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Opinions - Page 10

  • En mai, fais ce qu’il te plait: les racailles ont compris le message

    A l’attention de messieurs les ministres de la Justice – Garde des Sceaux et de l’Intérieur, quelques "faits divers" au cours de ces mois d’Avril et Mai 2022 dans notre "Douce France" où, selon eux, l’insécurité ne serait qu’un sentiment!

    Semaine 18: du 30 avril au 06 Mai.

    30/04 – Garges-les-Gonesse (95): Il "fréquentait" une jeune fille d’origine algérienne, Brandon, d’origine indo-ivoirienne, a été poignardé à mort par le frère pour l’unique raison qu’il était "Noir". Et ils nous traitent de "racistes"!

    Aurillac (Cantal)): En plein centre-ville, rues Duclaux et de la bride, des bandes de jeunes se sont affrontées. Les passants se sont réfugiés dans les magasins. Les habitants se plaignent de l’insécurité grandissante et affirment que leur ville "se ghettoïse".

    Toulouse (31): Des employés des bus "Tisséo" ont été agressés par des jeunes voyous en scooter et armés de couteaux et de machettes. Deux jeunes de 18 ans ont été interpellés.

    01/05 – Grenoble (Isère): Un étudiant grenoblois, de nationalité et d’origine égyptienne, a été mis en examen et placé en détention provisoire pour avoir violé une étudiante lors d’une soirée

    Saint-Hilaire-du-Harcouët (50): En pleine rue, suite à une altercation avec 5 jeunes, à la fermeture du bar "Le Pearl", un homme de 29 ans a été poignardé à mort. Trois de ses agresseurs sont actuellement en garde à vue.

    Bordeaux (Gironde): Un gardien de la paix bordelais d’une cinquantaine d’années, qui se promenait avec son épouse et ses enfants, a été sauvagement agressé par un individu "quand il lui a montré sa carte de policier". L’individu a vu rouge et lui a cassé une bouteille sur la tête, avant de le rouer de coups lorsqu’il était à terre. Il a été appréhendé.

     

    **Selon le Ministère de la Justice, au 31 mars 2022, 25,54% des détenus dans nos prisons sont des étrangers, alors qu’ils ne représentent que 7,7% de la population française, soit 5,2 millions de personnes (Clandestins non comptabilisés!)

     

    02/05 – Dans le quotidien "Le Monde", 176 élus, de la gauche à la droite, "appellent l’Etat à assumer ses responsabilités régaliennes dans le département de l’Essonne": 25% de tous les "faits divers" recensés en France ont lieu dans ce département: agressions à l’arme blanche, rixes, affrontements entre bandes, morts tragiques, adolescents poignardés ou tabassés à mort, etc. "Trop c’est trop"!

    Lyon (69): Avec un couteau sous la gorge, trois individus étrangers, d’origine roumaine, enlèvent une femme en pleine ville, le forçant à monter dans une voiture, à Confluence, dans le quartier de la Presqu’île. Les policiers municipaux parviennent à les intercepter sur le cours Charlemagne.

    Toujours à Lyon, dans le quartier de la Duchère, un "barbecue" sauvage s’est terminé en fusillade à la Kalachnikov. Une dizaine de coups de feu ont été entendus et trois individus ont été blessés par balles, dont l’un entre la vie et la mort.

    Nantes (Loire Atlantique): Un individu âgé de 40 ans, dont on ignore l’identité et l’origine, a tenté de violer une jeune femme en pleine rue, place Foch: "il venait de sortir de garde à vue".

     

    03/05 – Le parquet de Grenoble a désigné "l’ultra-gauche" comme responsable de l’incendie criminel du pont de Brignoud, entre Grenoble et Chambery: une catastrophe pour les commerçants de Crolles (Isère), ville de 8000 habitants.

    Juan-les-Pins (06): Un migrant roumain, âgé de 46 ans et en situation irrégulière, a violé, en pleine rue Maréchal-Joffre, près de la gare, une jeune femme de 24 ans, après l’avoir frappée. Il a été appréhendé et placé en garde à vue.

    Bayonne (64): Surpris en pleine tentative de viol, un migrant, mineur non accompagné en situation irrégulière, a été roué de coups et reçu trois points de suture, avant d’être placé en garde à vue. Plusieurs objets volés ont été retrouvés sur lui.

     

    Encore à Nantes, refusant d’être contrôlé, alors qu’il conduisait sans permis, un chauffard, âgé de 21 ans, a pris la fuite entraînant un policier sur une cinquantaine de mètres. Le drame a été évité de justesse. Le conducteur s’est présenté au commissariat quelques heures plus tard.

    04/05 – Avignon (Vaucluse): En plein centre-ville, rue des Teinturiers et à proximité d’un point de drogues, Eric Masson, policier de 36 ans, a été abattu par un individu qui a fait feu à plusieurs reprises sur les forces de l’ordre. Trois suspects ont été appréhendés dont l’auteur de l’assassinat.

    Paris (75): Porte de Clignancourt, dans le 18e arrondissement, plusieurs policiers ont été violemment agressés par des migrants clandestins en situation irrégulière. Une policière a été blessée au visage et trois des agresseurs ont été interpellés et placés en garde à vue.

    Marseille (13): Alors qu’il se promenait dans le parc de la Moline, dans le 12e arrondissement, un homme de 54 ans a osé demander à un individu " de baisser le son de sa musique ". Il a été poignardé dans le dos et blessé gravement, bien que son pronostic vital ne soit pas engagé. L’auteur de l’agression à pris la fuite.

    Toujours à Marseille, une soixantaine d’habitants ont quitté leur logement, une résidence privée dans la barre G de la cité Kalliste, située dans le 15e arrondissement, terrorisés par des squatteurs, migrants clandestins nigérians en situation irrégulière. Sur fond de prostitution, de trafic de drogues et d’affrontements entre bandes à coups de machette dans les parties communes, leur quotidien est devenu un enfer.

    Rennes (35): "Parce qu’il l’avait mal regardé", le dénommé Anli Deza, 20 ans, a agressé un homme dans le métro, à la sortie d’un spectacle, puis lui a volé sa sacoche sous la menace d’un couteau. Il a été condamné à un an de prison ferme.

     

    05/05 – Abeilhan (34): Un individu âgé de 26 ans a assassiné d’une quarantaine de coups de couteau, après lui avoir attaché les mains et conduit dans les vignes, un homme de 34 ans " pour une dette concernant un trafic de stupéfiants. Il a été mis en examen, ainsi qu’un complice.

    Coignières (Yvelines): C’est l’effroi, l’horreur absolue "On s’aimera jusqu’à la mort, inchallah" avait écrit Liza, 31 ans, sur son profil Facebook: Elle était amoureuse d’un migrant algérien de 27 ans "qui l’a tabassée jusqu’à que mort s’ensuive". Ce drame s’est produit dans la résidence sociale Adef "où des faits de harcèlement envers les femmes avaient été signalés au procureur de la République. L’assassin a été interpellé.

