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société - Page 2

  • La "Faurenerie" du jour…

    Présidentielle 2027: Olivier Faure ouvre la porte à une primaire à gauche pour désigner "un candidat commun"

    Valeurs actuelles

    Après le milliard d’euros des émeutes de juin 2023, les assureurs estiment le coût global des violences d’il y a quinze jours, en marge de la victoire du PSG, à des " dizaines voire des centaines de millions". Le bilan provisoire établi par le ministère de l’Intérieur s’élève, pour l’ensemble du territoire, à 2 morts, 192 blessés, 694 incendies volontaires (dont 264 véhicules)… Depuis des années, les trafics prospèrent et la violence s’accroît. Les règlements de comptes, les attaques à l’arme blanche, les agressions, les viols, dans la rue, voire chez soi, se succèdent. L’immigration, illégale ou légale, submerge le territoire et ses capacités d’accueil. La dette est pratiquement hors de contrôle, les défaillances d’entreprises sont à un niveau inédit (depuis plus de trente ans) et un nombre croissant de Français (en particulier hautement qualifiés) partent pour l’étranger…

    Mais pour Olivier Faure, récemment reconduit à la tête du PS et invité ce matin des "4 Vérités" sur France télévision, "la vraie menace, le vrai danger (…) est aujourd’hui l’extrême droite (…) qui est ultra-dominante"…

    Comme l’a écrit Claude Adrien Helvétius (1715-1771), "l’illusion est un effet nécessaire des passions dont la force se mesure presque toujours au degré d’aveuglement où elles nous plongent".

    Roland Hélie

    http://synthesenationale.hautetfort.com

  • l’assassin de Mélanie s’appelle Gallois ou Ghenouchi? À quand sa photo?

    Il paraît qu’il y aurait des lois qui interdisent de donner le nom des mineurs délinquants et de publier leur photo. Tout comme, selon d’autres, publier les photos des djihadistes de Daech en train d’assassiner des infidèles serait de l’incitation au terrorisme. Tout comme d’autres interdisent les statistiques ethniques. Toutes ces lois sont stupides et ne servent qu’à une chose: protéger les délinquants, pour qu’on ne connaisse pas leurs origines et leur religion, afin de continuer à mentir aux Français. Et il en est de même pour les victimes, puisque dans les médias, on appelle Mélanie, la victime de Quentin, avec seulement la première lettre de son nom, un G.

    Pour revenir sur l’insupportable assassinat de Mélanie, on a constaté que les médias, cette fois, sur ordre des autorités, ont balancé le prénom de l’assassin en une demi-heure, pour leur laisser entendre que cela n’étaient pas toujours des Mohamed qui assassinent les Français. Darmanin nous avait fait le coup des Kevin et Mattéo, pour dissimuler la réalité des émeutes ethniques ayant suivi la mort de Nahel Merzouk.

    Jean Messiha a donc relayé une information qui aurait été explosive, nous apprenant que le vrai nom de l’assassin serait Ghenouchi, et qu’il serait tunisien. Pendant ce temps, sur les réseaux sociaux, d’autres affirment qu’il s’appelle Gallois. Dans le doute, après plusieurs contacts, Jean a retiré son tweet. Mais le doute demeure. Des médias comme RTL, parlant de la famille de l’assassin Quentin, parlaient de " famille bien intégrée " dont les deux parents travaillent. Donc peut-être des " Ghenouchi".

    Sur la toile, d’autres rumeurs circulent, qui expliquent que Quentin n’aurait pas la couleur de peau d’un Gallois…

    D’autres encore ont même affirmé que ses trois premiers prénoms seraient musulmans, que le premier serait Ali, et que Quentin serait le quatrième.

