir en terre anglaise. Interrogé, après cet exploit, sur ses motivations il avait répondu simplement: " Je suis pauvre comme Job, je suis libre comme l’air. Je ne suis plus vaincu".Dans la sociologie particulière de ce groupe étrange, les aristocrates étaient les plus nombreux. En général les cadets de famille. Ils eurent le taux de pertes le plus élevé. Normal.

    Il y avait, beaucoup de bretons, de ces marins têtus qui payèrent un si lourd tribut à la bataille de l’Atlantique. Des intellectuels, des enseignants, des étudiants. Peu de paysans et d’ouvriers, catégories assommées par la défaite et la destruction du Parti Communiste. Ils se rattraperont.

    Il y avait des juifs, aussi comme André Zirnheld jeune professeur de philosophie alsacien, premier officier parachutiste français tué à l’ennemi en juillet 1942 et auteur de la fameuse prière du para. Lazare Pytkowicz, "Petit Louis" qui commença la résistance en novembre 40 à l’âge de 12 ans! Il s’enfuit du Vel’ d’Hiv’ en juillet 42. Devint agent de liaison. Arrêté trois fois par la Gestapo. Évadé trois fois. Il aura affaire à Klaus Barbie. Torturé, on lui demande s’il aurait parlé. Il répond non en souriant, jamais! Puis se reprend et dit, confondant de modestie: "Mais, attention, je n’ai pas subi le supplice de la baignoire. Seulement les coups". Il attendra en vain au Lutétia, ses parents et ses sœurs restés à l’intérieur du Vél d’Hiv. Sa Croix de la Libération lui sera remise dans le bureau du proviseur où il a été convoqué pendant la classe qu’il a reprise à la Libération.… Il a 16 ans.

    Le communiste Jean Devé chef de district à la gare de Villedieu les Poêles rejoint Londres en juin 40. Il organise la sortie de Bir Hakeim en juin 42, s’élance  le premier sur son Bren Carriers, pour ouvrir la voie aux ambulances chargées des blessés transportables, "hurlant à la bataille", arrêté par un obus antichar en pleine poitrine.

    "Une mère, ça ne doute de rien". Madame Moore habite à Louvigné-du-Désert, à quelques kilomètres de Villedieu les Poêles. Ses deux fils, Fred et Gaston, sont partis en Angleterre, en bateau à voile le 19 juin 1940. Depuis, aucune nouvelle. Au soir du 3 août 1944, la grand-rue de Louvigné résonne du passage incessant des troupes alliées qui viennent de s’engouffrer dans le sillage de la percée de Patton." Mme Moore, Mme Moore, il y a des français, c’est l’armée Leclerc! " C’est pourtant vrai! Madame Moore avise un gaillard dans son half track:

    "-Dites moi, vous n’auriez pas connu les frères Moore?

    -Fred et Gaston? Ils sont justes derrière. Mon lieutenant, on vous demande! "

    "Ce furent les retrouvailles" nous dit sobrement Fred d’une voix qu’il essaie d’affermir.

    Des ecclésiastiques aussi, comme le truculent abbé de Naurois, antinazi farouche, Compagnon de la Libération et Juste parmi les nations, qui débarqua le 6 juin 1944 avec le commando Kieffer armé de son seul missel. Daniel Cordier, bien sûr, personnage extraordinaire. Dont la voix se brise lorsqu’il raconte son arrivée à l’Olympia Hall, lieu de rassemblement de la poignée de français " qui ne s’étaient pas couchés devant l’ennemi " au début du mois de juillet 1940. Arrivée de nuit, toutes les fenêtres éteintes. Qui s’allument les unes après les autres et des voix qui se répondent parlant du pays d’où elles viennent: Brest! Concarneau! Bayonne! Rouen! Paris! Et la marseillaise qui éclate. "La plus belle que j’ai jamais entendue". On veut bien vous croire, Monsieur.