    Nancy (Meurthe-et-Moselle): Il y a huit jours il avait violé une jeune femme de 22 ans en pleine rue. Arrêté, il s’agit d’un individu qui avait été condamné, en 2010, à vingt ans de prison " pour avoir tué une grand-mère de 79 ans, de 82 coups de couteau, alors qu’elle était alitée et qu’il cambriolait sa résidence à Bourgbourg, près de Dunkerque ".

     

    06/05 – Cahors (Lot): Expulsé de Suède et sa demande d’asile rejetée en France, un pédophile Afghan, âgé de 22 ans, hébergé dans le parc social, agresse un petit garçon de 9 ans "lui imposant une masturbation et possédant 71 fichiers pédopornographiques mettant en scène des enfants". Il est condamné à 30 mois de prison ferme. Sera-t-il expulsé?

    Strasbourg (67): Une douzaine de mineurs agressent un homme de 26 ans dans un tram de la ligne A en plein centre-ville et peu après minuit. Il est gazé, tabassé et dépouillé de sa carte bancaire, son portable et 200 euros. Ils ont été interpellés et placés en garde à vue.

    Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme): En octobre 2016, alors qu’il avait 17 ans, Philippe Sow, né en Guinée, migrant et fils d’un ministre guinéen, avait violé une étudiante dans un buisson, à quelques mètres de l’entrée de son immeuble: "Il voulait lui faire mal, et même la tuer". Aujourd’hui, à 26 ans, Il vient (enfin) d’être condamné à dix ans de réclusion criminelle.

    Marseille (13): Parti avec un ami de Cergy, dans le Val d’Oise, à Marseille, dans les quartiers nord, pour dealer et se faire de l’argent, Jacques, 18 ans aujourd’hui, avait poignardé à mort justement   “ce même ami ", âgé de 24 ans, le 17 novembre à Marseille. Il est actuellement jugé" par la cour d’Assises du Val d’Oise.

     

    Castres (81): Un migrant clandestin de 29 ans, sous le coup d’une OQTF notifiée en 2020, terrorise les riverains de la rue Georges Layrac et blesse 5 policiers "Allah Akhbar, je vais tuer les mécréants et vous saigner comme des porcs", hurlait-il. Il avait " une mission ": s’en prendre à des policiers!

    Guyane – Trois individus ont pénétré dans l’église, ouverts le feu et tué le pasteur âgé de 44 ans, blessant sept autres membres de sa famille, qui ont été évacués vers le Centre Hospitalier de l’Ouest Guyanais. L’église a ensuite été incendiée.

     

    Espagne – Des ONG, complices des passeurs illégaux, notamment la CGT de Ceuta, ont dénoncé les arrestations et les expulsions immédiates de migrants clandestins marocains en situation irrégulière dans plusieurs villes du pays " aussi bien par voie aérienne que maritime " vers des zones plus éloignées des frontières.

     

    Belgique – Bouillon: Choisi au hasard, en pleine rue, un passant a été poignardé de 4 coups de couteau par un réfugié afghan du centre Fedasil qui, bien entendu, aurait des troubles psychologiques. Il a été placé en détention.

     

    Toujours en Belgique, mais à Liège, la jeune Ahlam Younan, 28 ans et d’origine syrienne, a été retrouvée ligotée et exécutée d’une balle dans la tête par son propre frère, Gerges, domicilié en Suède mais arrêté en Syrie, où il s’était réfugié. Il reprochait à sa sœur son style de vie européen et ses fréquentations.

     

    3351 migrants "mineurs clandestins non accompagnés" sont arrivés en Belgique en 2021. 69% d’entre eux ont été "déclarés majeurs", après que des tests d’âge aient été effectués

     

    Manuel Gomez

     

    Depuis le temps, vous devriez savoir qu'il faut les excuser: ils n'ont pas les codes!

  • Avec Foutriquet et sa perruque, le pire n’est pas une option

    Longtemps, l’on s’est  moqué de l’Italie et du guignolo Berlusconi! Ah! L’on ricanait bien de ses lifts, de ses cheveux peinturlurés, de ses inclinations sexuelles…

    Avez-vous réalisé ce qui vient de nous advenir ? En termes d’image de marque, ce n’est pas mieux voire pire…

    On vient d’en reprendre pour cinq ans avec un ado mal fini qui a tendance à toucher tout le monde et surtout les hommes… C’est un cinglé qui ne sait pas se tenir et se croit tout permis. A quarante-quatre ans, l’on peut diagnostiquer un cas grave à problèmes multiples !

    source:

    Tentant de dissimuler sa calvitie, il balade partout une perruque ridicule, de plus en plus longue et frisotée. Très fier de son nouveau look, il va vouloir le faire admirer de la totalité de la planète.

     Donc depuis cinq ans et pour cinq ans encore, nous aurions pour Potiche officielle un monsieur, de 77 ans, déguisé en dadame lequiel, alors que son mari fait la promo des transsexuels, ne s’assume pas.

    Étant plus que narcissique, il est probable que Foutriquet refasse son portrait officiel. Le monde entier s’étant moqué de ses photos barbe de trois jours, en sweat-shirt façon je fais la guerre comme Volodo, il devrait y arborer un costard cravate, à moins qu’il nous la joue manches retroussées et chemise ouverte sur son poitrail survelu, comme à Marseille…

    Pour changer du pédophile Gide, il pourrait poser sur son bureau : Cette fille c’était mon frère d’Anne Peters, Le grand bazar de Daniel Cohn-Bendit, Lolita de Nabokov et les œuvres complètes du marquis de Sade. Et aux murs différents tableaux de Balthus…

    Et ce sera l’occasion de nous divertir plus encore. D’aucuns pourront vérifier dans chaque mairie que, contrairement aux Français qui ne sont rien, le génial Macron a tellement plus de cheveux qu’en 2017 et, grâce à Photoshop, moins de rides encore.

    La France n’est plus qu’une république bananière représentée par l’imposture, l’indécence et la vulgarité.

    Cette réélection nous aura enseigné que pour avoir fait le choix d’un tel individu, 58% des inscrits et la totalité des abstentionnistes ne savent plus ce que honte signifie et vont l’apprendre à nos dépens.

     Daphné Rigobert

  • Parlez français, non de d….!!

    Franglais, dialecte des banlieues et mots creux: 3 menaces pour la langue française

    Nous sommes profondément attachés à la grandeur et à l’influence de la France dans le monde dont une des composantes majeures réside dans une Défense nationale puissante et crédible.

    Mais la défense de notre langue en est un des facteurs non moins essentiels et vitaux non seulement pour tenir notre rang international mais également afin de maintenir la cohésion nationale au sein d’une communauté d’appartenance.