    La seule solution est de mettre fin à ces lois sur les mineurs qui protègent les assassins, et de traiter ceux qui tuent comme des adultes et pour ce qu’ils sont: des criminels qu’il convient de traiter comme tels, quel que soit leur âge, et de publier leur photo et leur nom…

    Lucette Jeanpierre

  • L'EMPLUME  DICTATEUR

    Notre-Dame de Paris: malgré la polémique et l’opposition de la Commission du patrimoine… des vitraux de Viollet-le-Duc, épargnés par l’incendie, vont bien être remplacés par des “contemporains”, conformément à la volonté d’Emmanuel Macron

    La commission nationale du patrimoine et de l’architecture (CNPA), opposée au projet de vitraux contemporains pour la cathédrale Notre-Dame de Paris, a “pris acte” de la volonté de l’exécutif de poursuivre le projet mais ne l’a pas “validé”, a clarifié le ministère de la Culture auprès de l’AFP samedi. (…)

    BFMTV

  • La montée de la cryptographie post-quantique

    une course discrète pour sécuriser l’avenir du numérique

    L’ombre des ordinateurs quantiques plane sur la cybersécurité. Alors que ces machines d’un nouveau genre progressent à un rythme fulgurant, elles menacent de rendre obsolètes les systèmes de chiffrement actuels d’ici 2030. Face à cette échéance, chercheurs et experts en sécurité informatique s’activent pour concevoir une nouvelle génération d’algorithmes: la cryptographie post-quantique. L’enjeu est considérable, car l’ensemble des communications numériques sécurisées – des transactions bancaires aux échanges gouvernementaux – est en péril.

    Selon les spécialistes, le temps presse. L’arrivée du " Q-Day ", ce moment où les ordinateurs quantiques pourraient briser les protections cryptographiques actuelles, pourrait survenir plus tôt que prévu. Contrairement aux ordinateurs classiques qui manipulent des bits (0 ou 1), les ordinateurs quantiques exploitent des qubits, capables d’exister dans une superposition d’états. Cette caractéristique leur confère une puissance de calcul inédite, leur permettant d’explorer simultanément un grand nombre de solutions.

    Les algorithmes de chiffrement actuels, comme le RSA (Rivest-Shamir-Adleman) ou la cryptographie sur les courbes elliptiques (ECC), reposent sur des problèmes mathématiques tellement complexes qu’un ordinateur classique mettrait un temps prohibitif à les résoudre. Mais l’algorithme quantique de Shor permettrait, lui, de factoriser de grands nombres en quelques heures, rendant ces systèmes vulnérables.

    FACE AU PERIL QUANTIQUE, DES STRATEGIES DE DEFENSE INTERMEDIAIRES

    Une menace qui n’est plus purement théorique. Des chercheurs ont récemment démontré qu’un ordinateur quantique pourrait casser un chiffrement, relançant les inquiétudes dans le monde de la cybersécurité. Selon un rapport de Gartner publié en 2024, les systèmes asymétriques actuels pourraient être compromis dès 2029 et totalement obsolètes d’ici 2034.

    Face à ces risques, la protection des données devient plus que jamais une priorité. Si la cryptographie post-quantique est en plein développement, certaines solutions intermédiaires, comme les réseaux privés virtuels (VPN), permettent déjà d’améliorer la confidentialité des communications.

    En masquant l’adresse IP et en chiffrant les échanges de données, un VPN complique toute tentative d’interception malveillante. Qu’il s’agisse de contourner la censure, de sécuriser une connexion sur un réseau Wi-Fi public ou de protéger ses échanges en ligne, son usage devient un réflexe essentiel pour de nombreux internautes.

    Si l’offre de VPN est vaste sur Windows et Android, elle reste plus limitée sur macOS, où certaines solutions ne proposent pas toujours les mêmes fonctionnalités ou protocoles de chiffrement. Cela rend d’autant plus important de choisir une option adaptée et de maîtriser son installation. Pour ceux qui utilisent un Mac, installer un VPN sur macOS à la fois efficace et fiable constitue ainsi une première étape vers une cybersécurité renforcée.

    UNE NOUVELLE GENERATION D’ALGORITHMES POUR CONTRER LA MENACE

    Selon une définition donnée par l’ANSSI, la cryptographie post-quantique repose sur des algorithmes capables de résister aux attaques quantiques tout en conservant une sécurité efficace contre les attaques classiques. Contrairement aux systèmes actuels, ces nouveaux schémas cryptographiques s’appuient sur des problèmes mathématiques réputés insolubles, même pour les ordinateurs quantiques. " La cryptographie post-quantique désigne le développement d’algorithmes capables de sécuriser les communications de machine à machine à l’ère quantique ", précise un article de DigiCert.

