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société - Page 333

  • ...et, pendant ce temps-là, le guignol de l'Elysée...

    François Hollande: un coiffeur à 8 000 euros

    À première vue on n’y penserait pas et pourtant c’est une coupe de cheveux à plus de 8 000 euros par mois, payés par l’État. C’est ce qu’on apprend entre autres, dans "L’Élysée off" de Aziz Zemmouri et Stéphanie Marteau publié chez Fayard.

    Les journalistes révèlent que Valérie Trierweiler a œuvré pour faire venir au château Olivier Benhamou, un coiffeur rencontré par le président pendant la campagne présidentielle de 2012. Et elle a réussi son coup. Il est devenu pendant la présence de la journaliste à l’Élysée, le coiffeur attitré du couple.

    Mais les 8000 euros qui auraient fini dans sa poche tous les mois ne plaisaient pas à tout le monde. "C’est aberrant, car à la différence de la maquilleuse, il n’est pas là tout le temps" râle un ancien membre du service de presse.

    Depuis, Valérie Trierweiler a changé de coiffeur. Un relooking qui très remarqué lui, n’a pas été financé par l’Élysée. Le nouveau coiffeur de la journaliste s’appellerait Guillaume Sergenti. C’est à lui que l’on devrait le blond affiché récemment par Valérie Trierweiler en Une de VSD.

    http://www.fdesouche.com

  • C'est ça, c'est ça, la France.....

    Gennevilliers (92) : la jeune fille a été agressée car elle portait une robe (MàJ)

    Il est 19 heures, lundi, et Nadia* attend son tramway en face du quartier du Luth. Un petit groupe d’adolescents s’approche d’elle. Ils lui parlent de sa tenue — la jeune fille porte une jupe — mais le différent ne va pas plus loin et les jeunes poursuivent leur chemin. « Même si cela ne se traduit pas par des violences ce sont déjà des pressions », estime Patrice Leclerc.

    Tirée par les cheveux hors du tramway

    Arrivent alors, quelques minutes plus tard, trois filles peu ou prou du même âge qu’elle. A leur tour, elles lui parlent de sa jupe. Le ton est nettement moins cordial. Les quatre jeunes femmes montent dans le tramway qui arrive. Le trio continue à faire une fixation sur la jupe. La situation s’envenime. La meneuse fait descendre sa victime en la tirant par les cheveux à l’arrêt suivant, dans le quartier du Village, la traite de « p… » et commence à la frapper.

    Nadia essuie alors une avalanche de coups de poing et de pieds. La plus énervée de ses agresseuses, un véritable colosse, lui assène un dernier coup de genou qui la met KO. Elle s’effondre au sol. Dans les cris et la confusion, des passants interviennent et font fuir le groupe de jeunes filles violentes. Prévenus, les sapeurs-pompiers évacuent Nadia à l’hôpital. C’est là qu’elle reprendra conscience après quelques heures de coma. Les médecins lui délivreront une ITT de quatre jours. Nadia a déposé plainte.

    La plus violente des agresseuses s’est rendue

    Alors qu’elle dîne dans un fast-food un peu plus tard dans la soirée, celle qui a porté les coups, âgée de 19 ans, apprend que sa victime est mal en point. Avec une des deux autres filles, elle se rend alors au commissariat où elle est placée en garde à vue. Elle devait être jugée mercredi en comparution immédiate mais l’audience a été renvoyée au 17 mai prochain.

    Selon les premiers éléments de l’enquête, l’agression n’aurait pas un fond religieux. Le trio ne portait pas de signe distinctif et aucune n’a évoqué une quelconque religion. Il ne s’agit pas non plus d’un règlement de comptes : Nadia ne les connaissait pas et n’habite pas le même quartier.

    (…) Le Parisien par Fdesouche

  • Comme les cheveux d'Eléonore....

    Les "indemnités spéciales" de 80 parlementaires font polémique

    L'Association pour une démocratie directe s'interroge sur des primes versées aux parlementaires les plus capés et réclame le remboursement des sommes perçues depuis 2012.

    Le combat pour une plus grande transparence de la vie politique semble avoir encore de beaux jours devant lui. Selon les informations de l'Association pour une démocratie directe, 80 élus de l'Assemblée et du Sénat occupant des fonctions particulières, percevraient pour un total de 1.5 millions d'euros d'indemnités, dites "spéciales" ou de "fonction", en plus de leur traitement habituel. Des sommes non imposables, dont la destination n'est pas contrôlée, et qui viennent donc s'ajouter aux indemnités "de base", dont le plafond prévu par la loi et fixé autour de 7100 euros brut par mois pour les députés comme pour les sénateurs.