    De nos jours en effet, la langue française est aux abois. Elle est attaquée simultanément par trois menaces dont les effets délétères se cumulent et dilapident notre patrimoine linguistique.

    L’usage intempestif du " franglais"

    L’émergence corrosive d’un dialecte des banlieues

    L’inflation de mots creux et d’expressions passe-partout

    L’usage intempestif du "franglais"

    Il est démontré par l’Académie française en 2021. Pour illustrer ce constat, un exemple concret a été choisi : il s’agit de la création de la nouvelle carte d’identité nationale (CNI). Cette récente version bilingue (traduite in extenso en anglais), entre en contradiction avec la Constitution, la loi Toubon de 1994 qui stipule que toute inscription ou annonce destinée à l’information du public doit être formulée en langue française, et surtout la vérité.

    En effet, cette carte n’est pas un passeport de voyage. Si l’on entre aux USA, on a besoin d’un passeport, pas de la CNI. En outre, avec la sortie du Royaume Uni de l’Union européenne, il n’y a pas de raison de privilégier l’anglais.

    Que le gouvernement établisse une carte bilingue en choisissant l’anglais, c’est le signe d’un aveu terrifiant : au fond, le français ne compte plus. D’ailleurs, le gouvernement lui-même explique, toute honte bue, qu’il est préférable que ce document soit en anglais car le français ne serait plus compris !

    C’est la démonstration d’une démission coupable qui rejoint dans sa tragique ampleur le déni de notre Histoire et la politique de repentance affichés par nos gouvernants.

    Cette démission tend à reléguer notre langue nationale au statut d’un parler local, d’un dialecte tribal.

    Cependant, le monde francophone s’insurge de cette situation et sonne l’alarme. Cette indignation grandissante souligne l’aberration que constitue cette abdication institutionnelle. Nous assistons à l’invasion générale du vocabulaire scientifique, de la culture, de la communication, de l’information par des anglicismes.

    L’anglicisation s’est généralisée et s’est accélérée durant les cinq dernières années. Il y a désormais une lame de fond qui est en train de subvertir le français. La diffusion des anglicismes s’est encore amplifiée avec la crise sanitaire Covid ( par exemple l’emploi répété, à l’envi, de "cluster "  au lieu de " foyer ").

    Néanmoins, cette propagation des anglicismes se heurte à l’exaspération croissante des Français.

    Ces derniers ne veulent pas du franglais, ils croient en la valeur de leur langue. Les stratégies de communication ne portent pas.

    Les gens ne comprennent pas les messages qu’on leur impose ni pourquoi ce sabir se substitue au français.

    Cela montre une fracture entre une frange privilégiée des élites représentant le haut du panier national sensé être inventif et productif et le reste de la société , invité à penser que l’ascenseur social passe par l’adoption d’un jargon débilitant qui confine désormais aux tics de langage.

    Il s’ensuit pour la population française le risque d’un double clivage linguistique: SOCIAL d’une part, le fossé se creusant entre les publics suivant qu’ils sont imprégnés ou non des nouveaux codes de langage. Le ton badin, parfois futile devenu la règle en matière de communication institutionnelle , prête le flanc à un rejet fréquent , né d’une perplexité et souvent d’une incompréhension des destinataires pouvant aller jusqu’à un sentiment d’exclusion: "être  people-minded  est notre raison d’être" et GéNéRATIONNEL d’autre part, les plus jeunes étant particulièrement réceptifs aux usages numériques et mieux à même de les assimiler, mais d’autant plus exposés au risque d’être cantonnés à un vocabulaire approximatif et n’avoir qu’une très faible maîtrise de la langue.

    En utilisant largement un vocabulaire anglais (cf annexes) incompris d’une grande partie du public, les services en ligne contribuent à alimenter la défiance qu’on a vu se développer ces dernières années vis à vis des différentes autorités, qu’elles relèvent des pouvoirs exécutif, législatif, judiciaire, mais également de l’administration , du monde politique , de la sphère économique et dans le domaine de la santé.

    – L’émergence corrosive d’un dialecte des banlieues

    A l’oreille, on comprend bien qu’il s’agit désormais d’un parlé " dur ", hostile, forgé dans l’exclusion ou le repli communautaire.

    Avec l’émergence de réseaux terroristes au cœur même de notre Nation, un phénomène de division, de dilution affecte notre population.

    Il s’agit du repli d’une partie des "citoyens" vers un quant- à- soi géographique, socio-économique et religieux intégriste.

    Cette fragmentation va bien au-delà de ce qu’il est convenu d’appeler les différences ou la diversité. Cet émiettement tribal passe par un langage spécifique dont on mesure l’importance et la portée dès que des troubles éclatent dans les banlieues et quartiers de nos villes.

    Cette fracture linguistique véhiculée par un langage de combat n’a plus rien de comparable avec ce qui existait il y a encore quelques années à l’époque des fantaisies du verlan, de l’accent beur ou des mille facettes de l’argot des cités sublimé par la plume gouleyante d’un Frédéric Dard, d’un Alphonse Boudard ou encore d’un Michel Audiard.

    La fracture constatée dépasse le problème de l’école ou celui des cités. Rien n’est plus dangereux que cette lente dislocation à l’œuvre dans les tréfonds démocratiques, dont l’apparition d’un idiome appauvri et verrouillé, d’un patois dissident au sein de la ville, est le symptôme le plus corrosif.

    Quand les mots eux-mêmes se décomposent, quand la parole elle-même se délite, c’est que rôde en effet un péril majeur.

    Parmi les produits empoisonnés de cette dissidence, il faut désigner désormais le djihadisme.

    L’inflation de mots creux et d’expressions passe-partout

    On disait il y a quelques années encore: " il parle comme un livre"

    La formule s’est inversée et aujourd’hui, on dira plutôt " il écrit comme il parle". Comme notre façon actuelle de nous exprimer, celle de la publicité, des médias, du monde politique est atteinte profondément par une contamination de mots sans signification, d’expressions vides de sens, notre langage est devenu singulièrement indigent.

    Dès lors, il se satisfait de formules imprécises employées à tout bout de champ et souvent délibérément puisées dans le vocabulaire économique.

    Prenons quelques exemples :

    Le verbe "impacter " dérivé à tort du mot "impact" est utilisé très souvent pour relater des évènements de nature différente plus ou moins importants :

    "La consommation est impactée par la hausse des prix

    La pollution impacte la planète

    La guerre en Ukraine va impacter l’élection présidentielle "

    Alors que notre langue propose dans ces exemples là: freiner, ralentir, influencer, influer, agir, peser, menacer, mettre en péril… qui apportent des nuances et des précisions qui enrichissent la compréhension des idées émises.