    LES PILIERS TECHNIQUES DE LA CRYPTOGRAPHIE POST-QUANTIQUE

    Pour concevoir des protocoles résistant aux futurs assauts quantiques, plusieurs voies sont étudiées:

        La cryptographie en treillis, exploitée par les algorithmes Crystals-Kyber et Crystals-Dilithium, qui repose sur des problèmes mathématiques complexes.

        La cryptographie basée sur le code, utilisant des techniques de correction d’erreurs pour protéger les messages.

        La cryptographie à base de hachage, qui repose sur la robustesse des fonctions de hachage, avec des solutions comme Sphincs+.

        La cryptographie symétrique, qui, grâce à des clés plus longues, pourrait résister aux attaques quantiques.

    UNE STANDARDISATION EN COURS, MAIS UN CALENDRIER SERRE

    L’été 2024 a marqué un jalon avec la validation par le NIST des premiers standards de cryptographie post-quantique. Trois nouveaux algorithmes ont été retenus: ML-KEM (ex-CRYSTALS-KYBER), pour le chiffrement et l’échange de clés et ML-DSA (ex CRYSTALS-Dilithium) pour la signature numérique. SLH-DSA (Sphincs+) constituant une solution alternative.

    "La question n’est plus de savoir si cela arrivera, mais quand. Pour les entreprises, la cryptographie post-quantique n’est plus une hypothèse lointaine, mais une nécessité stratégique immédiate", prévient un article du Journal du Net. Les cybercriminels, conscients de cet avenir inéluctable, adoptent une nouvelle stratégie, le "Harvest Now, Decrypt Later" ("récolter maintenant, déchiffrer plus tard "). Comme son nom l’indique, c’est une approche de surveillance qui consiste à collecter et conserver sur le long terme des données chiffrées, bien que celles-ci soient actuellement indéchiffrables. L’objectif étant d’anticiper de futures avancées technologiques en cryptanalyse (notamment l’arrivée des ordinateurs quantiques) qui permettraient un jour de les décrypter. Cette échéance hypothétique est désignée sous le terme Y2Q (ou Q-Day).

    La transition vers la cryptographie post-quantique dépasse la simple mise à jour technologique; elle implique une refonte stratégique. Loin d’être une menace abstraite, cette rupture impose de repenser dès aujourd’hui les standards de sécurité, sous peine de voir des décennies d’innovations balayées en un instant. La cryptographie post-quantique ne sera pas une solution définitive, mais elle représente une étape clé dans l’adaptation de la cybersécurité aux évolutions technologiques.

    Trustmy science

     

  • La bombe démographique afro-musulmane

    L’Europe vieillit, l’Inde vieillit, la Chine vieillit, la Russie vieillit, les EU vieillissent, le Brésil vieillit, le Japon vieillit, la Corée vieillit. Taux de fécondité très en dessous du seuil minimum de 2,3 enfants par femmes en âge de procréer pour perpétuer les populations. Le nombre des personnes de plus de 60 ans flambe, plus d’un milliard deux cents millions retraités dans ces pays à l’horizon 2050, et quelques dizaines de millions de centenaires, pendant que les pays d’Afrique noire majoritairement musulmans sont en plein boom démographique.

    Un pays comme le Niger a multiplié sa population par 9 depuis son indépendance. Le planning familial n’est pas dans la culture africaine.

    Si l’on extrapole, à l’horizon 2100, on ne sera pas loin de deux milliards de plus de 60 ans et, eux, ils auront triplé voire quadruplé leur population.

    Un remplacement qui semble inévitable et contre lequel il n’y a guère de remède pour inverser la TENDANCE. C’est la loi de la nature, sauf cataclysme écologique ou guerre mondiale.

    Des populations disparaissent et d’autres s’y substituent.

    Qui va accompagner les personnes âgées, les aider dans leur quotidien, payer leurs retraites, les soigner avec une pyramide des âges inversée?

    Le Grand remplacement est le résultat d’une faillite démographique qui aurait pu être évitable. En Chine et en Inde, pays qui comptera près de 400 millions de plus de 60 ans en 2050, on a fait le choix d’une politique répressive et sélective démographiquement. Enfant unique en Chine et "pas de filles" en Inde. Deux pays qui verront leur population réduite de moitié dans 70 ans tandis que le Nigeria passera à 800 millions d’habitants en 2100.