    Parmi les 80 élus des deux chambres désignés par l'association, on trouve les présidents du palais Bourbon et du palais du Luxembourg, mais aussi les questeurs, les présidents de groupe ou de commission parlementaire. Au total, les "indemnités spéciales" versées culmineraient au total chaque année à plus d'un million d'euros pour l'Assemblée et 500.000 euros pour le Sénat. Dans le détail, les indemnités de fonction s'élèveraient à 7000 euros pour le président de l'Assemblée et du Sénat, et 4 à 5000 euros pour les questeurs. Dans un courrier adressé ce mardi à Claude Bartolone et Gérard Larcher, Hervé Lebreton, président de l'Association pour une démocratie directe, exige le remboursement des "sommes perçues au-delà des montants prévus par la loi, durant les quatre dernières années".

    Il dénonce le fait que ces indemnités soient décidées à discrétion par les bureaux de l'Assemblée et du Sénat, dans lesquelles siègent certains des principaux bénéficiaires. "Comme ça, tout va bien, ils peuvent faire ce qu'ils veulent entre eux", critique-t-il auprès du Scan. Il fonde son accusation d'illégalité de cette pratique sur la loi organique de 1958, qui fixe le cadre de la rémunération des élus. "La loi se suffit à elle-même. Il n'y a aucune raison d'accorder une indemnisation supplémentaire aux hauts cadres élus de l'Assemblée, dans la mesure où en France, être élu n'est pas un métier, mais un engagement. On ne parle d'ailleurs pas de salaire, mais d'indemnité. Si leur fonction nécessite plus de moyens que ceux de l'élu moyen, c'est possible, mais ça ne peut pas prendre la forme d'indemnités en plus. Nous proposons que ces surcroîts de dépenses soient pris en charge par l'Assemblée a posteriori et sur présentation de factures", explique-t-il.

    Un enjeu "de démocratie" selon René Dosière

    Des arguments battus en brèche par le député PS René Dosière, scrutateur infatigable de la dépense publique. "C'est une fausse polémique. Il y a une confusion entre ce qui relève du domaine de la loi et ce qui relève de l'autonomie financière des institutions vis-à-vis du pouvoir exécutif, qui est un des piliers de notre démocratie", tranche-t-il, soupçonnant un "antiparlementarisme primaire de l'association". "Les chambres parlementaires n'ont jamais caché l'existence de ces sommes. La loi fixe le montant des indemnités des élus, par ailleurs l'Assemblée fixe le montant qu'elle juge nécessaire à l'exercice d'une fonction. Il n'y a pas en rendre compte à l'exécutif sans quoi se crée un risque de dépendance qui menace la séparation des pouvoirs", poursuit le député de l'Aisne.

    Contacté par le Scan le bureau du président du Sénat Gérard Larcher indique n'avoir pas encore reçu le courrier de l'Association pour une démocratie directe, et qu'il répondra directement à ses auteurs. Les services de l'Assemblée n'ont, eux, pas donné suite à notre demande. Par ailleurs plusieurs députés et sénateurs contactés n'ont pas répondu à nos sollicitations, dans le contexte des vacances parlementaires

    Lu ici

     

  • Ordures!

    Des sites web de plusieurs paroisses piratés par un groupe tunisien

    Les sites internet des paroisses des Martres-de-Veyre et d’Ambert ont été victimes d’un piratage, le week-end dernier. Une bannière à caractère djihadiste a remplacé la page d’accueil. L’information a été révélée par nos confrère de France Bleu Pays d’Auvergne ce mardi soir.

    Le curé d’Ambert, Pierre Tézenas, responsable de la paroisse Saint-Jean-François-Régis en Livradois-Forez, a appris le piratage du site de la communauté samedi soir.

     " Un monsieur qui se rendait à la messe m’a informé que le site de la paroisse était piraté et qu’apparaissaient des écritures islamiques, explique le curé. J’ai immédiatement prévenu le webmaster qui a fait le nécessaire pour que la page d’accueil de la paroisse soit rétablie rapidement. Dans la soirée tout était rentré dans l’ordre.