    Demain, nous sourirons qu’on ait pu discourir avec sérieux:

    De notre "capital" santé, de notre "capital" beauté, de notre "investissement" conjugal, des "dividendes" affectifs .

    Ou encore du concept de "déficit" mis à toutes les sauces du verbiage cher aux journalistes :

    " Déficit" démocratique, "déficit" social, "déficit" visuel, "déficit" de popularité, "déficit" d’image.

    Demain, nous sourirons ou peut- être nous pleurerons que les Chefs d’Etat, qui se sont succédé depuis trente ans, aient pu dire, redire, se contredire, proclamer :

    " e crois à l’inversion de la courbe de chômage"

    " la priorité des priorités est (selon l’humeur ou la pression des évènements): la sécurité, le chômage, l’hôpital, les retraites, la taille des allumettes, le pouvoir d’achat, le prix du timbre-poste , l’école, l’industrie, l’agriculture …… "

    "Nous sommes à la croisée des chemins ", phrase qui peut être suivie ou précédée de "le bout du tunnel est en vue".

    " Cette réforme d’ampleur sera la crème de toutes les batailles":

    La sécurité sociale, le conditionnement des couche-culottes, la mise en place des 35 heures, la remise en cause des 35 heures, la prochaine loi de programmation militaire sanctuarisée…

    Ces expressions passe-partout composées de mots forts en apparence sont les symboles d’une langue désincarnée, d’un langage convenu et rigide destiné à dénaturer la vérité.

    Elles ont perdu par, l’usage d’une absurde répétition contredite par les faits, leur substance au fil du temps et sont devenues les vecteurs futiles de messages désormais inaudibles.

    En 1967, Maurice Genevoix, qui depuis de nombreuses années, défend sur tous les fronts la langue française, conscient de la menace que représente la déliquescence de tout langage écrivait :

    " Le langage n’est pas neutre. Né d’une culture, expression d’une culture, si par malheur il dégénère, il agit sur les structures mentales qu’il affaiblit sournoisement. Si ce processus devait encore s’aggraver, la langue ne dirait plus, elle cacherait, elle déroberait.

    Les mots devenus tabous, feraient peur. Ils cesseraient alors de signifier, ils voileraient, ils trahiraient.

    Ils deviendraient des moyens d’intimidation, des instruments d’un terrorisme au service d’intentions moins innocentes, peut-être qu’il n’y paraît ".

    Face à cette évolution préoccupante de notre langue,

    L’Académie française peut ainsi conclure :

    "La communication actuelle est caractérisée par une dégradation qu’il est essentiel de ne pas considérer comme une fatalité.

    Il est de la responsabilité mais aussi de l’intérêt de ceux qui disposent des canaux d’information et de diffusion de veiller à redonner à la communication institutionnelle la qualité et l’efficacité que l’ensemble des publics est en droit d’attendre.

    Il s’agit avant tout d’une question de volonté générale étayée par la prise de conscience de la Gravité et de l’Urgence de la Situation ".

    Daniel Péré

    10 avril 2022

    Sources : Rapport Académie Française 2021

    Le Figaro (Mme Carrère d’Encausse) janvier 2022

    Ouest-France Articles des 30 septembre 2011, 27 septembre 2021,

    17 février 2022, 19 mars 2022

    Sud-ouest Article 10 avril 2016

    Biographie M.Genevoix de A.Luneau et J. Tassin 2019

    Prochainement un article qui prouve que la pauvreté du langage nous a fait descendre au niveau du QI.

  • La vérité!

    Pont Neuf: les 2 morts sont de la "diversité", le policier est Réunionnais

    L’interview d’un responsable syndical Alliance-Police nationale réalisée jeudi soir dernier sur BFMTV révèle, d’une part que les deux hommes – tués par un policier – qui, à bord de leur véhicule, ont foncé sur la patrouille dans une intention clairement meurtrière, faisaient partie de la "diversité", et d’autre part que le policier qui a fait feu sur le véhicule pour empêcher le carnage est Réunionnais.

    ***

    Dimanche 24 avril dernier vers 23h45, cinq policiers du "Groupe d’appui de la sécurisation de la Cité", une unité mobile d’intervention et de protection créé après la tuerie survenue à la préfecture de police de Paris en octobre 2019, sont intrigués par une Polo qui fait une marche arrière sur le quai des Orfèvres, à côté du Pont-Neuf. Le véhicule s’arrête sur un passage clouté. Un piéton se présente alors à sa hauteur, discute avec les deux hommes et monte à l’arrière.

    Les policiers, qui sont à pied, décident de procéder à un contrôle. Deux d’entre eux – l’un est équipé d’un fusil d’assaut HK G36 – se placent à quelques mètres à l’avant du véhicule ; deux autres se placent à l’arrière. Une fois ce dispositif habituel mis en place, le chef de la patrouille, une jeune femme, se dirige vers la portière du conducteur.

    Au moment où elle ouvre la portière, l’homme appuie à fond sur l’accélérateur afin de prendre la fuite, traînant la jeune policière sur plusieurs mètres. Les deux policiers stationnés devant le véhicule n’ont eu quant à eux la vie sauve que parce que celui qui était en possession du HK G36 – un jeune policier de 24 ans, 18 mois de police, donc encore stagiaire, jugé exemplaire par sa hiérarchie – a immédiatement fait feu sur le conducteur.

    ***

    Dès le lendemain, le Parquet de Paris le mettait en examen pour " violences volontaires par personne dépositaire de l’autorité publique ayant entraîné la mort sans intention de la donner "et" violences volontaires avec arme par personne dépositaire de l’autorité publique".

     

    Mercredi 27 avril, des magistrats, allant au-delà de la réquisition du Parquet, décidaient de ne pas retenir la légitime défense et tranchaient pour une mise en examen du jeune policier sur la base de l’" homicide volontaire", une qualification passible de 30 ans de réclusion criminelle.

    Pour Me Liénard, avocat du policier, "un policier qui fait usage de son arme administrative pour arrêter un délinquant, ne veut pas le tuer : il veut arrêter une action dangereuse. L’intention homicide n’est pas dans l’état d’esprit du policier quand il ouvre le feu".

    De manière surprenante, l’avocat ne plaide pas lui non plus la légitime défense, ajoutant : " la qualification retenue dans cette affaire devrait être "violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner". Une qualification criminelle quand même passible de quinze ans de réclusion…

    ***

    Au micro de BFMTV, ce jeudi, Yann Maras, responsable départemental adjoint du syndicat Alliance – Police nationale, laisse éclater sa colère et son incompréhension :

    "Ce policier est exemplaire : on doit être fiers d’avoir des policiers comme ça dans nos rangs. Et là, le message qui est envoyé par la justice, c’est que ce serait un meurtrier ! Ce collègue-là, je l’ai rencontré à la sortie du bureau des magistrats (…) Pour nous tous, ça ne fait pas de doute : la légitime défense, elle est là : quand vous avez un véhicule qui fonce sur vous à quelques mètres de vous, le texte de la légitime défense vous autorise à ouvrir le feu (…) Une voiture qui redémarre à vive allure, sept ou huit mètres, c’est quelques secondes, et l’action de feu, c’est [aussi] quelques secondes "

    Le journaleux, putassier à souhait: "Ils [les policiers] n’auraient pas pu se jeter sur le côté ? Parce qu’il y a deux morts, quand même! Tués au volant de la voiture!"