    Aucun rideau de fer ne saura arrêter les Noirs africains dans leur quête de subsistance dont les prémices commencent à se faire sentir avec la vague migratoire qui inonde d’ores et déjà la Libye, la Tunisie et l’Algérie, en train de devenir des camps de transit pour les migrants sub-sahariens.

    Salem Benammar

     

     

    120 attaques au couteau par jour, de simples faits divers selon Macron!

    Macron, le pire fossoyeur de la France, nie ouvertement l’insécurité qui détruit le quotidien des Français, mais s’entoure prudemment d’une puissante garde prétorienne pour assurer sa protection personnelle.

    Depuis 2017, pas moins de 50 policiers de la préfecture de police ont été transférés à l’Élysée pour renforcer les 77 membres du GSPR. Et en 2018, au plus fort de la crise des Gilets jaunes, 600 policiers et gendarmes protégeaient notre Président tétanisé, terré dans son bunker élyséen.

    Le peuple quant à lui, abandonné à la violence de rue, paie au prix fort la démission et la lâcheté du pouvoir. Le naufrage sécuritaire que vivent les Français atteint des proportions dévastatrices.

    Avec 44 000 attaques au couteau par an, chiffre ahurissant qui est bien entendu occulté par les médias, voire nié par nos apôtres du multiculturalisme, la France confirme d’année en année son titre de pays le plus dangereux d’Europe.

    L’insécurité a été multipliée par cinq depuis les années 1960. La violence au quotidien c’est:

     

        100 000 viols par an, quasiment tous impunis;

        3 000 agressions par jour dont seulement 1 000 déclarées;

        120 attaques au couteau quotidiennes, de plus en plus souvent mortelles;

        Des dizaines de commissariats attaqués par des bandes de mineurs assurés de l’impunité;

        Un narcotrafic qui explose et se tient à ciel ouvert comme un commerce légal;

        Des milliers d’armes de guerre qui dorment dans les caves des cités alors que Macron, qui a désarmé les Français, n’ose pas donner l’ordre de les vider;

        Des tirs quotidiens à la kalachnikov en pleine rue rue, comme on joue du klaxon un 14 juillet;

        Des écoles, des urgences, des transports, devenus le réceptacle de toutes les violences alors qu’ils étaient des sanctuaires;

        Des scènes de guérilla urbaine incessantes, avec vitrines saccagées, magasins pillés et forces de l’ordre attaquées par des émeutiers décidés à se faire un flic, encouragés par un laxisme judiciaire criminel qui désintègre la nation;

        25 membres des forces de l’ordre tués chaque année et 30 blessés par jour.

     

    La justice de gauche a tué la liberté d’expression et encouragé la criminalité.

    Il faut s’appeler Gérard Collomb pour avoir le droit de dire: "Aujourd’hui, on vit côte à côte. Mais je crains que demain, on vive face à face".

    Il faut s’appeler Jack Lang pour avoir le droit de dire que " les 2/3 des détenus sont musulmans".

    Car chacun sait que le lien insécurité-immigration est une fable d’extrême droite, même si 7% d’étrangers occupent 25% des places de prison.

    Ce qui n’empêche pas Macron d’accueillir 500 000 immigrés par an, sans parler des clandestins. Plus l’échec de l’intégration est patent, plus il ouvre les frontières.

    Il n’y a rien à attendre d’un pouvoir mondialiste qui nie le naufrage de l’intégration, avec le soutien inconditionnel des juges et des médias, un pouvoir incapable de protéger ceux qui assurent notre protection mais qui n’ont plus le droit de se défendre.

    Caillassées d’un côté et lynchées médiatiquement de l’autre, à la moindre interpellation un peu musclée, les forces de l’ordre n’ont plus aucun pouvoir ni soutien de leur hiérarchie. Pour bien des juges, il y a en chaque policier un raciste qui sommeille.

    Le système monte en épingle une violence policière quasi inexistante, mais nie une violence quotidienne bien réelle, qui n’a rien d’un simple sentiment d’insécurité.

    Depuis des années, zadistes, black-blocs, antifas et malfrats en tous genres font la loi. La France n’est un pays de droit que pour les hors-la-loi hyperprotégés.

    Mais le pire est que l’immense majorité des politiques s’est résignée à cette violence, par peur d’être taxée de racisme et d’islamophobie.