    Des militaires, finalement pas mal. Égaux à eux-mêmes. Leclerc, Koenig,  Amilakvari, le prince géorgien, tant d’autres. J’ai une prédilection particulière pour Edgar de Larminat. Que de gaulle gratifiait d’une amitié " circonspecte".  Dont je recommande la lecture des " chroniques irrévérencieuses " particulièrement savoureuses. Sa définition de Leclerc en 1943: "“ c’est le gaillard qui vient vous regarder sous le nez d’un air méchant, vous écrase le pied en vous bousculant et vous chipe votre mouchoir. Au moment où vous allez-vous rebiffer, vous vous apercevez qu’avec ce mouchoir il a fait un service de table complet alors vous ne dites rien et donnez votre chemise“. “

    Tous antifascistes. Tous. Mention particulière pour ce juif tunisien qui n’avait jamais mis les pieds en France et a débarqué, un des 177 du commando Kieffer le 6 juin 44. Qui décrit cette journée, avec son accent pied-noir à couper au couteau et une mine rigolarde. Les Anglais qui s’effacent quand la barge, touche le sable,  en leur disant: " Messieurs les Français rentrez chez vous les premiers". La prise du Casino d’Ouistreham. Les camarades tombés.  Sa voix qui change et se brise dans un sanglot  lorsqu’il raconte l’honneur retrouvé. Comment, au soir du combat, le colonel anglais,  commandant le régiment, blessé à la tête, se redresse pour les saluer et les pointant du doigt, leur dit: " vous, les Français, vous avez fait du bon travail. "

    On terminera avec ceux pour qui le "no pasaran" veut vraiment dire quelque chose. Ces Espagnols de la retirada qui ont rejoint la France libre et formé une compagnie célèbre: "la Nueve " celle qui rentrera la première dans Paris en août 44 commandé par le capitaine Dronne à qui Leclerc avait dit:" Je vous donne le commandement des Espagnols. Ils font peur à tout le monde. Ils ne sont pas vraiment faciles. Vous devriez vous en sortir…. " Antifascistes ceux là aussi, des vrais, des rudes. Qui à leur grand désespoir, après neuf ans de combat, ne pourront pas rentrer dans leur patrie.

    Ce vieil homme retiré dans sa maison de retraite en Bretagne, qui a combattu au Tchad, en Libye, libéré Paris avec la Nueve, qui n’a jamais voulu retourner en Espagne et reçoit dans sa chambre aux murs de laquelle est accroché le drapeau de la République espagnole au côté  de la photo de son chef, Philippe Leclerc de Hautecloque,  est-il le Miralles, dont parle Javier Cercas dans son magnifique roman, "Les soldats de Salamine"?

    "Il pense à un homme fini qui eu du courage et l’instinct de la vertu et pour cela ne se trompa jamais ou ne s’est pas trompé au moment où il fut vraiment important de ne pas se tromper….à un soldat seul dans un interminable désert ardent, brandissant le drapeau d’un pays qui n’est pas le sien, d’un pays qui est tous les pays à la fois et qui n’existe que parce que ce soldat brandit son drapeau renié". Antifascisme…

    Il y a probablement plusieurs façons d’être antifasciste. Mais c’est une chose sérieuse. Ceux que l’on vient de saluer l’ont été dans des circonstances particulières, celles où l’on payait le prix dans sa chair. C’est la raison pour laquelle il faut traiter tout cela avec précaution et ne pas galvauder. Le ventre serait encore fécond…?  Certainement, certainement, mais il ne faut pas manier les symboles et la mémoire n’importe comment. Et puis écouter, et réfléchir à ce que nous disent ces gens-là.

    Que pour être antifasciste il faut d’abord être patriote.

    Source: Vu du droit, Régis de Castelnau, 09-07-2013

    http://www.les-crises.fr/2013-lantifascisme-le-vrai-par-regis-de-castelnau

     

     

  • Moustique tigre : la lutte recommence en France

    La surveillance estivale du moustique tigre a été activée, lundi 1er mai, en France. 30 départements sont concernés. Toute personne atteinte d'une maladie transmise par ce moustique doit se signaler.

    La France a activé, lundi 1er mai, le dispositif de lutte contre Aedes Albopictus. Ce moustique originaire d'Asie, également appelé moustique tigre, s'est développé en métropole de manière continue depuis 2004. Il est désormais implanté dans 30 départements : l'intégralité du sud de la France, la Vendée, le Haut-Rhin, le Bas-Rhin et le Val-de-Marne.

    Le moustique tigre peut transmettre le virus de la dengue, du chikungunya, de zika ou de la fière jaune. Depuis 2010, des cas autochtones de dengue et de chikungunya ont été déclarés dans les régions Provence-Alpes-Côte-d’Azur et Midi-Pyrénées-Languedoc-Roussillon. Hé, ho! on appelle ce coin: Occitanie, cher beauf!