    Yann Maras: "Il y a un drame derrière tout ça. Maintenant, les morts, il aurait pu être de l’autre côté si mon collègue n’avait pas fait feu. Aujourd’hui, il a sauvé sa vie et celle de ses collègues [NdA: rappelons que la jeune policière aurait pu être traînée sur plusieurs centaines de mètres, comme l’a été cette jeune femme en juillet 2020 dans le 5ème arrondissement de Paris]. Ils auraient été clairement écrasés par le véhicule (…) "

    Le journaliste: "Pourquoi le magistrat n’a pas retenu l’hypothèse que vous nous expliquez [mais] celle de l’homicide volontaire?"

    Yann Maras: " C’est une très bonne question. Il va falloir poser la question à la magistrature. Parce que nous, on ne la comprend pas, cette décision-là!"

    Le journaliste: "Peut-être que la magistrature a des éléments que vous n’avez pas. Pourquoi ne pas faire confiance à la justice? Quand l’enquête sera achevée, ça peut se terminer par un non-lieu… "

    Yann Maras: "Mais dans ce cas-là, pourquoi prendre cette qualification et aller au-delà des réquisitions du Parquet, la qualification [pour homicide involontaire] était largement… [NdA: le représentant syndical est interrompu par le journaliste]"

    Le journaliste: "Ça ne veut pas dire condamnation, cette qualification [NdA:" homicide volontaire"]

    Yann Maras: Non bien sûr, elle peut varier à la hausse comme à la baisse. Mais pourquoi avoir pris la qualification la plus haute? "

    ***

    Et le délégué d’Alliance-Police nationale de préciser:

    "Nous, aujourd’hui, on espère juste une chose dans tout ça, c’est qu’on n’essaie pas d’acheter une certaine paix sociale avec une décision comme celle-ci "

    Le journaliste: " C’est pour calmer les choses que… ? "

    Yann Maras: " e ne l’espère pas, je vous le dis encore une fois. Mon collègue, tout l’équipage et même sa hiérarchie qui sont intervenus ce soir-là, tout le monde pense qu’il a juste " fait le job" comme on dit "

    ***

    Le journaliste: "Dans votre tract, vous dites que votre collègue est victime du système judiciaire"

    Yann Maras: " Bien sûr ! Regardez: aujourd’hui, on est en train de discuter sur un plateau-télé… [NdA: Yann Maras est de nouveau interrompu par le journaliste]"

    Le journaliste, toujours putassier à souhait: "Parce que les victimes, ce sont les deux morts qui étaient au volant! "

    Yann Maras: "Aujourd’hui, j’ai un collègue qui est poursuivi…. [NdA: Yann Maras est encore une fois interrompu par le journaliste] "

    Le journaliste : "Il est en liberté, il est toujours policier… "

    Yann Maras: " Il est toujours policier sous contrôle judiciaire très très contraignant : il n’a pas le droit de résider à Paris, il n’a pas le droit de porter une arme, il n’a pas le droit d’être en contact avec le public. C’est un jeune fonctionnaire, qui vient de l’Île de la Réunion, qui est tout seul, qui n’a pas le droit de prendre contact avec son service, il n’a même pas le droit de rentrer dans Paris! Il est seul face à tout ça. Je pense que ce dont on ne se rend pas bien compte, c’est que le choc psychologique que, lui, a eu. Il n’a pas décidé de faire feu pour tuer. Il a fait feu pour stopper le véhicule. Aujourd’hui, les fonctionnaires qui l’accompagnent, toute sa hiérarchie, tout le monde lui a dit : " Tu as fait ton travail, mon garçon ! Tu as fait ton travail : tu as sauvé la vie de tes collègues, et la tienne ! "

    ***

    Il y a un mois, ce jeune policier s’est illustré par un acte héroïque : il n’a pas hésité à se jeter dans les eaux glaciales de la Seine pour aller sauver une femme qui tentait de se suicider. Alors qu’elle était au milieu du fleuve, il est allé la chercher et l’a ramenée au bord, il lui a donc sauvé la vie. C’est cet homme qui est aujourd’hui traîné dans la boue par un quarteron de magistrats kollabos. La France est décidément bien malade de sa magistrature de gauche.

    ***

    Henri Dubost

  • Le gauchisme? Une imposture, une sinistre farce!

    Hier ces grandes consciences politiques, ces "mutins de Panurge", nous chantaient "combattons" quand nous n’avions en France aucun dictateur à combattre et aujourd’hui c’est "courage, fuyons Le gauchisme? Une imposture, une sinistre farce!
    Hier ces grandes consciences politiques, ces " mutins de Panurge ", nous chantaient "combattons" quand nous n’avions en France aucun dictateur à combattre et aujourd’hui c’est "courage, fuyons" quand le pouvoir en place est chaque jour plus menaçant. Ah, ils ont fière allure nos "rebellocrates"!

    Dans les "m’as-tu-vu" ridicules, obsédés par leur apparence, leur image commerciale, il y a un bel exemple:

    Bernard Lavilliers qui, se trouvant par hasard assis dans un avion à coté de Salvatore Adamo et passant en sa compagnie un excellent voyage, lui demande à l’arrivée de ne pas sortir à ses cotés, obnubilé par son image de baroudeur d’opérette. Il ne participe pas aux Enfoirés car il "n’aime pas l’assistanat". Lui, en cas de besoin, "prendra un flingue et braquera une banque"! Oui, vous avez bien lu, il se croit sur un plateau de cinéma! C’est ce que devrait faire Bernadette 86 ans et ses six-cents euros de retraite, au lieu de fouiller dans les poubelles de supermarchés pour pouvoir manger! Ce qui n’empêche pas Nanard-le-guignol de déclarer en 2021: "Les politiciens sont hors sol".
    Se soucier de la misère à l’autre bout du monde est une noble cause et ne prend que le temps d’écrire une chanson rémunératrice, mais le désespoir de Lucienne et de Raymond, prisonniers de banlieues pourries et dangereuses, n’a aucune importance.