     À quelques kilomètres de là, aux Martres-de-Veyre, le même scénario se jouait sur le site de la paroisse Saint-Romain du Val d’Allier. Là encore, très vite, le gestionnaire du site web a fait en sorte de faire disparaître les écritures signées par " Tunisian fallaga team ". (…)

    lamontagne.fr

     

    Le site de la paroisse de Rethel attaqué par des pirates tunisiens.

    Une vague de cyber-attaques s’était déjà produite en janvier 2015. Cette fois, ce sont les sites des paroisses catholiques qui sont visés. On signale des attaques à Nantes, en Loire-Atlantique, et Rethel dans les Ardennes.

     Juste après les attentats de Charlie Hebdo, les membres d’un groupe de hackers baptisé " Tunisian Fallaga Team " avait déjà fait parler de lui en piratant une centaine de sites internet sur le territoire français.

    Ce week-end, ils se sont attaqués aux pages web de plusieurs paroisses nantaises. Comme le signalent ce mardi matin nos collègues de France Bleu Champagne Ardenne, ils s’en sont également pris à celle de la paroisse de Rethel dans les Ardennes. (…)

     lunion.fr

     

     

  • Médicaments non utilisés: le palmarès des régions qui recyclent le plus

    Selon Cyclamed, 8 Français sur 10 participent au recyclage des médicaments en rapportant ceux qu'ils n'utilisent pas en pharmacie. Les Limousins sont les plus vertueux. 

    Rien que pour l'année 2015, ce sont 15 477 tonnes de déchets issus de médicaments qui ont été collectées par les pharmacies françaises et regroupées par les grossistes répartiteurs avant leur valorisation à des fins énergétiques. C'est le bilan de l’association Cyclamed qui a pour mission de collecter et de valoriser les Médicaments Non Utilisés (MNU) à usage humain, périmés ou non, rapportés par les patients dans les officines.

    Plus exactement, le tonnage réel des MNU, avec le poids des cartons et des produits de parapharmacie soustraits, atteint 12 108 tonnes, en progression de + 0,4 % par rapport à 2014. La moyenne nationale s'établit donc à 185 grammes par habitant. Et pour savoir à quoi sert ce comportement civique, Cyclamed explique que " la valorisation énergétique de ces MNU permet d’éclairer et de chauffer l’équivalent de 7 000 logements ". Un acte utile donc que les Français s'approprient de plus en plus.

    80% des Français recyclent les médicaments 

    L’étude menée par l’institut BVA en février 2016 révèle que 80 % de nos concitoyens déclarent rapporter leurs MNU chez le pharmacien, dont 74 % d’entre eux le font " toujours " (contre 69 % en 2015). " Cela montre une forte fidélisation de ce réflexe auprès d’une grande partie de la population ", se félicite l'association. Ce sont surtout les plus de 50 ans (86 %), les femmes (85 %), et les personnes habitant des communes rurales qui ont adopté ce geste éco-citoyen.

    Parmi ces gens, 24 % séparent déjà les boîtes en carton et les notices en papier des médicaments. Chez ces Français, la protection de l’environnement est très bien perçue (93 %), eux qui n'ignorent pas que le dispositif permet d’éviter les rejets médicamenteux dans la nature (décharge, eaux de surface et souterraines).

    Par ailleurs, l’adhésion à la valeur de la sécurité sanitaire est en croissance cette année (90 %). Elle permet de prévenir les risques d’intoxications ou de confusions médicamenteuses au sein du foyer.

    C'est donc logiquement que pour la troisième année consécutive, le poids des MNU baisse dans chaque foyer français de manière importante (-8 % en 2012, -18 % en 2014 et -10 % en 2016), "ce qui confirme la prise de conscience des citoyens sur la nécessité de préserver son environnement et sa sécurité sanitaire domestique", écrit l'association. Le gisement en masse annuel des MNU reste tout de même de 19 000 tonnes, soit 323 grammes par foyer et par an en 2016.

    Les Limousins meilleurs recycleurs

    Et face à cet enjeu, certaines régions se distinguent plus que d'autres. Les plus vertueuses sont, comme en 2014, le Limousin (340 g de médicaments non utilisés rapportés par personne) devant la Bourgogne (243 g) et le Picardie (242).

    Les meilleures progressions sont à mettre au crédit des D.O.M (+10 %), de la Bourgogne (+6 %), et enfin de la Corse (+3 %).

    Tant de pays dans le monde dont les gens meurent parce qu'il n'y a pas de médicament dans le pays!

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