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Handicap - Page 13

  • Immonde! espèce de protozoaire

    Solliès-Pont (83): Smain accusé d’avoir égorgé une octogénaire dans son fauteuil roulant

    De lundi à mercredi, les jurés varois seront confrontés à un crime crapuleux assez lamentable, qui s’est produit le 6 juillet 2013 à Solliès-Pont.

    Ce jour-là, en fin d’après-midi, les secours se sont déplacés dans un groupe d’immeubles résidentiels, où une octogénaire venait d’être découverte à son domicile, baignant dans son sang. Encore consciente, Simone, 82 ans, avait été égorgée dans son fauteuil roulant.

    Hospitalisée à Sainte-Anne, elle a confié aux gendarmes qu’elle avait été agressée par S. M., un jeune voisin qu’elle connaissait depuis l’enfance, pour lui voler le peu d’argent qu’elle avait chez elle, moins de 20 €.

    Dans ses premiers aveux, S. M., 21 ans alors, a confirmé qu’il s’était bien rendu chez la victime et qu’il lui avait porté un coup de couteau à la gorge, sans trop se souvenir pourquoi ni comment.

    Puis qu’il avait pris quelques euros dans le porte-monnaie de la vieille dame, avec lesquels il s’était payé un café et un paquet de cigarettes.

    (…) Var Matin

     

  • Première mondiale:

    du muscle " normal " à partir de cellules souches embryonnaires

    Une méthode pour obtenir des fibres musculaires et des cellules souches satellites à partir de cellules souches embryonnaires a été mise au point par une équipe soutenue par l’AFM-Téléthon.

    Cette avancée majeure pour les maladies neuromusculaires vient d’être publiée le 3 août 2015 dans Nature Biotechnology.

    Pour la première fois au monde, l’équipe d’Olivier Pourquié de l’Institut de Génétique et de Biologie Moléculaire et Cellulaire (IGBMC) d’Illkirch et de l’Université d’Harvard aux Etats-Unis, a mis au point une méthode pour fabriquer des fibres musculaires et des cellules satellites.

    "Grâce à notre méthode qui ne demande aucune manipulation génétique, nous obtenons des fibres musculaires qui se contractent, mais aussi des cellules souches satellites"

    Jusqu’à présent, les chercheurs savaient obtenir les différents éléments des fibres musculaires, les myoblastes , à partir de biopsies puis les amener à se différencier en fibres musculaires. Mais au prix de rendements faibles et imparfaits (en particulier, sans activité contractile). Avec le protocole développé par l’équipe d’Olivier Pourquié, il est désormais possible d’obtenir des fibres musculaires qui se contractent et de véritables cellules musculaires satellites, lesquelles permettent la formation des muscles et la régénération musculaire, comme dans un muscle " normal ".

    Fort de ce succès, les chercheurs ont greffé sur des souris modèles de la myopathie de Duchenne les cellules souches satellites obtenues (à partir de cellules souches de souris). Un mois après, le muscle traité présentait des fibres exprimant de la dystrophine normale, prouvant que ces cellules greffées sont bien capables de régénérer les fibres musculaires " malades ".

    Le protocole a également été testé sur des cellules souches embryonnaires obtenues à partir de souris modèles de la myopathie de Duchenne et a permis d’obtenir des fibres musculaires " malades ".

    Ces cellules musculaires, " normales " ou " malades ", obtenues à partir d’une source inépuisable de cellules souches, sont un outil supplémentaire pour les chercheurs afin d’étudier les mécanismes de formation des cellules musculaires, tester de nouveaux candidats-médicaments mais aussi démontrer l’efficacité de futures thérapies.

    Pour en savoir plus: Differentiation of pluripotent stem cells to muscle fiber to model Duchenne muscular dystrophy. Olivier Pourquié, et al. Nature Biotechnology, 8/3/2015 doi:10.1038/nbt.3297

    http://www.afm-telethon.fr/actualites/premiere-mondiale-muscle-normal-partir-cellules-souches-embryonnaires-3912

     

  • Hips : système de parking intelligent pour places handicapés

    Faciliter l’accès à n’importe quelle place réservée aux personnes handicapées d’une ville via un système de détection de stationnement connecté et une application. C’est le projet Hips, pour Handicap Intelligent Park System.

    Comment accéder facilement à une place réservée proches d’un lieu recherché? Comment également visualiser celles disponibles? La solution Hips a été pensée pour répondre à de telles questions. Développée par des étudiants de première année de l’Etna (la nouvelle alternance en informatique), elle a d’ailleurs remporté le prix " Jeune pousse " du Défi H, un concours où s’affrontent, à travers des projets innovants, différentes équipes d’élèves issus de grandes écoles ou d’universités françaises et mobilisées pour lutter contre le handicap. Innovant le projet Hips l’est mais pas original, puisque son principe rappelle l’application (gratuite) parking.handicap.fr.

    Un succès qui n’est pas une fin en soi mais une première étape comme l’explique, Adrien Alexandre, un des membres de Hips: "Comme notre projet est concret et qu’il fonctionne, cela fait plusieurs mois que l’on envisage de le faire passer à une autre dimension. Avec l’obtention de ce prix, on va donc monter prochainement une start-up. On sait que Hips peut intéresser les institutions publiques et attirer des entreprises comme les parkings privés. Pour le moment, nous avons déjà entamé des collaborations avec les mairies d’Ivry-sur-Seine et d’Issy-les-Moulineaux, en région parisienne".

     

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  • L'enfant et le tétanos

    Cette information est pour moi, importante... je l'installe donc sur mes trois blogs....

    Les cas sont rares puisque la vaccination est obligatoire. Depuis plusieurs semaines, un garçonnet est hospitalisé à Tours. Une enquête a été ouverte.