    Bien entendu tout cela n’est que du vent, du bidon, du toc, de la façade. Cet artiste engagé (dans quoi ?) est celui qui s’exprime toujours sur les plateaux de télévisions en penchant la tête du coté de son gros anneau. Les apparences, toujours les apparences. Des soignants, des pompiers, des milliers de salariés courageux sont jetés à la rue par un covidiste en chef hystérique. Des gens acclamés et applaudis hier sont bannis aujourd’hui. Rien à dénoncer à ce propos Bernard? Non, trop risqué, pas rentable! Et tes gros muscles alors, c’est pour la scène, la galerie? Le président est "agaçant", mais "personne ne s’en rend compte" dit-il. Seules les manières de Macron le dérangent, mais pas l’immense souffrance d’une partie des Français qu’il provoque. Mais qui est hors-sol Nanard? La France et son peuple, ce n’est pas ton niveau, car toi tu entends "le cœur du monde battre de plus en plus fort". Au passage je te signale que cette phrase ne veut rien dire, mais elle épatera ton public car le vide est votre "matière". C’est ça, la gauche!

    Renaud, fils d’enseignants, prolo pour l’image commerciale, les pochettes de disques et l’alimentation du compte en banque, bobo dans le privé, s’est imaginé en Gainsbourg, le ridicule ne tuant – c’est bien dommage – personne. Gainsbourg-Gainsbarre est devenu Renaud-Renard, toute honte bue. Vit-il en HLM blême? J’en doute. Se déplace-t-il sur une mobylette? J’ai du mal à y croire. Le "Putain de camion" de Nice ne t’a rien inspiré Renaud? Simplement la recette de ta prestation niçoise reversée aux victimes, mais aucune prise de position politique sur ce sujet de fond qui demande un courage que tu n’as jamais eu et que tu n’auras jamais.

    "Miss Maggie" n’est plus là, c’est dommage car elle se trouvait de l’autre coté de la Manche, aucun risque donc. Le matamore en cuir sur-mesure préfère maintenant l’éborgneur du petit peuple en gilets jaunes, l’arracheur de mains prolétariennes pour qui il a appelé à voter en 2017. Aucune chanson à écrire sur le sujet, Renaud, et sur celui qui permet cette violence inouie? Tu aurais pu écrire "Mister Manu" si tu "en avais". Non, rien de rien, non cela ne rapporte rien! Oui, c’est vrai, une chansonnette médiocre, le minimum syndical quoi, mise en scène dans une vidéo ridicule et s’en prenant au "connard de virus" mais pas à celui pour qui il a voté et qui l’a exploité politiquement. Au passage, un coup de griffe à Trump, destiné à rassurer ceux qui pourraient le soupçonner de vouloir abandonner le bord politique de collabos auquel il a toujours appartenu. Petite promotion de la laideur, aussi, en exhibant une partie de son vieux corps bedonnant recouvert de tatouages. Tu es répugnant Renaud, comme les musiciens qui t’accompagnent et, je te rassure, toujours de gauche. En France "les cons sont légion", tu as raison, Renaud, comme toi ils votent Macron. Tu étais un jeune rebelle de plateaux de télévision et d’émissions de variété, tu es devenu un vieux larbin du système.

    Alain Souchon, le gentil garçon, annonce par un coup de gueule qu’il quitte Paris, capitale devenue invivable, sans s’étendre sur le sujet. Dire que la gauche, en l’occurrence la Dingo, détruit tout ce dont elle a la charge est au dessus de ses forces et surtout en contradiction avec son idéologie bornée, mondialiste et multiculturelle. Peu importe, il en a largement les moyens. Le peuple de France a du, il y a déjà vingt ans, fuir les banlieues avec les moyens du bord mais il s’en est d’autant moins aperçu qu’il n’en avait rien à faire. Mais où est donc cette "Foule sentimentale" si fructueuse, Alain? Elle ne l’est plus, sentimentale, à moins qu’elle ne soit plus…rentable?

    Francis Cabrel, combien t’a rapporté "Saïd et Mohamed"? Combien t’ont rapporté toutes tes dénonciations musicales? Tu ne veux pas nous le dire? Et combien te rapporterait une chanson dont je t’offre le titre: "Christiane et Jean-Paul" salariés smicards vivant chacun de leur coté dans leur voiture déglinguée été comme hiver? Tu aurais pu écrire aussi "Mauranne et Laura" égorgées et éventrées à Marseille mais cela demande du courage et ne rapporterait rien, tu le sais, sinon un bannissement de ce showbiz puant d’égoïsme, de conformisme, et surtout de lâcheté. Tu as raison, tu lui ressemble.

    Maxime Le Forestier est "Né quelque part" en France, pays devenu dangereux et dictatorial. Albert aussi est "né quelque part" à Bondy dont il a été chassé car "mangeur de porc ". Monique "née quelque part" à Trappes a réussi à échapper à une attaque au couteau, mais c’est banal. Tiens Maxime, toi, l’admirateur de Brassens, tu as chanté avec talent, comme d’habitude, et avec ta guitare magnifiquement jouée, comme il se doit, " Tant qu’il y aura des Pyrénées ". Qu’as-tu à dire de la macronie, de sa violence, qu’as-tu a dire de l’état de la France et de la terrible souffrance de son peuple, rien? Serais-tu, maintenant toi aussi un artiste "dégagé"? Le maître Brassens -que je mets personnellement au dessus de tous- semble avoir écrit cette chanson pour toi. N’aurais-tu pas cette vague impression? J’ai le sentiment qu’il a écrit aussi pour d’autres, suivez mon regard: "Je, tu, il, elle, nous, vous, ils, tout le monde le suit docile, il y a peu de chances qu’on détrône le roi des cons". Et ça ne rime ni avec Pompidou ni avec De Gaulle!

    Voilà pour les lopettes d’hier, il y en a beaucoup d’autres.
    Les chanteurs d’aujourd’hui sont dignes de leurs devanciers, ils sont de la même " trempe ", du même tonneau, artificiels, superficiels, lâches et moutonniers. Ils n’ont plus rien à dénoncer, à combattre, juste une chose à défendre: leurs situations privilégiées. La dictature est là alors, on baisse la tête et on collabore. Oubliés les mains arrachées, les yeux crevés, les salariés jetés à la rue, les humiliations, les insultes, les restrictions de libertés, l’obligation déguisée de s’injecter une saloperie dans le corps, malgré le code de Nuremberg. Une collaboration active, honteuse, dégueulasse, puisqu’ils sont allés jusqu’à appeler à voter Macron.

    Thomas Dutronc, fils de son père et aussi fils de sa mère, astrologue pour les benêts, a appelé à voter pour celui qu’il devrait haïr, s’il avait la moindre conscience. "L’opportuniste" était-elle aussi une chanson prémonitoire, fiston à son papa? Se ranger dans le camp de celui qui cogne n’est pas très glorieux, n’est-ce pas! Ton père a chanté "Merde in France". A l’évidence ces effluves probablement agréables pour toi ont guidé ta prise de position.