    Particuliers, soyez vigilants

    Le dispositif de lutte a été mis en place en 2006 par le ministère de la Santé, en lien notamment avec les Agences régionales de santé (ARS) et les collectivités. Il est actualisé chaque année.

    À partir de ce lundi, l'activité du moustique Aedes Albopictus est surveillée dans ces zones pour tenter de ralentir sa progression géographique. Toute personne atteinte d'une maladie transmise par ce moustique doit faire l'objet d'un signalement qu'elle ait été contaminée hors-métropole ou localement.

    Si un cas est repéré, des mesures de démoustication seront mises en œuvre à proximité de son domicile. Il est aussi possible de signaler toute présence de ce moustique sur le portail du Centre national d'expertise sur les vecteurs (CNEV), sous la tutelle des ministères de la Santé et de l’Agriculture.

    Enfin, toutes les personnes qui vivent dans les 30 départements où ce moustique est implanté sont invitées à supprimer tous les objets dans lesquels l'eau stagne, ce qui permet la reproduction du moustique, comme les soucoupes d'eau sous les pots de fleurs.

    http://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/moustique-tigre-la-lutte-recommence-en-france_2170750.html

    J'AI INSTALLE DES MOUSTIQUAIRES: pas cher et facile à faire

    Les produits chimiques sont dangereux pour la santé. Ma fille ne supporte pas l'odeur de la citronnelle. J'ai dû installer des moustiquaires sur plusieurs fenêtres. En été, c'est bien commode car on peut laisser grand ouverte une fenêtre avec la lumière allumée et se faire un courant d'air… quand il y a de l'air….

    Voici comment j'ai procédé: j'habite une maisonnette neuve dont les cadres de fenêtres sont en plastique. Pas facile pour y visser quoi que ce soit. Mais, j'ai su instantanément comment procéder. Simple et pas cher

    J'ai acheté des voiles de moustiquaire chez Lidl (pour ne pas lui faire de la pub J

    J'ai payé trois francs six sous… me souviens plus.

    J'ai acheté du scratch auto-collant, recto-verso: cela, c'est plus cher mais reste abordable au regard de l'aide apporté… Le seul ennui, c'est que l'on n'utilise que la partie qui a des pics (mâle)… mais, pour la partie femelle, on met de côté… parfois, cela sert.

    Comme j'ai des vases de géranium pour égayer mes fenêtres –ou autres fleurs- j'ai acheté une barre de rideau ronde, en bois léger que j'ai fais couper à la largeur des fenêtres. Vous devez aussi acheter des pastilles scratch.

    Pour mes fenêtres sans pots de fleurs: on pose le côté mâle et collant sur l'embrasure externe de la fenêtre tout autour. Il n'y a plus qu'à poser le voile qui se maintient seul à travers les pics du scratch.

    Pour les fenêtres à pots de fleurs: il faut installer le stractch collant sur une bonne partie de l'embrasure externe mais laisser libre, de chaque côté une hauteur de 30 cm à plus.

    Vous installez le voile de moustiquaire et vous l'appliquez de manière à ce qu'il ait une bonne longueur en bas de la fenêtre.

    Collez une bande de scratch sur le bâton, enroulez le bas de la moustiquaire. En soulevant le morceau de barre de rideau, vous pouvez lever la moustiquaire pour fermer vos volets ou arroser votre pot de fleurs.

    Le voile de moustiquaire est, en principe plus large que la fenêtre; pour faire plus joli, découpez le voile en prévoyant de laisser 8 cm, à peu près.

    Le long de l'espace des 30 cm, vous collez des pastilles scratch ronde, adhérente sur le plastique. Il n'y a plus qu'appuyer sur le voile de moustiquaire pour bien clore celui-ci après avoir passé votre bras.

    Bien sûr, les 30 cm peuvent être plus grand, cela dépend du besoin d'aisance pour ouvrir et fermer l'espagnolette de votre fenêtre. Il faut alors mettre une peu plus de pastille scratch; il suffit de les installer tous les 12 à 15 cm, c'est suffisant.

    Je laisse mon installation en permanence, je ne retire pas l'hiver. Cela n'a pas bougé sur toutes les fenêtres sauf une: la plus exposée aux intempéries. Seules les pastilles ne collaient plus et je n'ai eu qu'à en mettre de neuves. Depuis, les été toulousains sont sacrément plus vivables!