    Plusieurs semaines déjà que ce jeune garçon de huit ans est hospitalisé à l'hôpital de Clocheville, à Tours. Hospitalisé pour s'être blessé après une chute, semble-t-il, l'état de l'enfant ne se serait pas amélioré comme prévu. Sur son carnet de santé figurait la mention d'une vaccination contre le tétanos (en France, la couverture vaccinale obligatoire concerne le DT polio (Diphtérie tétanos poliomyélite). La primo-vaccination des nourrissons comporte deux injections. Puis un rappel. Suivent d'autres rappels chez l'enfant et l'adulte. Ne pas vacciner ses enfants s'apparente à de la maltraitance, passible de 3.750 € d'amende et 6 mois de prison.).

    D'après nos informations, son organisme n'en porterait cependant pas la trace (un vaccin antitétanique fait correctement laisse des traces pendant vingt ans, nous a indiqué un médecin).

    Dès lors, plusieurs hypothèses peuvent être soulevées : une fausse information figure-t-elle sur le carnet de santé? Le pédiatre de l'enfant, aurait-il pu s'être soustrait à la vaccination de l'enfant par choix en accord avec les parents? La vaccination n'aurait-elle pas été faite correctement ? Ou l'organisme de l'enfant n'a-t-il pas été en mesure de fabriquer des anticorps alors qu'il aurait bien été vacciné?

    Autant de questions auxquelles l'enquête ouverte sur deux volets, administratif et judiciaire, devra tenter de répondre, conséquence directe du signalement fait par le service des maladies infectieuses au parquet de Tours. L'Institut médico-légal aurait d'ailleurs été diligenté pour examiner l'enfant. Et sa fratrie aurait été vaccinée en urgence, apprenait-on encore en cette fin de semaine. Le jeune garçon, lui, est toujours hospitalisé en soins intensifs.

    Enquête approfondie

    Un cas grave et rare (la maladie fait l'objet d'une déclaration obligatoire) que les services de l'Agence régionale de santé (ARS) et l'Institut national de veille sanitaire (INVS) suivent de près, nous précisait mercredi le service communication de l'instance régionale sans vouloir aller au-delà, mettant le secret médical en avant. Un argument, légitime, également utilisé par le service communication du CHRU tourangeau : "C'est un enfant malade que l'on soigne, comme on le fait tout le temp ".

    Une enquête approfondie est donc en cours pour tenter d'expliquer ce cas exceptionnel qui s'inscrit dans un contexte toujours partagé sur la question de la vaccination, pourtant fondamentale dans l'éradication de nombreuses maladies. En 2010, 40 % des Français se déclaraient "méfiants" à l'égard des vaccins. Cinq ans plus tôt, ils n'étaient que 10 %.

    Rappelons que le tétanos est une maladie infectieuse grave, non contagieuse, qui attaque le système nerveux. La contraction des muscles respiratoires peut entraver la respiration et provoquer la mort pas asphyxie et arythmie cardiaque.

    Il faut savoir que les spores de bacille tétanique sont n'importe où dans la terre, donc la bactérie ne peut être éradiquée. Elle sécrète dans l'organisme une toxine qui attaque le système nerveux. La seule prévention possible est de vacciner les sujets les plus sensibles, parmi lesquels les chevaux et les humains.

    En traitement, si l'on intervient tôt, des doses massives de pénicilline enrayent la multiplication des bactéries, mais la toxine déjà sécrétée fait son œuvre.

    http://www.lanouvellerepublique.fr/France-Monde/Actualite/Sante/n/Contenus/Articles/2015/07/18/Le-tetanos-frappe-un-enfant-2406520

     

    Voici la photo d'une personne atteinte de tétanos, en fin de vie. Cette photo est vraie, ce n'est pas une blague de scénario hollywoodien!

    Quand la maladie est enclenchée, on ne peut pas la guérir: le corps spasme violemment.... la seule prévention, c'est la vaccination.

    NE PAS FAIRE SES RAPPELS, C'EST CONSTAMMENT DANSER AVEC LE DIABLE!

     

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  • Iko : une prothèse de bras compatible avec les Lego

    La vie des enfants handicapés pourrait radicalement changer grâce à Iko, une prothèse de bras compatible avec les Lego.

    Qu’ils soient accidentés ou atteints d’une malformation, des milliers d’enfants souffrent d’isolement. Grâce à Iko, leur quotidien va radicalement changer.

    Iko, inventé par un ingénieur colombien qui réside à Chicago, est une prothèse de bras compatible avec les briques Lego. De fait, l’enfant handicapé pourra personnaliser son bas avec des jouets Lego.

    C’est avec le Cirec, une fondation médicale colombienne, et le Lego Future Lab que Carlos Arturo Torres a conçu cette prothèse.

     " La prothèse est suffisamment modulable pour permettre aux enfants de la bricoler, la bidouiller, faire preuve d’imagination ", explique son concepteur, une liberté de création qui devrait aider les enfants à sortir de leur isolement.

    Iko se compose d’une articulation, d’un avant-bras, et d’une main. L’articulation cache la batterie et l’avant-bras un moteur. La main possède des embouts sur lesquels peuvent être fixé des briques Lego. L’enfant peut même remplacer la main par une grue ou un vaisseau spatial… en Lego bien évidemment.

    Pour cette invention, Carlos Arturo Torres a reçu le "Core 77 design award", un prix de design.

    Pour l’inventeur de Iko, l’avenir est même plus loin que les Lego. "Imaginez Marvel qui développerait des modules de superhéros, ou Mattel qui concevrait des maisons de poupées ou des lanceurs de voitures, General Electric des microscopes et Nintendo des accessoires compatibles", imagine l’inventeur.

     

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