    Lulu Gainsbourg qui n’est pas digne d’être le fils de son père, soutient celui qui considère les chômeurs comme des fainéants refusant de traverser la rue pour trouver un emploi, lui, né avec une cuillère d’argent dans la bouche. "Ceux qui ne sont rien", "les sous-citoyens", les non vaccinés "qu’on emmerde", il n’en a rien à cirer, le rejeton. Le monde des salariés, des ouvriers, ce n’est pas son monde.

    Matthieu Chedid, autre lavette et miauleur professionnel, fils de… oui, d’accord. Sais-tu qu’il n’y a pas de culture française, Matthieu, comme l’affirme ton président chéri, Moumoute 1er, qui ne sera jamais le mien? S’il n’y a pas de culture française, c’est quoi ton monde, le néant? Quoique … quand on écoute sur Youtube ton hommage à Christophe avec "Les mots bleus", nous n’en sommes pas loin … du néant!

    Davy Sardou -que des grands noms- et ses collègues sont, entre autres, les hommes d’aujourd’hui qui ont appelé à faire barrage à Marine Le Pen. Des hommes d’aujourd’hui qui ont eu peur de maman-chats! La France est foutue. "Ne m’appelez plus jamais France" mais Frankistan. Sois rassuré, Davy, c’est pour demain. Un futur proche dans lequel la peau de tous ceux de ton monde arrogant, suffisant, subventionné et couard ne vaudra plus grand chose et ce ne sera que justice. A moins que vous ne vous aplatissiez, que vous ne courbiez l’échine, que vous ne vous soumettiez bref, que seule votre incommensurable lâcheté guide, une fois de plus, votre conduite.

    La quasi-totalité de la classe politique est à vomir. Les medias d’état, radios et télévisions, gavés d’argent public, ne sont aujourd’hui composés que de caniches aboyant tous la même propagande. Quant aux artistes, mis à part une minuscule minorité (Brigitte Bardot, Nicoletta, Annie Duperey, Véronique Genest, Laurent Voulzy, Jean-Jacques Goldmann, Michel Polnareff, Francis Lalanne, et quelques autres), nous savons maintenant ce qu’ils valent.
    "Les Enfoirés" étaient sans aucun doute une noble cause, malheureusement constituée en quasi-totalité d’enfoirés vénaux, voyant en elle un magnifique support publicitaire.

    Cela fait vingt ans que je ne regarde plus la télévision; je n’irai plus jamais au concert ni au cinéma. Le monde artistique me dégoûte, me répugne et ne mérite qu’un définitif mépris.
    Une partie du peuple de France, abrutie par les médias, manipulée par tous ces politicards pourris jusqu’à la moelle et bouffant tous au même râtelier, hypnotisée par cette méprisable clique de saltimbanques parasites -pléonasme- a voté pour sa disparition. Cette clique n’a aucun scrupule à travestir son égoïsme, son égocentrisme démesuré, en humanisme. L’autre partie de ce peuple, encore lucide, sera livrée à elle-même pour, probablement, le pire.
    Le constat est sans appel: les veaux sont largement majoritaires. Moumoute 1er est ré-élu.

    Bon quinquennat à tous!

    Jim Jeffender

  • La France d'en-bas

    J’ai décidé de reprendre la plume, parce que la haine que les médias français déversent sur les honnêtes gens qui votent pour Zemmour et pour Marine Le Pen me choque profondément.

     

    Montluçon: Deux musulmanes voilées rêvent à voix haute de la disparition des Blancs

    Scandale: À Montluçon, les clandestins mangent gratuitement au Flunch!

     

    J’habite, avec mon mari et mes enfants, dans un petit village des Combrailles, une région charmante située au sud de Montluçon, ma ville natale.

    Ne disposant que de peu de temps, – car je ne suis pas au chômage et ne touche pas d’aides sociales, moi, – je vous propose des témoignages sur les gens que je connais personnellement, qui vont voter pour Marine Le Pen au second tour de l’élection présidentielle, le 24 avril: des témoignages venus de la France d’en bas, que l’anti-français haineux Macron déteste tellement.

    JACQUES, MAÇON

    Jacques, un artisan maçon de notre village, a dû liquider son entreprise unipersonnelle et s’est retrouvé au chômage. Il vit maintenant dans un village voisin, dont le maire est communiste. En 2015, quand la chancelière allemande, Angela Merkel a autorisé l’entrée de 1,5 millions de clandestins musulmans en Allemagne (quelle folie!), cet élu a déclaré qu’il voulait accueillir une vingtaine de ces clandestins dans son petit village (600 habitants). Résultat, une vingtaine de ces individus, entrés illégalement en France, vivent maintenant dans le même lot de logements sociaux que Jacques: ils viennent d’Afrique noire, ils ne parlent pas français, ils commettent des larcins, et ils sont récompensés de leurs crimes en étant logés et nourris gratuitement – pendant que Jacques, lui, habitant dans les mêmes logements, doit payer son loyer et sa nourriture avec son argent, alors qu’il est Français, lui, et alors qu’il a travaillé (donc payé ses impôts et autres prélèvements obligatoires) pendant plus de 20 ans. Eh bien, Jacques vote pour Marine Le Pen, ce qui n’est pas étonnant: comment pourrait-il accepter cette injustice choquante, qui consiste à loger, nourrir, chauffer, blanchir, etc., gratuitement des envahisseurs venus du Tiers Monde, en abandonnant les Français qui ont travaillé pendant des dizaines d’années?

    NICOLAS ET MARIE, ÉLEVEURS

    Un de nos voisins, Nicolas, un éleveur qui possède 120 hectares sur lesquels paissent 350 vaches laitières, a 58 ans. Il travaille depuis ses 18 ans. Quand il sera à la retraite, il touchera le minimum garanti dans la branche agricole, qui est d’à peine 900 euros mensuels. Pendant ce temps, il voit les immigrés légaux et illégaux, qui n’ont jamais travaillé en France, être dorlotés par Macron et sa clique. A tel point qu’en 2017, sur ordre de Macron, l’État a acheté 62 hôtels "Formule 1" (par l’intermédiaire de la Caisse des Dépôts et Consignations), pour y loger des clandestins et autres demandeurs d’asile, aux frais de l’État, donc aux frais des Français.

    Quand je lui ai parlé de ce scandale, Nicolas a protesté avec véhémence, car il paye ses impôts et taxes depuis ses 18 ans et il n’est pas logé gratuitement, lui. Sa mère, Marie, une charmante vieille dame que je connais bien, qui a 85 ans et qui dirigeait une petite exploitation de 30 hectares avant de prendre sa retraite, ne chauffe que la pièce principale de sa petite maison en hiver, car elle n’a pas les moyens de chauffer le reste, alors que Macron chauffe gratuitement des centaines de milliers d’immigrés venus de pays africains. Sans surprise, Nicolas et sa mère ont voté Zemmour au premier tour et ils vont voter Marine Le Pen au second. Pourquoi? Parce que ce sont les seuls candidats qui s’opposent à l’immigration destructrice et aux injustices scandaleuses commises par Macron contre les Français.