    Comme l’a dit Philippe de Villiers à Macron:

    "Vous êtes le chef des dhimmis, vous êtes houellebecquisé".

    Jacques Guillemain

     

  • La vérité sur l’insurrection démocrate à Los Angeles

    Ce qui se dit en France sur les émeutes de Los Angeles relevant le plus souvent de la désinformation de gauche, il importe de rétablir les faits.

    Au cours des années Biden, des millions d’immigrants illégaux sont entrés aux États-Unis. Parmi eux, des assassins et autres criminels sortis de prison dans leur pays d’origine et envoyés vers les États-Unis, des membres de gangs de la drogue latino-américains et des gens venus tenter leur chance d’obtenir une vie meilleure.

    Le résultat a été une explosion de la criminalité dans les grandes villes du pays, une très forte hausse du nombre d’overdoses mortelles touchant largement les adolescents, victimes du Fentanyl, une drogue venue de Chine communiste vendue sous la forme de bonbons à l’allure innocente, mais aussi une prolifération de petits bidonvilles peuplés par des sans-abri.

    Les grandes villes américaines sont presque toutes gérées par le Parti démocrate, qui est devenu un parti d’extrême gauche, et sont des villes sanctuaires: des villes où la police de la ville a ordre de ne pas arrêter les immigrants illégaux, même quand ils commettent des délits mineurs et de ne pas coopérer avec les autorités fédérales si celles-ci entendent procéder à des actions d’expulsion d’immigrants illégaux.

    Los Angeles est une ville sanctuaire (tout comme San Francisco), et la Californie elle-même est un État sanctuaire, ce qui signifie que la police d’État reçoit les mêmes ordres que les polices municipales.

    Los Angeles est devenue une ville insalubre, défigurée. Il est difficile d’y trouver une rue ou une avenue qui ne soit pas jonchée de tentes abritant des immigrants illégaux. Les excréments et l’urine, les seringues d’injection de drogue accompagnent les tentes. Des maladies éradiquées depuis longtemps aux États-Unis ont refait leur apparition. Les vols dans les magasins sont fréquents (voler pour une somme inférieure à 950$ est un délit mineur). À la sortie d’un restaurant, dans de nombreux quartiers, des gens font de la mendicité.

    S’ajoute à Los Angeles une lugubre particularité: la ville est très peuplée (10 millions d’habitants pour le Los Angeles County), elle est très étendue (12 000 kilomètres carrés), et elle est à 2 heures de route du Mexique. Cela a créé des opportunités pour les gangs de la drogue latino-américains. Ceux-ci ont fait passer pendant les années Biden l’essentiel des immigrants illégaux, et ont fait une différence entre les immigrants illégaux qui peuvent payer le passage et ceux qui ne peuvent pas payer et à qui il est proposé un arrangement. Ils entrent aux États-Unis, mais ils doivent travailler pour les gangs, et les gangs ont monté des ateliers clandestins où des immigrants illégaux sont en situation de travail forcé, et traités peu ou prou comme des esclaves.

    Des parents ont aussi envoyé leurs enfants traverser la frontière en payant des passeurs, et le travail forcé est aussi effectué par des enfants esclaves. Ces activités immondes ont proliféré sous Biden. La police de Los Angeles a été incitée à fermer les yeux. La police fédérale et l’ICE ont été, sous Biden, empêchées d’agir.

    Les maires qui se succèdent depuis des années à la tête de Los Angeles sont de plus en plus à gauche, et au cours de la présidence Biden, ils ont pratiqué l’aveuglement volontaire. La maire actuelle, Karen Bass, est d’extrême gauche et est une admiratrice de Fidel Castro et de Nicolas Maduro. La police municipale (LAPD) est sous les ordres de Karen Bass et applique à la lettre tout ce qui fait de Los Angeles une ville sanctuaire. Jusqu’en décembre 2024, le procureur général du comté de Los Angeles, Georges Gascon, était le procureur le plus laxiste des États-Unis et relâchait les criminels aussi vite que possible, y compris les meurtriers. Il a été battu aux élections de 2024 (les procureurs généraux, aux États-Unis, sont élus) par un homme un peu moins laxiste que lui.

    La possibilité que la ville de Los Angeles repasse aux mains d’un maire républicain est nulle: des millions d’immigrants illégaux installés dans la ville ont été naturalisés sous Biden, reçoivent des assistances de la mairie démocrate et votent massivement démocrate. Le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, appartient lui-même au Parti démocrate et à l’extrême gauche, et la Californie, un superbe État, a basculé du côté de l’extrême gauche la plus délirante. Il y existe des zones républicaines, du côté de la vallée centrale et de la sierra, dans la banlieue lointaine des grandes villes. Alors que la Californie a tout pour être très riche, elle est un État ruiné.

    Donald Trump a été élu sur un programme qui inclut le retour à la loi et à l’ordre, et ce programme implique l’expulsion des immigrants illégaux (21 millions selon les chiffres officiels), à commencer par les criminels de toutes sortes. À Los Angeles, ce programme ne peut, bien sûr, qu’impliquer l’abolition des ateliers d’esclaves.

    Les Démocrates sont hostiles à cette politique et font tout pour empêcher sa mise en œuvre.

    Dans le reste du pays, ils ne parviennent pas à empêcher cette mise en œuvre, et l’ICE (Immigration and Customs Enforcement) parvient à faire son travail. Des juges d’extrême gauche mis en place par Obama et Biden font tout ce qu’ils peuvent pour entraver les expulsions (certains ont même violé la loi en hébergeant des immigrants clandestins et se sont retrouvés en prison), mais il n’y a pas d’émeutes.

    Les Démocrates ont décidé de faire de Los Angeles la ville de la confrontation avec l’ICE, parce que le terrain leur est très favorable, maire d’extrême gauche, police municipale aux ordres de la maire, gouverneur d’État d’extrême gauche, ville sanctuaire dans un État sanctuaire.

    Les émeutes se sont enclenchées lorsque l’ICE a fait intrusion dans un atelier d’esclaves, à Paramount, quinze kilomètres au sud du centre-ville (et en aucun cas devant un magasin Home Depot, contrairement à ce qui se dit). Un élu démocrate se trouvant à proximité de l’atelier a immédiatement commencé à créer une mobilisation. Un responsable syndical qui l’accompagnait (David Huerta du SEIU) a agressé des membres de l’ICE et est présentement emprisonné.

    Les agents de l’ICE et leurs véhicules se sont retrouvés face à des émeutiers violents sans que la police n’intervienne. Les bâtiments de l’ICE situés au centre-ville et le centre de détention voisin ont subi des assauts sans que la police n’intervienne, là encore, et les agents de l’ICE, dont ce n’est pas la mission, ont dû se défendre seuls. Les policiers de la ville avaient reçu de la mairie l’ordre d’éviter les " provocations".

    Dans une situation semblable, le gouverneur est censé faire intervenir la garde nationale de l’État. Gavin Newsom n’a rien fait.

    Donald Trump a dû, comme il en a le droit, fédéraliser la garde nationale de Californie, autrement dit, la placer sous ses ordres et suspendre le pouvoir de Gavin Newsom la concernant. Cette décision était indispensable, et sans cette décision, les pillages, les destructions et les menaces auraient continué et la situation serait devenue plus grave.

    La police de Los Angeles, depuis que la garde nationale est là, fait davantage son travail: ce qui se passe est sous le regard des caméras du monde entier, et Karen Bass n’a pu que changer d’attitude. La garde nationale de Californie veille sur les bâtiments de l’ICE et tous les bâtiments fédéraux. La police de Los Angeles s’efforce de repousser les émeutiers et procède à des arrestations. Des pillages de magasins ont eu lieu.

    Des drapeaux ont été distribués: des drapeaux mexicains, surtout, mais aussi des drapeaux "palestiniens", et même des drapeaux du Hamas. UnidosUS (anciennement, National Council of La Raza) CAIR (Council on American–Islamic Relations), branche américaine des Frères musulmans a appelé à rejoindre le "mouvement de protestation". De nombreux véhicules ont été brûlés, et les taxis électroniques sans chauffeur de la firme WayMo, une filiale d’Alphabet, l’entreprise propriétaire de Google, ont été particulièrement visés. La mairie de Los Angeles a décrété un couvre-feu commençant à huit heures du soir, au bout de cinq jours d’émeutes, décision extrêmement tardive et a demandé au LAPD d’arrêter quiconque viole le couvre-feu.

    Des émeutes supplémentaires se sont enclenchées au sud de la ville à Santa Ana. Une base des US Marines, Camp Pendleton, est soixante kilomètres plus au sud, et le secrétaire à la défense, sur demande de Donald Trump, a envoyé 700 US Marines sécuriser Santa Ana.

     

    Karen Bass, Gavin Newsom, d’autres politiciens démocrates disent que Trump fait de la "provocation", ce que répètent, de manière complice, les médias français: c’est l’inverse absolu de la réalité et ces propos des Démocrates montrent ce que le Parti démocrate est devenu, un parti qui soutient les criminels et ceux qui violent la loi. Des politiciens démocrates lancent des appels à un soulèvement insurrectionnel généralisé des villes sanctuaires contre la "politique dictatoriale" de Trump, et des manifestations ont pris forme dans quatre autres villes sanctuaires: Seattle, Chicago, New York, Philadelphie. Les Démocrates veulent la déstabilisation de l’administration Trump par la violence.

    La loi et la démocratie sont du côté de Trump. Donald Trump respecte la loi et la Constitution américaine, Karen Bass, Gavin Newsom, les politiciens démocrates sont du côté du crime. Ceux qui ont voté Trump, et j’en fais partie, veulent que Trump fasse ce qu’il a promis de faire. Et en ce moment la cote de popularité de Trump est en hausse.

    Les émeutes à Los Angeles, cela doit être précisé, ont été organisées.

    Des camions ont rapidement livré des palettes entières de briques et de parpaing en divers endroits de la ville pour que briques et parpaings soient à disposition des émeutiers. D’autres camions ont livré des boucliers rectangulaires, des casques de protection et des lunettes de plongée, et tout cela a été distribué aux émeutiers.

    Des agitateurs sont arrivés en minivans, bien équipés pour le combat.

    Des affiches ont été rapidement imprimées et distribuées.

    Des documents montrent que des organisations d’ultra-gauche ont reçu ces dernières années des financements de la ville de Los Angeles et de l’État de Californie, plusieurs millions de dollars annuels. L’une d’elle est le Party for Socialism and Liberation (PSL), auquel l’assassin de deux diplomates israéliens à Washington a longtemps appartenu. Le PSL a eu pour slogan il n’y a pas si longtemps Exterminate Zionists.

    Trump décrit les émeutiers comme des insurgés, c’est exactement ce qu’ils sont. Il est vraisemblable que les gangs qui tiennent les très lucratifs ateliers d’esclaves apportent leur contribution. Tom Homan, qui dirige l’ICE, explique ce qui doit l’être et que j’explique ici à longueur d’interviews sur FoxNews et Newsmax.

    Les Démocrates avaient réussi à semer le désordre dans une large part des États-Unis au cours de l’été 2020, grâce au mouvement marxiste Black Lives Matter, et Trump avait eu beaucoup de mal à rétablir l’ordre: il n’avait pu fédéraliser des gardes nationales et avait été trahi par le chef d’état-major des armées, l’infâme général démocrate Mark Milley, qui avait refusé d’obéir aux ordres du Président.

    Cette fois, la situation est très différente. Trump a toutes les cartes en main.

    Il est crucial que l’ordre soit rétabli, et il le sera. Il faudra ensuite que le FBI et la justice s’intéressent de près au financement des émeutes et aux organisations d’ultra-gauche qui s’en sont chargées. Ces organisations ne sont pas des organisations politiques, mais des organisations criminelles. Il faudra que l’ICE puisse continuer son travail.

    En France, non seulement les journalistes reprennent quasiment tous à leur compte le discours des Démocrates, donc de l’extrême gauche américaine, et accusent Trump, mais ils occultent tout ce qui peut permettre de comprendre ce qui se passe.

    On peut voir ce qui serait survenu si, par malheur, Kamala Harris avait été élue: elle a publié un communiqué soutenant le soulèvement et accusant Trump d’être responsable du désordre.

    Tout retour au pouvoir des Démocrates à Washington serait un danger majeur pour le pays et pour le monde. Le Parti démocrate n’est plus le parti du temps de Bill Clinton et est moins encore le parti du temps de John Kennedy.

    Qu’il soit impossible en France de dire la vérité dans les grands médias montre à quel point la France s’est éloignée de la démocratie.

    © Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.