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Blog - Page 88

  • Pour les sépians et sépianes: info à rire et à pleurer!

    DGCCRF: Rappel d’une boisson " Moose Juice " de la marque Muscle Moose en raison d’une teneur déclarée trop élevée en vitamine B6

    La DGCCRF informe le 31 juillet 2017 d’un avis de rappel d’une boisson " Moose Juice " de la marque Muscle Moose.

            Nom du produit: MOOSE JUICE

            Marque: MUSCLE MOOSE

            Désignation Ou Modèle:

            Tous les parfums, tous les lots

            Anomalie: Une teneur déclarée trop élevée en vitamine B6: 80 mg/l. Cette teneur annoncée en vitamine B6 est supérieure à la limite de sécurité de 15 mg/jour pour les enfants de plus de 12 ans et 25 mg/jour pour les adultes, fixée par l’AESA (Agence Européenne de Sécurité des Aliments).

            Mesure prise par le professionnel: Retrait et rappel du produit.

    NB: On ignore tout de l’entreprise qui a procédé au rappel, secret défense ?

     

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    Selon l’EFSA à propos des valeurs nutritionnelles de référence: conseils sur la vitamine B6.

    Le groupe scientifique sur les produits diététiques, la nutrition et les allergies (NDA) a établi des apports de référence journaliers pour la population de façon suivante:

        0,3 mg pour les nourrissons âgés de 7 à 11 mois ;

        0,6 à 1,4 mg pour les enfants âgés de 1 à 14 ans ;

        1,7 mg pour les hommes adultes et les garçons de 15 à 17 ans ; 1,6 mg pour les femmes adultes et les jeunes filles de 15-17 ans ;

        1,8 mg pour les femmes enceintes et 1,7 mg pour les femmes qui allaitent.

    Valeurs nutritionnelles de référence: conseils sur la vitamine B6

    ____________________________

    L’ESFA a fixé des valeurs nutritionnelles de référence pour la vitamine B6 dans le cadre de la révision des avis scientifiques sur les apports en nutriments.

    Le groupe scientifique sur les produits diététiques, la nutrition et les allergies (NDA) a établi des apports de référence journaliers pour la population de façon suivante:

        0.3 mg pour les nourrissons âgés de 7 à 11 mois ;

        0.6 à 1,4 mg pour les enfants âgés de 1 à 14 ans ;

        1.7 mg pour les hommes adultes et les garçons de 15 à 17 ans ; 1,6 mg pour les femmes adultes et les jeunes filles de 15-17 ans ;

        1.8 mg pour les femmes enceintes et 1,7 mg pour les femmes qui allaitent.

    Le groupe scientifique a dérivé l'apport journalier pour la vitamine B6 en se basant sur de nouvelles données établissant les besoins moyens en vitamine B6 pour les femmes. Les experts ont utilisé ces données pour extrapoler les besoins moyens pour les hommes, les enfants, les nourrissons, les femmes enceintes et allaitantes, et ils ont calculé l'apport journalier nécessaire pour tous ces groupes d'âge. Le groupe scientifique recommande que des études supplémentaires soient réalisées sur les besoins en vitamine B6 pour ces groupes de population.

    La vitamine B6 est une vitamine soluble dans l'eau, qui joue un rôle important dans le corps humain. Elle contribue au métabolisme énergétique du corps, à un fonctionnement normal du système nerveux, à la formation des globules rouges et à la régulation de l'activité hormonale. Les aliments contenant de la vitamine B6 comprennent le poisson, la volaille, le foie, les pommes de terre et les fruits (sauf agrumes).

    L'EFSA a recueilli des commentaires et des contributions sur la version préliminaire de cet avis scientifique lors d'une consultation publique qui s’est étendue sur six semaines.

    http://www.efsa.europa.eu/fr/press/news/160624

     

  • Et la prononciation? un désastre, un naufrage épouvantable!....

    La faute d'orthographe ou le nivellement par le bas du français

    Par Claude Duneton

    Le niveau du français a baissé ces dernières années. L'individu francophone ayant subi depuis deux ou trois générations «une mithridatisation au pédantisme». Le chroniqueur du Figaro Claude Duneton (1935-2012) analysait ce phénomène avec humour.

    Je faisais la queue devant les guichets du RER, à la gare du Nord, à Paris, lorsque j'avisai une pancarte bleue, posée sur un pied à la manière d'un instrument de musique, qui disait: «Patientez ici qu'un guichet se libère.» Bizarre formulation! Patienter n'est pas un verbe transitif: on ne patiente pas quelque chose, ou quelqu'un. On patiente cependant quelques minutes, mais on ne patiente pas son copain - on ne patiente pas qu'il arrive. On l'attend!

    La gare du Nord est une gare internationale, la plus achalandée de France paraît-il, avec près d'un million de voyageurs chaque jour. La foule canalisée par des sangles bleues parlait des tas de langues diverses, je me suis cru un instant projeté en pays étranger avec cette pancarte insolite où l'on avait substitué «patientez que» à l'ordinaire «attendez que»... Qui donc a écrit cette ânerie? Qui a fabriqué les pancartes (il y en avait plusieurs)? Qui les a installées devant les guichets? Sûrement pas le même employé.

    Il est curieux que dans une entreprise d'État de l'envergure de la SNCF il n'y ait personne qui sache suffisamment le français - des ingénieurs, des chefs de secteur, que sais-je? - pour faire corriger une erreur aussi grossière qui ne donne pas une haute idée du niveau d'instruction du personnel, pourtant recruté sur concours. Quelle gêne!

    Le seuil du tolérable s'est abaissé

    Faut-il voir là un exemple caricatural de ce que Pierre Merle décrit dans un livre comme étant du français mal-t-à-propos (L'Archipel)? Il désigne sous ce vocable emprunté aux liaisons mal placées que faisaient les anciens ignorants: «un français mal bâti, mal fagoté, perdant comme à plaisir sa grammaire, son orthographe, son légendaire sens des nuances et le reste, un français d'à-peu-près»?.. Il est parfaitement exact que le seuil de ce qui est tolérable s'est beaucoup abaissé au cours des quarante dernières années. L'idée même de faute de français s'est progressivement effacée à cause de la connotation moralisante du mot «faute», qui l'a fait bannir du vocabulaire des gens avisés dans une société où la notion de morale est finalement rendue suspecte.

    Toute «déviance» devient donc normale, ou même enrichissante selon certains: un mot pris pour un autre - chose qui, naguère, faisait sursauter l'auditeur - ne trouble plus personne, tant l'idée que rien n'a d'importance s'est répandue dans le public français. L'autre jour, une amie a entendu à la radio un journaliste dire sans se reprendre: «Le témoin a déclaré sans encombre»- il voulait dire sans ambages. Une autre personne expliqua lors d'une cérémonie qu'elle venait«pour le recueil», au lieu de «se recueillir»... On pourrait compter des centaines de ces distorsions lexicales dont nul ne fait plus cas. C'est ce que Pierre Merle appelle benoîtement les fautes tranquilles ; «le garçon que je vous parle» ne fait plus réagir, pas plus que «la ville dont je suis allé».

    Du moment que l'on discerne ou devine le sens, quelle importance?

    L'auditeur sent bien (pour l'instant!) que quelque chose cloche, mais il ne s'estime plus autorisé à intervenir par crainte, le plus souvent, de se trouver politiquement indésirable. Et puis, du moment que l'on discerne ou devine le sens, quelle importance? Vive l'évolution! s'écrient certains linguistes friands de nouveauté. Bien sûr, mais c'est de cette manière aussi qu'une langue évolue à petit feu vers sa fin...

    Il est malaisé d'analyser les raisons de cette résignation massive. À l'évidence, l'affaiblissement de l'enseignement lui-même, par abandon calamiteux des exercices de grammaire pratique, indispensables à la maîtrise du français, joue un rôle déterminant. Les grammairiens ont laissé la place aux «linguistes», qui sont des gens que tout amuse et instruit. Les linguistes sont comparables à des amateurs d'émotions fortes qui regardent un enfant se noyer sans faire un geste pour lui porter secours, tant le mécanisme de la noyade - l'enfant crie, fait des gestes désordonnés - leur paraît fascinant à observer.

    Il y a, à mon avis, une lente érosion du sens des mots et des phrases que l'on peut attribuer à l'habitude qu'ont prise les gens normalement lettrés de ne plus chercher à comprendre dans le détail. Pourquoi? Parce que depuis un demi-siècle on a trop abusé du charabia pseudo-scientifique, qui s'est propagé comme un chancre mou dans tous les domaines de la vie courante. L'individu de langue française subit depuis deux ou trois générations une mithridatisation au pédantisme. À force de ne comprendre qu'à moitié, il s'est empoisonné le cerveau!

    .... et le goubli-boulga de mélange de mots anglais dans notre langue par ces gauchiards de nournaleux copiés-collés de sous-cultures et autres mecs de télé barbus pour ne pas qu'on les prennent pour des lopettes -et c'est raté?

     

     

     

  • Mal, mal... mais que j'ai mal à ma France!!!!

    Paris: Nadine Z., une femme de 85 ans, expulsée de son logement

    Nadine Z., une retraitée de 85 ans, locataire d’un appartement dans le 19e arrondissement de Paris s’est retrouvée à la rue il y a une semaine en raison d’une dette de 4.000 euros de loyers impayés.

    Voisins et associations se mobilisent. Nadine Z., 85 ans, a été expulsée le 12 juillet dernier de son logement dans le 19e arrondissement de Paris. Si une solution d’hébergement temporaire lui a été proposée, la retraitée, qui refuse de se rendre à l’hôtel, a été accueillie dans un local associatif après une nuit passée à l’hôpital. Une situation qui découlerait de plusieurs années de dettes.

    Voilà 30 ans que Nicole Z. habite quai de la Loire dans le 19e arrondissement de Paris. Fille de résistant, auteure de plusieurs livres de psychologie, elle a été, dans sa jeunesse, l’assistante du prix Nobel de chimie, Frédéric Joliot-Curie. Figure du quartier, elle a vendu il y a une dizaine d’années son appartement mais a contracté un " bail à vie " avec le nouveau propriétaire pour un loyer modéré.

    Au fil des ans, les ennuis se sont accumulés, les dettes avec. Selon l’association Droit Au Logement (DAL), la retraitée, placée sous tutelle, a été assignée au tribunal d’instance en 2014 pour une dette de 4.000 euros de loyers impayés. " Manifestement elle ne se défend pas ", déplore le collectif qui avance comme raison probable un manque d’information envers la vieille dame. Trois ans plus tard, la situation n’est donc pas résolue et Nicole Z. a vu policiers et huissiers débarquer chez elle la semaine dernière.

    “ Hier, on m’a fait sortir de chez moi pour me prendre mon appartement" , explique-t-elle dans une vidéo filmée par l’un de ses voisins. " Depuis je n’ai pas pu rentrer chez moi et j’aimerais bien rentrer chez moi“.

    Ce jour-là, la retraitée était sortie de chez elle quand les huissiers sont venus procéder à son expulsion. Quand elle est rentrée, les serrures avaient été changées. (salopards!)

    Une solution d’hébergement temporaire lui a été proposée mais la vieille dame refuse d’aller à l’hôtel. Elle a donc été accueillie dans un local associatif où elle a passée plusieurs nuits. Mercredi, elle a été hospitalisée en urgence et a passé la nuit à l’hôtel Lariboisière. Mais chaque jour, elle vient s’asseoir sur les marches de son immeuble. […]

    bfmtv

  • Le présitante: qui a de l'autorité pour insulter le grand général de Williers, doit mettre cette “autorité“ de tout petit caporal à gueuler vers ceux qui ne font pas leur travail!

    Lettre ouverte à Emmanuel Macron sur la réduction des heures d'aides humaines

     

     

     

  • Ha Mer.... où on est là???????

    Aussi envoyé par mon amie médecin

    environ 50 000 personnes meurent de la rage dans le monde (Asie, Afrique ) / an et le chiffre est SOUS evalué. ( bcq meurent dans des villages isolés et ne sont pas comptabilisés). c'est une mort particulièrement affreuse

    donc il est " normal" que les gens de ces pays aient peur des chiens, les jugent impurs, leur lancent des pierres etc...il y a environ 20 morts/ an de la rage au Maroc... Tous les ans des gens raménent des animaux contaminés par la rage, en revenant de vacances au magreb (chats ): cela coute excessivement cher de retrouver tous les animaux et humains ayant été en contact avec l'animal enragé, pour les vacciner.
    CAR n'y a pas de traitement contre la rage : elle est 100 % mortelle.
    Et je vous prie de croire que les sujets " contacts" sont trés contents de se faire vacciner contre la rage, meme si cette vaccination et immunothérapie est trés contraignante
    parfois, on est obligé de faire appel aux vétérinaires pour qu'ils donnent leur sang ( sont vaccinés contre la rage ) afin de fabriquer un sérum antirabique.. qui " bloque" le virus de la rage, en attendant que le vaccin fasse effet.
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    Agression choquante en plein jour à Vienne : Ingrid T. (54 ans) est à l’hôpital à la suite d’une attaque brutale. Motif : ses deux chiens ! « Ces animaux sont impurs, » telle est la justification de son agresseuse, une Somalienne ayant obtenu le droit d’asile.‎

    Elle bavardait avec des voisins à la porte du jardin;‎‎ Panda, son colley croisé, sourd, presque aveugle, trois pattes ‎‎seulement, paisiblement assis près d’elle, «Poco», dix mois, marchait dans la petite rue en direction de la maison des parents d’Ingrid T. «J’ai aperçu une jolie femme voilée qui s’approchait. Je savais que certaines personnes de ces pays n’aiment pas les chiens, alors je suis allée vers «Poco » et ai voulu le ramener», raconte Ingrid T. sur son lit d’hôpital.‎

    Puis les évènements se sont précipités, comme le raconte cette Viennoise : la Somalienne (18 ans, permis de séjour officiel pour l’ Autriche) l’a attaquée. « Elle a mis ses bras autour de moi, m’a fait tourner et m’a griffée» ‎‎–‎‎ jusquà ce que toutes les deux tombent à terre. Il a fallu trois hommes pour séparer cette femme de 54 ans de son assaillante. «Je ne sentais plus mes jambes», se souvient Ingrid T.‎

    Elle a été opérée deux fois à l’hôpital Wilhelmine ‎‎–‎‎ elle a le genou cassé […]. Pourquoi tout cela ? Il s’agit ici de culture, aurait déclaré le mari somalien à l’hôpital, lorsqu’il a voulu interpeller Ingrid t. : «Nous ne voulons pas de chiens, ils sont sales !»‎
    ‎T. Ingrid va mettre du temps à récupérer. Qui va payer pour tout cela ? Son avocat Manfred Ainedter ne le sait pas. La Somalienne n’a apparemment pas de responsabilité civile. […]‎

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