    MONIQUE ET CHRISTOPHE, RESTAURATEURS

    Il y a quelques années, mon mari et moi avons sympathisé avec un couple (Monique et Christophe) qui a repris un restaurant de qualité, dans la Creuse voisine. Ils nous ont raconté que leur fille, Caroline, est allée à Châteauroux pour ses études.

    Eh bien, en 2019, la mairie de cette ville a accueilli plusieurs dizaines de clandestins d’Afrique, et les a logés gratuitement. Pendant l’hiver 2019-2020, elle leur a octroyé gratuitement plusieurs stères de bois pour leur chauffage, au grand dam de Caroline qui, parce qu’elle est Française et non immigrée du Tiers Monde, doit faire des petits boulots pour payer sa minuscule chambre d’étudiante et son chauffage. Résultat, Caroline et ses parents vont voter pour Marine Le Pen, car ils veulent que l’État cesse de favoriser les immigrés, légaux et illégaux, au détriment des Français.

    NATHALIE ET JEAN-FRANÇOIS, MARAICHERS

    Nathalie, la femme de Jean-François, un couple de maraîchers amis, qui ont une petite exploitation agricole de 22 hectares, m’a raconté récemment comment elle a été rayée des statistiques du chômage: " Il y a un an, j’ai reçu un courriel de Pôle Emploi, me disant que, comme je n’avais pas répondu à leur précédent courriel, ils me supprimaient… or, je l’ai vérifié, je n’avais reçu aucun courriel de leur part… ".

    Des cas de ce genre, il y en a des milliers et des milliers, chaque mois. Depuis que Macron a été nommé ministre de l’Économie et des finances (en 2014), Pôle Emploi a reçu l’ordre de rayer en masse les chômeurs et de créer des centaines de milliers de stages, financés par l’État, pour faire passer les chômeurs de la catégorie A (la seule dont les médias parlent) à la catégorie D (qui a explosé depuis 2014), afin de faire baisser les chiffres officiels du chômage publiés par l’Insee.

    Résultat, Macron a le culot de prétendre que le chômage baisse, alors qu’il y a en ce moment 6 millions de chômeurs inscrits à Pôle Emploi, si l’on compte toutes les catégories de chômeurs (A, B, C, D et E), soit un million de plus qu’à son arrivée, en 2014! Cette falsification à grande échelle des statistiques officielles rappelle celle que pratiquait l’Union Soviétique, avec ses plans quinquennaux, dont les résultats étaient fabriqués selon les volontés du pouvoir. Écœurés par le comportement de Macron et de sa clique, qui mettent les Français au chômage et ensuite falsifient les statistiques pour les effacer, Nathalie et Jean-François ont voté Zemmour au premier tour et vont voter Marine Le Pen au second.

    STEPHANE, MENUISIER

    Récemment, le frère de Nathalie, Stéphane, qui est menuisier, a eu une pleurésie, qui l’a envoyé à l’hôpital pour une dizaine de jours. En sortant, il a dû payer plusieurs milliers d’euros, car il n’avait pas de mutuelle (la Sécurité Sociale prend en charge 80% des frais d’hospitalisation, alors qu’une journée coûte 1300 à 1700 euros). Quand il a protesté en voyant la note, la secrétaire médicale de l’hôpital lui a répondu:

    "C’est vrai que ça fait beaucoup, si vous aviez été étranger, vous n’auriez rien payé".

    En effet, les immigrés sont soignés gratuitement grâce à l’AME (Aide Médicale d’État), une aide qui est destinée exclusivement aux clandestins (donc à des gens qui violent la loi). Stéphane étant un Français, qui travaille depuis plus de 20 ans, et non un envahisseur venu du Tiers Monde, il a dû payer cette facture élevée, bien qu’il ait cotisé toute sa vie à la Sécurité Sociale – alors que les clandestins ne paient rien, bien qu’ils ne soient pas français et n’aient jamais cotisé. Faut-il s’étonner, si Stéphane s’apprête à voter pour Marine Le Pen?

    Voter pour Macron, c’est être un ennemi de la France!

    Bien que je sois de nature pacifique, j’avoue que j’en ai par-dessus la tête des donneurs de leçons des grandes villes, qui crachent sur les Français travailleurs, sérieux, honnêtes, décents, modestes, qui votent pour Zemmour et pour Marine Le Pen, – ces Français durs à la tâche, qui travaillent depuis des dizaines d’années, qui payent leurs impôts, qui ne commettent pas de crime, qui ne brûlent pas de voiture, qui ne saccagent pas de commerces, qui n’attaquent pas la police, qui n’agressent personne – qui veulent juste pouvoir vivre du fruit de leur travail et ne pas voir leur argent leur être volé par l’État, pour être donné à des immigrés dont la France, par définition, n’est pas le pays.

    Cette attitude des gens des grandes villes, qui votent pour Macron et plus largement pour la gauche, j’appelle cela du racisme: car ces gens prennent systématiquement parti en faveur des immigrés (surtout ceux dont la peau n’est pas blanche) contre les Français (surtout ceux dont la peau est blanche).

    Disons-le clairement: Macron et sa clique mènent une politique raciste contre les Français de souche, c’est-à-dire contre les citoyens français qui ont le malheur d’avoir la peau blanche. Notre pays nous est volé sous nos yeux, et les envahisseurs arabes et noirs sont engraissés avec l’argent que l’État nous vole à nous, Français! Comment ne pas être révolté par cette injustice? Pour la première fois de l’histoire, les dirigeants d’un pays prennent ouvertement parti contre leur propre peuple, et favorisent délibérément les étrangers au détriment des citoyens de leur pays!

    A cause de ce Macron, la France est maintenant endettée à hauteur de 113% de son PIB (une véritable catastrophe), la balance commerciale a enregistré un déficit record de 80 milliards en 2021 (contre un bénéfice de 250 milliards pour l’Allemagne), mais cela n’empêche pas ce scélérat de débloquer chaque semaine des millions d’euros pour nourrir, loger, soigner, chouchouter tous les clandestins entrés illégalement dans notre pays, à nos frais, ainsi que toutes les familles de racailles musulmanes qui infestent les banlieues de nos villes, devenues des zones étrangères où règne la charia!

    Voter pour Macron, c’est donc voter pour la préférence étrangère, pour l’immigration de masse (2 millions d’immigrés de plus pendant son quinquennat!) et pour l’islamisation, bref pour la destruction de la France!

    Voilà pourquoi les gens qui votent pour Macron sont des ennemis de la France!

    Et voilà pourquoi la France d’en bas va voter pour Marine Le Pen!

    Geneviève Clovis

    Source: